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[Test] Micropolis – 1001 stratégies

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Micropolis

MicropolisSalut les formicidés, quand on a vu Bruno Cathala s’associer à Charles Chevalier pour faire un nouveau jeu et que les deux auteurs ont créé Abyss ensemble, forcément on s’arrête pour découvrir leur nouvelle création : Micropolis.

Illustré par Camille Chaussy (Edenia, Jurassic Snack) et édité par Matagot, Micropolis est un jeu de placement d’ouvriers, ou plutôt d’ouvrières, n’oublions pas que nous parlons de fourmis et de majorités.

Vous serez à la tête d’une fourmilière et vous devrez construire les galeries de façon intelligente pour maximiser votre population et les ressources présentes dans ces galeries. Au début de la partie, vous ne disposez que d’une centre névralgique de la fourmilière et de 5 soldates.

Pour agrandir votre royaume souterrain, vous aurez la possibilité de choisir entre 7 tuiles proposées devant vous dans une rivière à la façon Smallworld ou Majesty.

Micropolis

La première tuile est gratuite, les suivantes demandent de payer une soldate par tuile. Si vous prenez une tuile avec des soldates dessus, elles viennent rejoindre votre armée. Système simple et connu désormais mais qui a fait ses preuves avec la logique “Cette tuile me coûte plus cher mais elle m’est plus profitable”.

Point original du jeu, on est pas face à des tuiles carrées mais à des tuiles triangulaires qui vont s’articuler autour de votre centre.
Le placement des tuiles se fait donc de façon circulaire et vous aurez toujours la possibilité d’avoir deux choix pour placer votre nouvelle tuile d’un côté ou de l’autre.

Les tuiles finiront forcément par se rejoindre à un moment, complétant votre fourmilière et sonnant la fin de la partie.

Micropolis

Chaque tuile possède un dessin différent, vous y trouverez des galeries, qui pourront se rejoindre ou non, et dans celles-ci des fourmis et des fruits.

Les galeries :

Elles sont représentées sur les tuiles et à vous de faire en sorte qu’elle soient connectées ou non, cette décision sera influencée par le calcul des points finaux.

Les fourmis :

Elles sont de plusieurs types,

  • Les Ouvrières : Ne disposent pas de spécialisation, elles sont là pour la vie de la fourmilière et vous apporteront des points en fin de partie
  • Les Nurses : Chargées de s’occuper des oeufs, chaque Nurse en transporte de 1 à 3 avec elle, prenez des soldates à votre armée en fonction du nombre d’oeufs.
  • Les Architectes : Elles permettent de prendre une tuile sans dépenser de soldates pour l’acquérir.
  • Les Sergents recruteurs : Vous dérobez au joueur en possession de la plus grande armée une soldate et vous l’ajoutez à votre armée.
  • Les Sentinelles : Elles servent à remplir ou vider les casernes de soldates en fonction de vos besoins. Les fourmis soldats dans les casernes vous rapportent des points à la fin de la partie mais ne peuvent servir pour acheter des tuiles. A vous de prendre les bonnes décisions.
  • Les Reines : Une Reine gagne des points en fonction de la taille de sa galerie, plus la galerie est longue plus elle vous rapporte de points. Mais la Reine est exclusive et si une autre Reine est dans la même galerie qu’elle, vous ne gagnez aucun point.

Les fruits :

Au nombre de 6, Cerise, Orange, Raisin, Mûre, Figue, Grenade et le cadeau servant de joker. Ces fruits sont plus ou moins rares et si vous réussissez à regrouper des fruits différents dans une galerie, vous allez exploser les scores !

Micropolis fruits

Vous voilà en possession de toutes les règles nécessaires pour jouer.

Concernant le matériel dans la boîte :

  • 61 tuiles de galeries
  • 6 tuiles de fondation, qui sont le centre de votre fourmilière
  • 45 soldates fourmis rouges
  • 1 jeton Armée rouge qui sert à désigner le joueur avec la plus grande armée
  • 2 jetons architectes
  • 1 carnet pour noter les scores.

On est surpris quand on reçoit la boite de voir qu’elle ne ferme pas totalement, limite inquiet d’avoir une boîte endommagée mais en fait, c’est simplement que les tuiles prennent beaucoup de place tant qu’elles ne sont pas dépunchées.

Micropolis

A part ça, rien d’extravagant, les figurines de fourmis rouges sont bien représentées, les tuiles bien découpées, l’ensemble rentre parfaitement dans le thermoformage de la boîte, rien ne bouge, j’aime quand les éditeurs prennent le temps de faire des beaux rangements dans leurs boîtes.

Les illustrations de Camille Chaussy donne un aspect gréco romain aux fourmis qui leur vont très bien. Le style cartoon permet de différencier les fourmis rapidement et leur fonction est tout de suite reconnaissable.

Micropolis

Le jeu est relativement accessible et si la boîte indique un 8+ pour jouer, un enfant de 6 ans peut jouer parfaitement si vous lui donnez un coup de main pour compter les points à la fin.

Mais si le jeu est simple, il ne manque pas de rejouabilité et il faudra réfléchir pour réussir à amasser plus de points que ses adversaires. Il ne suffira pas de prendre des tuiles au hasard pour composer sa fourmilière et espérer faire le plus de points possible, une tactique à moyen terme sera obligatoire pour gagner.

  • Dépensez vos soldates dans les tuiles et vous vous retrouverez coincé pour acheter de nouvelles.
  • Passez à côté des Nurses et vous n’aurez pas de nouvelles recrues.
  • Agencez mal vos galeries et vous perdrez tout effet de combo.

La gestion des troupes au milieu de votre fourmilière est vraiment importante, il ne faut pas passer à côté, dépensez trop et vous ne pourrez pas acheter les tuiles vous intéressant. De même, à chaque fin de tour, on désigne le nouveau Leader Militaire, étant la personne avec le plus de fourmis en garnison. Ce Leader devient le nouveau premier jouer, ce qui change quelques petites choses, non seulement vous devenez le premier joueur mais vous devenez aussi la cible des sergent recruteurs des autres joueurs. Méfiez vous !

Si vous décidez de maximiser les fruits, la bataille pour les plus rares est très importante, foncez sur les figues et les grenades !

Le format de Micropolis étant assez court, il est parfait pour un public enfant, les belles illustrations et la thématique réussiront à capter l’attention des plus jeunes. Mais Micropolis demandant plus de réflexion qu’il n’y paraît, même s’il ne révolutionne pas le monde ludique, les plus grands pourront se retrouver autour de ce jeu, avec des enfants ou non, sans le trouver dénué d’intérêt. 

La Récap de la Rédac

Nombre de joueurs 2 à 6 avec des variantes pour 2 et 3 joueurs
Durée d’une partie Environ 30 minutes
Date de sorite Le 11 Mai
Editeur Matagot
Prix Environ 25€

[Test] Titan Quest Remastered – Madeleine de Platon

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Titan QuestSalut les héros, aujourd’hui on se prend une bonne dose de nostalgie et on vous parle de Titan Quest Remastered. Ce jeu je ne l’attendais pas, à vrai dire je n’avais pas du tout suivi l’actualité ces derniers mois et je n’étais même pas au courant qu’il devait sortir sur PS4.  Mais quand Just For Games nous a proposé d’essayer le jeu, ça a été un oui catégorique !

Tout d’abord, quelques mots sur Titan Quest, premier du nom. Sorti en 2006 développé par Iron Lore et édité par THQ, ce Hack ‘n’ slash vous plonge dans la mythologie de plusieurs continent : Grèce, Egypte, Chine. Jouable en solo ou en multijoueurs, le jeu prend place dans la campagne grecque alors que vous n’êtes qu’un simple aventurier, vous vous retrouvez embarqué dans une guerre contre les forces maléfiques, menée par des Telkyns, qui semblent avoir réveillé toutes les créatures mythologiques possibles.
Ces créatures, sortent de djinns maléfiques cherchent à réveiller les puissances des anciens dieux pour détrôner ceux dirigeant le monde.

J’ai un passif avec la licence Titan Quest, le doux souvenir d’un été 2006 où le jeu est sorti et où nous avions passé les deux mois entiers à faire des parties en LAN avec mon cousin.  Ce n’est pas l’été où j’ai le plus bronzé, loin de là… Mais qu’est ce que c’était bon ! A deux nous avons trucidé des ennemis par milliers, conquis la Grèce, l’Egypte et la Chine, abattus des monstres mythologiques puissants et collecté sur leurs cadavres des pièces d’armures rares !

Ce jeu résonne en moi comme FFVII pour d’autres. Alors sans hésiter, j’ai mis de côté Monster Hunter et j’ai lancé Titan Quest Remastered. Et autant vous le dire tout de suite, ce jeu est fait pour moi mais je sais pas s’il est fait pour vous.

Titan Quest
Ce n’est pas vulgaire, c’est un hommage aux Monty Python !

Titan Quest est un diablo-like sorti 6 ans après Diablo 2, il était parfait pour passer à autre chose, des classes de personnages différentes, des univers différents mais un système de jeu équivalent qui ne dépayse pas ceux qui voulaient retrouver les sensations de Diablo 2. Une des grosses différences est que dans Titan Quest vous ne choississez pas une classe mais deux maîtrises qui combinées vous donneront votre classe. 

La liberté de choix et d’action font de Titan Quest un jeu où vous pouvez vraiment adapter votre style de jeu. De plus, vous pouvez reset votre personnage contre de l’or et ainsi changer de style si vous n’aimez pas le chemin que prend votre personnage.

Titan Quest
Tous les maîtrises que vous pouvez mixer entre elles

Surprise pour moi quand j’ai lancé le jeu, j’ai vu une nouvelle classe de personnages “Le Voyant”. Je ne me souvenais pas du tout de cette classe, après avoir cherché un petit peu, merci Google, j’ai appris que Titan Quest Remastered contenait le premier DLC Immortal Throne, qui ajoute des petites choses comme la possibilité de faire des échanges entre ses personnages, des formules pour créer des puissants artefacts, la nouvelle classe et tout un chapitre supplémentaire sur l’Enfer.

Joie! Du contenu inédit pour moi, ça va être la fête.

Néanmoins, Titan Quest Remastered n’est pas exempt de défauts et là où l’édition anniversaire sortie en 2016 avait corrigé des bugs, remodelé l’intelligence artificielle des monstres et des compagnons, j’ai l’impression de ne pas avoir profité de toutes ces améliorations…

Le jeu a des lacunes techniques, il n’est pas rare de voir le jeu ramer (oui un jeu de 2006 sur une PS4, rame…) des textures ne pas apparaître, je me suis fais attaquer par des “ombres” je tuais les monstres plus rapidement que les textures n’apparaissaient, j’ai même cru que c’était de nouveaux monstres ^^ Il y a pas mal de clipping aussi, c’est dérangeant de voir des ombres clignoter façon stroboscopes…

Le jeu n’est pas toujours fluide dans les commandes, lorsque vous vous déplacez pour aller ramasser un objet, si vous ne lâchez pas le stick directionnel, le héros ne reprend pas à marcher, c’est con mais ça me bloque assez souvent, je m’agace de ne pas voir mon personnage continuer à avancer dans la direction voulue de façon fluide.

Titan Quest
Le fameux cône !

De la même façon des “cônes” de visées apparaissent quand vous appuyez sur la touche pour attaquer et une direction, pour cibler précisément un ennemi c’est sympa mais vu qu’on est dans du jeu où on dézingue toute la faune de l’antiquité, on se retrouve face à des moments où le personnage n’attaque pas, il est en mode visé, il attend qu’on relâche le stick de direction pour attaquer. C’est fatiguant…

Des petits bugs facilement modifiables devraient être réglés rapidement, comme ce souci de de nomination du bouton pour renvoyer les compagnons

Titan Quest

Ces lignes sont rédigées après avoir atteint Athènes dans le jeu (environ 10h de jeu) et le 15 mars, date à laquelle le jeu n’est pas sorti officiellement et peut disposer d’une grosse mise à jour le 20 du même mois, pour sa sortie.

Mais malgré ça, en lançant le jeu, je me suis retrouvé face au souvenir que j’en avais de lui. Soit il était très beau à l’époque, soit l’équipe technique derrière le Remaster a fourni un taf de folie.

Le jeu n’est ni beau ni moche, et s’il on prend en compte qu’on parle d’un jeu de 2006 où l’on peut parcourir la carte entière sans chargement, Titan Quest est superbe. J’ai l’impression d’avoir le même rendu sur ma grande télé aujourd’hui que sur un petit écran il y a 12 ans. Par contre les décors sont riches et chaque tableau est un plaisir à découvrir et explorer. 

Et si je râle sur des défauts techniques, je ne peux m’empêcher d’y retourner, les musiques me transportent dans le passé et j’ai toujours ce plaisir à chaque fois que je vois un objet rare tomber.

Titan Quest Remastered est un bon jeu de l’époque et il faut le prendre comme il était, son plus gros défaut est qu’il sort après qu’on ait tous passé 200h sur Diablo 3. Il souffre de la comparaison avec ce mastodonte du genre.

Je ne peux que vous conseiller de vous lancer sur Titan Quest Remastered si vous avez joué au jeu à l’époque, c’est une madeleine de Proust pour moi.

Titan Quest
J’ai un style de fou !

Si vous ne connaissez pas le jeu, attendez de savoir si un patch améliore les problèmes techniques cités plus haut avant de vous le procurer. Mais vu que j’adorerai voir une suite à ce jeu sortir, il y a un tel potentiel dans cette licence, allez tous vous jeter sur ce jeu pour qu’une suite soit décidée !

Titan quest : Remastered sort aujourd’hui, le 20 mars, au prix de 25€ sur PS4 et Xbox One et il arrivera un peu plus tard au prix de 40€ sur Switch. Une édition collector avec un casque de 23 cm est également disponible.

Red Faction – Un Re-Mars-ter, et ça repart!

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THQ Nordic poursuit sa lignée de sorties de versions rematerisées de son catalogue, après The Raven, et Titan Quest, THQ Nordic s’attaque à un autre gros morceau avec Red Faction. La licence Red Faction revient sur nos PCs et consoles avec un remaster de l’épisode Guerilla.

Dans Red Faction Guerilla vous suivrez l’aventure d’Alec Mason qui cherche à retrouver son frère parti sur Mars. La planète est désormais habitable et l’intrigue prendra place 50 ans après les événements du premier opus. Alec Mason se lancera dans un combat contre l’EDF (Earth Defense Force), ancien groupe armé ayant libéré la population opprimée de Mars. Mais une fois en place, l’EDF est tombée dans les travers qu’il combattait originellement et aujourd’hui seule la Red Faction s’oppose à elle.

L’originalité des Red Faction tenait entre autre à son moteur graphique qui promettait, à juste titre, un environnement extrêmement destructible. Et bien rassurez vous, la destruction de l’environnement est toujours présente et vous pourrez vous en servir pour piéger vos adversaires.

La version Re-Mars-terer apportera en plus d’un jeu de mot de bon goût :

  • Des graphismes totalement rénovés – Toutes les textures et le moteur graphique ont été retravaillés, comme par exemple les effets d’ombres et lumières.
  • Un meilleur rendu des ombres
  • Un meilleur rendu des lumières
  • Une refonte des shaders et du post-traitement
  • Le support 4K natif pour la meilleure expérience martienne de destruction du monde !

L’autre bonne nouvelle c’est qu’il en faudra pas attendre trop longtemps pour aller se fritter sur Mars puisque le jeu sera distribué par Just For Games et est prévu pour le deuxième trimestre 2018 sur PS4, Xbox One et PC!

Monumental – Une campagne rebootée

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Il y a quelques semaines de ça nous vous présentions le KS de Monumental, malheureusement cette campagne n’a pas pris la tournure que l’éditeur souhaitait.

L’engouement des premiers jours n’a pas perduré et le soufflé retombant, la campagne voyait le seuil de financement de plus en plus s’éloigner.

Suite à quoi, Funforge a dû prendre une décision : Rebooter sa campagne plus tard dans l’année.

Concrètement qu’est ce que ça veut dire ? La campagne est annulée mais pas le projet. Elle reviendra normalement cette année avec une meilleure préparation et sûrement une ligne de campagne différente.

Mais qui de mieux que le gérant de Funforge pour l’expliquer, voici le communiqué diffusé aux backers :

“Chers tous,

Tout d’abord, je voudrais vous remercier personnellement pour votre soutien à la campagne de Monumental. Nous avons travaillé pendant des mois sur ce projet avec Matthew Dunstan et nous croyons tous fermement aux grandes qualités de ce jeu.

Nous vous avons entendu, et nous comprenons que la campagne actuelle présente beaucoup de défauts dans sa préparation et sa structure même. Comme nous l’avons déjà dit, plusieurs éléments clés font défaut, et tout cela a empêché d’atteindre l’impulsion nécessaire au décollage de notre campagne Kickstarter.

Cependant, nous sommes toujours confiants dans le potentiel du jeu, et nous ne voulons pas moins qu’une campagne parfaite pour lui – ce qui n’est pas le cas actuellement.

Par conséquent, nous avons pris la décision de REBOOTER cette campagne plus tard cette année. Nous vous donnerons plus de détails sur la façon dont nous allons accomplir cela dans les prochains jours mais pour l’instant, soyez assurés de l’engagement suivant de notre part :

Le jeu verra la lumière : ceci n’est pas une pure annulation, c’est un report de la campagne pour le meilleur !
Nous avons pris en considération tous vos commentaires et nous aimerions remercier chaleureusement tous ceux qui nous ont aidés à signaler les erreurs et les lacunes de cette campagne. Nous savons que votre temps est précieux et nous apprécions que vous le preniez pour commenter de manière constructive ici.
Nous voulons que vous sachiez que notre travail acharné sur le jeu se poursuit malgré le redémarrage de la campagne car il est évident que nous devons venir avec un produit fini pour la prochaine fois. Je profite par conséquent de l’occasion pour vous montrer quelques-unes des nouveautés les plus récentes du jeu. Voici l’une des merveilles médiévales, la carte «Machu Pichu». Egalement, voici le bâtiment spécial des Atlantes, le port. En parlant des Atlantes, nous sommes heureux de vous faire découvrir la sculpture de la figurine d’Atlas, leur chef de guerre.

Comme nous dévoilons certaines des choses produites, je répondrai en même temps à l’une des questions qui ont été postées : OUI, chaque civilisation aura bien une illustration spécifique pour les mêmes bâtiments. Voici, par exemple, les différentes illustrations de forts pour les 5 civilisations de base (Du haut à gauche en bas à droite : Danemark – Egypte – Grèce – Chine – Japon). Ces cartes ont toutes la même mécanique mais elles sont toutes visuellement différentes pour que chaque civilisation ait sa propre personnalité. Nous pensons que cela aura une grande importante dans le côté immersif du jeu.

En attendant les détails des prochains plans de reboot de la campagne, j’espère que vous apprécierez ces travaux autant que nous avons aimons les créer.

Merci encore à tous nos backers et aux amoureux de la première heure de ce jeu, restez à l’écoute d’un meilleur futur pour MONUMENTAL!

Philippe Nouhra – Gérant, Funforge”

Comment expliquer cet échec ?

Plusieurs pistes :

  • Un financement trop haut bien que sûrement plus réaliste que d’autres projets ?
  • Pas d’Early Birds ?
  • Une boîte de base trop chère ?
  • Un all-in pas tout fait all-in et pas spécialement avantageux ?
  • Des addons chers ?

Chacun tirera les conclusions qui s’imposent mais n’oublions pas que derrière ce projet, il y a un auteur, des illustrateurs et toute l’équipe de Funforge. Un échec n’est jamais facile mais nous leur souhaitons de retravailler leur campagne du mieux possible et de revenir avec une offre attractive qui permettra d’exploser les compteurs !

Nous vous tiendrons au courant du renouveau de ce projet dès que nous aurons plus de nouvelles.
D’ici là bon courage à eux !

Monumental

 

Dragon Ball Super – De quoi patienter après la fin de l’animé

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Dragon Ball Super

Dragon Ball SuperSalut les Saiyans, le dernier épisode de Dragon Ball Super vient de sortir et après s’être remis des émotions de cet épisode, on doit faire face à une nouvelle sortie, Dragon Ball Super le jeu de cartes ! Sorti depuis plus d’un an aux états unis, le jeu vient d’arriver chez nous, traduit en français et il tombe à point nommé pour satisfaire les fans de la licence mais également les aficionados du duels de cartes.

Pour vous présenter le jeu, nous avons eu la chance de recevoir deux kits de démonstration. Merci à Abyss Corp !

Le kit est composé de 26 cartes, une carte Leader et 25 cartes composant votre deck et de deux feuilles A3 pour vous présenter les règles du jeu et vous mettre un tapis à disposition pour bien organiser votre zone de duels.

Dragon Ball Super

Commençons par les règles générales :

Votre deck de cartes est composé de 50 cartes + 1 carte Leader. Au début de votre tour, vous piochez 6 cartes, vous avez la possibilité de repiocher si elles ne vous conviennent pas, puis vous disposez les 8 prochaines cartes, faces cachées à côté de vous. Ce sont vos points de vie.

Les personnages doivent s’affronter en confrontant leurs puissances, notées en bas à gauche, pour chaque attaque réussie sur le leader, vos points de vie baissent d’une carte que vous prenez en main.

Voici les grandes lignes mais intéressons nous à ce qui fait l’intérêt du jeu :

Dans Dragon Ball Super, vous possédez donc un leader qui sera la carte autour de laquelle va s’articuler votre jeu. C’est un personnage charismatique de la série et nous pouvons trouver Freezer, Beerus, Broly et celui présent dans le kit de démo : Son Goku.

La carte Leader est particulière car elle possède une capacité “Eveil” qui lui permet d’activer le verso de la carte, plus fort et pouvant retourner la situation rapidement.

Thématiquement c’est proche de l’anime car Son Goku peut s’éveiller quand il nous reste plus que 4 points de vie, le Saiyan devenant plus fort quand il approche de la mort, c’est raccord à l’esprit Dragon Ball, c’est agréable.

Mais votre Leader ne sera pas seul dans cette bataille, il sera accompagné par d’autres personnages et cartes pour l’épauler. Les cartes sont partagées en 2 catégories :

  • Combat : Ce sont les cartes personnages qui vont combattre avec vous, tous les personnages de l’univers de Dragon Ball Super sont mis à contribution et ceux n’étant pas encore présents, rejoindront les rangs dans des prochaines extensions.
  • Extra : Ce sont des cartes qui permettent d’élargir vos options de jeux avec des contres, des pioches, des blocages, etc…

Dragon Ball Super

Vous le voyez, une carte est composé de plusieurs éléments :

  • Son nom
  • Son coût
  • Un chiffre à la verticale
  • Des capacités
  • Un puissance
  • Et des informations relatives à la carte : Personnage, Origine, Ere
  • Une couleur (le tour de la carte)
  • Une illustration

Parlons du coût d’une carte, dans Dragon Ball Super, vous n’avez pas besoin de terrain, de mana ou autre comme dans Magic. Chaque carte peut servir d’énergie pour utiliser les autres cartes. On reste dans le thème du manga où chaque personne donne son énergie pour le Genkidama de Son GokuA chaque tour vous allez choisir une carte de votre main et la mettre dans la zone d’énergie pour servir de “carburant” aux autres. Le système est malin et évite de devoir calculer une proportion de terrains par rapport au nombre de cartes, c’est rapide, on prend une carte de sa main, on la défausse, ça devient une source d’énergie.

Attention tout de même, la couleur de la carte est importante. Pour une carte possédant à côté de son coût des boules bleues ou vertes, il vous faudra impérativement des cartes de cette couleur en énergie pour pouvoir la poser.

Le chiffre à la verticale est un boost de puissance pour vos cartes. Si une de vos cartes n’est pas assez puissante pour attaquer celles de l’adversaire, il est possible de prendre une carte de la zone de combat ou de votre main et de la transformer en boost pour celle qui attaque. Se faisant pour perdez la carte qui sera défaussée à la fin du tour mais vous aurez la puissance nécessaire pour porter un coup à votre adversaire.

Ce boost peut être payant ou non, un marqueur représentant le coût est positionné avant le boost pour vous l’indiquer

Dragon Ball Super

De la même façon que les cartes devenant énergies, vos cartes de combat sont également des objets qui viennent améliorer vos attaques, on est toujours dans une recherche de fluidité et de rapidité de jeu.

Les capacités des personnages sont trop nombreuses pour êtres détaillées mais elles sont toujours en rapport avec la carte, par exemple Krilin peut se sacrifier pour bloquer une attaque. Krilin meurt… Encore une fois… Il tient bien son rôle de chair à canon…

Dragon Ball Super

La puissance est relativement simple à comprendre, vous faites affronter deux cartes, si l’attaquant à une puissance égale ou supérieur il gagne le combat, infligeant un dégat s’il attaquait le leader ou mettant KO l’autre carte si c’est une autre carte. Le défenseur gagne le combat s’il possède une puissance supérieure et l’attaquant repart chez lui.

Les informations relatives à la carte servent pour les capacités. Par exemple, que serait Dragon Ball Super sans évolution ? Dans ce jeu vous pouvez poser des formes évoluées de vos personnages en jeu ou bien transformer des forme plus basique que vous auriez posées avant pour un coût moindre. Par exemple Trunks Implacable vous coûtera 4 énergies (dont 2 vertes) mais seulement 3 énergies (dont 2 vertes) si vous avez posé avant Trunks déchaîné.

Dragon Ball Super

Cet échange est rendu possible grâce à sa capacité “évolution : Trunks futur : Jouez cette carte par dessus la carte indiquée” et que Trunks déchaîné possède dans ses informations “Trunks futur

Le jeu fait tout pour être rapide à jouer et nerveux, ce qui le caractérise le plus est qu’on peut déclarer autant de phases d’attaque que l’on veut par tour et poser autant de cartes que l’on souhaite entre ces phases d’attaque.

Un autre aspect génial du jeu, vos points de vie, matérialisés par les des cartes de votre deck, chaque coup que vous recevrez vous permettra de piocher cette carte et malgré le fait que vous vous rapprochiez de la mort, vous vous retrouvez avec des possibilités de jeu étendues qui pourraient bien changer la donne dès votre prochain tour.

Se prendre des coups n’est pas forcément une mauvaise stratégie, vous vous mettez en danger mais en échange vous piochez des cartes et vous pouvez débloquer l’éveil de votre Leader.

On est loin du schéma classique de Magic “Phase de dégagement, phase de pioche, phase de pose de mana, phase de pose de carte, …” qui est stricte mais en plus vraiment une source d’austérité à mes yeux…

Quand j’ai appris qu’un jeu de cartes à collectionner Dragon Ball Super sortait, j’ai eu peur d’un jeu fade voulant surfer sur le succès de la série et n’apportant qu’un reskin d’un jeu tel que Yugi-oh! ou Magic, mais pas du tout, on se retrouve devant un jeu avec des mécaniques malines et avec un rythme de jeu agressif et nerveux qui retranscrit bien l’univers de l’anime.

Les illustrations font honneur à l’animé, et je parle des épisodes réalisés avec des vrais moyen pas ceux en 15 images secondes, on a plaisir à voir que les capacités sont raccord avec les personnages et l’histoire.

C’est un jeu qui ne se moque pas des joueurs ni de la licence et c’est vraiment une bonne surprise.

Pour aller plus loin :

Pour vous apprendre à jouer, une application a été mise à disposition gratuitement sur IOS et Android, il vous suffit de chercher “DBSCG” pour tomber dessus.

Concernant les règles en détails, voici les recto/verso des feuillets fournis avec le kit de démo

Si vous cherchez un avis plus poussé sur les mécaniques du jeu ainsi que des informations sur la méta et les techniques à connaître pour maîtriser Dragon Ball Super, nous ne pouvons que vous conseiller le site de notre ami Caskull : https://dbsupercg.com/

Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, nous vous offrons la possibilité de gagner un kit de démo qui a servi à faire ce test !

Pour celà rien de plus simple, rendez-vous sur la page Gleam et suivez les instructions ! 

[KS] Pacific Rim: Extinction – Un Full set monstrueux

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Présenté il y a peu, le KS de Pacific Rim: Extinction, bien que déjà financé, semblait marquer un palier, probablement en raison du coût du jeu et des extensions. River Horse a donc décider de frapper un grand coup avec une foule de Jaegers et Kaïju supplémentaires, et un engagement permettant de tous les avoir.

Et quel meilleur moment que le lancement de Pacific Rim: Uprising dans les salles de cinéma pour relancer l’engouement? Ainsi donc se rajoute au casting des stars du premier film:

  • Cherno Alpha, le Jaeger qui sent bon la Russie
  • Striker Eureka, le Jaeger australien
  • Crimson Typhoon, le Jaeger chinois à trois pilotes.
  • Leatherback, Otachi et Knifehead, trois Kaïju issus aussi du premier film

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En plus de la possibilité de les acheter à 20£ pièce comme extension, ce qui n’est pas encore abusé lorsqu’on se rappelle qu’il s’agit de figurines peintes faisant 10 centimètres de haut, elles seront toutes disponibles dans une participation qui regroupe toutes les sorties passées et à venir: le All-In pledge ! Avec ce nouveau coup de poker, River Horse espère probablement attirer un public désireux d’acquérir l’intégralité sans trop se ruiner.

Ne vous réjouissez pas non plus trop vite car il faudra cela dit débourser 250£ pour posséder l’intégralité de Pacific Rim: Extinction. A ce prix là toutefois vous bénéficierez de:

  • le jeu de base bien sûr
  • Saber Athena
  • Hakuja
  • La figurine exclusive du Kickstarter Gipsy Avenger
  • Gipsy Danger
  • Bracer Phoenix
  • Obsidian Fury
  • Guardian Bravo
  • Raijin
  • Cherno Alpha
  • Crimson Typhoon
  • Leatherback
  • Otachi
  • Striker Eureka
  • Knifehead
  • Ainsi que tous les objectifs débloqués avant la fin de la campagne Kickstarter, tel que la figurine de Slattern débloqué à 100 000£

L’offre reste donc intéressante avec déjà plus de 315£ de contenu pour cet engagement d’autant plus qu’une fois ce Kickstarter finit cela sera trop tard et vous devrez les prendre séparément ! Petit contrecoup de ce nouvel engagement, les producteurs de Pacific Rim: Extinction ont dû découper l’expédition des éléments en plusieurs vagues pour s’assurer que le jeu de base et les premières extensions soient sous votre sapin pour Noël. Et malheureusement des frais de port supplémentaires s’appliqueront sur les envois suivants.

  • Vague 1 (expédition estimée en Novembre 2018):
    • Core Set
    • Saber Athena
    • Hakuja
    • Gipsy Danger
    • Pose alternative de Gipsy Avenger
    • Obsidian Fury
  • Vague 2 (expédition estimée en Février 2019):
    • Bracer Phoenix
    • Guardian Bravo
    • Raijin – Slattern
    • Cherno Alpha
    • Crimson Typhoon
    • Leatherback
    • Otachi
  • Vague 3 (expédition estimée en Juin 2019):
    • Striker Eureka
    • Knifehead
    • Toutes les extensions à venir

Pacific Rim: Extinction reste donc toujours à mes yeux un Kickstarter pour les passionnés de l’univers Pacific Rim ainsi que des duels entre méchas et Kaïju. Le jeu en vaut la chandelle malgré un coup impressionnant. Personnellement je suis faible et rien que la vue du prochain palier à 110 000£ me fait plaisir: coucou Raiju !

[KS] Pacific Rim: Extinction – De quoi rugir de plaisir?

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Alors que les bandes annonces s’enchainent avant la sortie du film Pacific Rim Uprising, prévu pour le 21 Mars prochain, River Horse a lancé il y a quelques jours un Kickstarter basé sur la licence et intitulé Pacific Rim: Extinction et qui s’annonce déjà être un succès car financé en seulement deux heures.

L’univers de Pacific Rim

Pacific Rim afficheDans Pacific Rim, l’humanité est assaillie par des créatures terrifiantes surgissant des profondeurs des océans: les Kaïju qui ravagent tout sur leur passage. Le monde, dévasté, a alors recours à une nouvelle arme développée pour contrer cette menace: les Jaegers, des robots gigantesques contrôlés par deux pilotes via une connexion neuronale. Après des succès glorieux, de nouveaux Kaïju encore plus puissants et gigantesques débarquent et inversent l’équilibre des forces. Acculés, les derniers membres du Pan Pacific Defense Corps lancent un assaut sur la source de ces Kaïju et mettent un terme au conflit après de lourds sacrifices.Pacific Rim Uprising affiche

Avec Pacific Rim, Guillermo Del Toro nous offre un scénario (très) simple mais efficace: des monstres colossaux face à des robots géants avec des images sublimes qui séduiront les fans du genre. Reporté depuis des annèes, Pacific Rim Uprising nous plonge dans un scénario très similaire quelques années plus tard avec une nouvelle vague de Kaïju et une nouvelle génération de pilotes désireux de faire leurs preuves.

Le jeu Pacific Rim: Extinction

Pacific Rim: Extension est un jeu de stratégie avec figurines pour deux joueurs ou plus qui vous permet de jouer des scénarios où vous pourrez soit semer le chaos et la destruction dans des villes avec un Kaïju, soit d’éviter ce destin tragique à la population aux commandes des Jaeger du Pan Pacific Defense Corp. Les figurines sont prépeintes, une chance pour les bras cassés incapables de peindre comme moi, et sont prévues pour faire entre 7 et 10cm de haut (échelle 1:1000 environ)! C’est un peu moins impressionnant au niveau des décors, et il faudra jongler entre les tuiles en 2D et les bâtiments 3D un peu cheap à poser sur un tapis de jeu texturé fourni.

Pacific Rim Extinction Figurines Starter

Le gameplay

Dans Pacific Rim: Extinction vous pouvez soit lancer rapidement une partie à l’aide des ‘Quick play cards’ soit partir sur un format construit. Dans ce second cas, le joueur Kaïju détermine l’ampleur de l’attaque en fonction du niveau de tous les Kaïju en jeu et le joueur incarnant le Pan Pacific Defense Corp sélectionne alors les Jaegers, les Rangers qui les piloteront et les améliorations en conséquence.

Le but du jeu n’est pas le même selon votre camp: le joueur Kaïju devra remplir un objectif qui lui sera dévoilé en début de partie et inconnu de son adversaire qui quand à lui devra tout simplement protéger l’humanité de la dévastation.

Les stats de nos géants

Kaïju et Jaegers possèdent tous leurs propres capacités et propres améliorations envisageables: vous pouvez tout aussi bien améliorer l’équipement des Jaegers ainsi que leurs armes tout comme vous pouvez ajouter des mutations aux Kaïju pour les rendre plus dangereux et imprévisibles.

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Et action!

Le contrôle des Kaïju et des Jaegers dans Pacific Rim: Extinction se fait à l’aide de cartes actions. Elles décrivent les attaques, les techniques personnelles, leur manière de se défendre, les armes secrètes et tout ce que les joueurs peuvent faire faire à leurs monstres ou leurs méchas. Elles sont au nombre de 6 par figurine et seront défaussées au hasard au fur et à mesure que vous encaisserez des dégats: il faudra donc espérer ne pas perdre sa compétence favorite trop tôt dans la bataille!

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La tac-tactique du Jaeger…

La gestion du mouvement de vos Jaeger et de vos Kaïju sera cruciale pour prendre le dessus sur votre adversaire. En effet, bien que tous deux se déplace jusqu’à leur valeur maximale de déplacement, le Jaeger devra se contenter de pouvoir tourner qu’à la fin de son mouvement tandis que le Kaïju pourra changer son orientation avant ou après son mouvement: c’est plus naturel de se déplacer après tout pour les Kaïju que pour des pilotes de Jaeger! Et cette gestion du mouvement sera importante dans Pacific Rim: Extinction. Prenez votre adversaire à revers et vous pourrez alors avec vos alliés le prendre au dépourvu et lui infliger de lourds dégâts!

Pacific Rim Prise a revers
J’ai connu des prises à revers plus efficaces…

Comment gagner?

Si un Jaeger ou un Kaïju prend un nombre de dégâts égal à son nombre de points de structure ce dernier est détruit! Détruisez tous les Jaeger ou tous les Kaïju et la partie s’achève. Bien sûr vous aurez une victoire morale sur l’adversaire mais pour savoir qui est le grand gagnant du scénario il vous faudra vérifier les objectifs de votre adversaire pour découvrir si la victoire est totale!

Pacific Rim Victory

River Horse

River Horse est une société fondée en 2010 à Nottingham au Royaume-Uni par Alessio Cavatore. Forcément en évoquant Nottingham les amateurs de jeux de stratégie pensent Games Workshop et vous ne vous trompez pas car le Alessio Cavator est un ancien de cette société connu pour avoir travailler précédement sur les licences de Games Workshop telles que Warhammer, Warhammer 40000, Mordheim ou Le seigneur des anneaux. Il a ensuite rejoint Warlord Games où il a créé Bolt Action avec Rick Priestley avant de créer River Horse et de développer des jeux tels que Shuuro, Loka, The Tarot of Loka, Waterloo – Quelle affaire, Jim Henson’s Labyrinth: The Board Game et Terminator Genisys: The Miniatures Game. Ils n’en sont donc pas à leur coup d’essai sur des licences connues.

Les options du Kickstarter

Les options pour Pacific Rim: Extinction restent limitées: vous avez le Uprising Pledge qui pour 35£ vous offre le contenu de base avec le Jeager Gipsy Avenger et le Kaïju Shriketorn ainsi que les cartes nécessaires pour les jouer, les dés et les marqueurs qui vont bien ainsi qu’un livre de règles totalement en couleur mais aussi un tapis de jeu et des bâtiments en 3D.

Pacific Rim Extinction Core Set contents

L’Extinction Pledge quant à lui en plus du contenu de base vous offre les extensions avec les Jaegers Gipsy Danger, Saber Athena et le Kaïju Hakuja. Les plus rapides auront pu pour le même montant obtenir une figurine alternative du Jaeger Gipsy Avenger. Ne cherchez pas, l’early bird est fini depuis longtemps: il fallait être là lors des deux premières heures de ce Kicstarter pour en bénéficier malheureusement…

Pacific Rim Extinction Level Pledge

Avec plus de 96 000 £ engrangés auprès de 1300 contributeurs et 17 jours restants, on peut espérer encore que quelques améliorations seront apportées. Le contenu de base reste très limité (35£ pour un Jaeger et un Kaïju donc) et malgré les efforts de River Horse suite aux protestations du public le contenu de l’Extinction level pledge à 65£ contient uniquement 3 Jaegers et 2 Kaïju. Le passage donc à la caisse sera probablement nécessaire avec l’Extinction Bundle à 40£ qui vous offrira deux Kaïju (Raijin et Slattern) et un Jaeger (Guardian Bravo) supplémentaires. Et vous repasserez de nouveau à la caisse si vous souhaitez toutes les extensions qui minent de rien coûtent 20 livres chacunes. Mais c’est aujourd’hui la seule option si vous souhaitez vous procurer la figurine offerte au premier backer (une figurine alternative du Jaeger Gipsy Avenger) ou bien encore les Jaegers Bracer Phenix ou Obsidian Fury (un Jaeger qui soutient les Kaïju)…

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Une addition salée à près de 150 £ qui éloigneront aisément ceux qui ne sont pas des fans inconditionnels de la licence Pacific Rim alors qu’est annoncé aussi pour la fin de cette année et dans un registre proche Monsterpocalypse qui fait son grand retour. Un choix cornélien donc, même si pour ma part vous l’aurez compris j’ai déjà craqué pour Pacific Rim: Extinction ^^

[Test] Tesla Vs Lovecraft – Te(sla)keli-li!

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Salut les cultistes! Vous l’aurez compris avec cette intro, on va parler de H.P. Lovecraft, une nouvelle fois. Mais pas seulement, il sera accompagné d’un scientifique de renom, Nikola Tesla. Etrange association me direz vous… Et bien oui, 10tons regroupe dans un jeu tout aussi étonnant ces deux figures emblématiques de la science et de la littérature qui ont fait rêver tant de monde. Les deux personnages en avance sur leur temps dans leurs domaines respectifs sont souvent la source de divagations scientifiques et horrifiques, ce twin stick shooter fait donc s’opposer science et mysticisme dans des combats intenses.

Est- ce que Tesla Vs Lovecraft se repose simplement sur l’affect des gamers pour ces deux personnages qui suscitent tant de passion dans la pop culture, ou bien va-t-il plus loin? Est ce que cela vaut le coup de laisser des horreurs cosmiques pénétrer dans votre chère PS4, Xbox One ou Nintendo Switch? Nous allons essayer de répondre à toutes ces questions.

Tesla Vs Lovecraft, Round 1 : le synopsis.

Tout commence alors que Nikola Tesla fait une présentation publique de ses travaux, Lovecraft fait irruption dans la salle pour mettre le monde en garde contre ces recherches qui mettent le monde en péril, il est alors arrêté et emprisonné. Mais … il se trouve qu’il à raison, des créatures hideuses et tentaculaires envahissent la ville et saccagent le laboratoire de Nikola Tesla.

Le scientifique rassemble alors son matériel et part affronter ces bêtes grotesques et immondes.

Tesla Vs Lovecraft, Round 2 : le gameplay.

Les contrôles sont simples, on déplace son personnage, vu du dessus, avec le joystick gauche, on oriente les tirs avec le stick droit et on tire avec R2, on utilise deux stick et un bouton pour tirer comme quoi, le genre porte bien son nom!

Rien d’original de ce côté là, mais rassurez vous, le jeu introduit plusieurs autres petites mécaniques que je trouve très sympathiques. Les combats se déroulent sur des maps fermées, type arène, plus ou moins grandes sur lesquelles déferlent des vagues d’ennemis. Certaines maps sont très étriquées, d’autres plus grandes et labyrinthiques. Il y en a pour tous les goûts. Les ennemis quant à eux apparaissent sur divers points lumineux de la map à intervale régulier. Pour espérer survivre il vous faudra être mobile en permanence et défourailler sur ces hordes démoniaques.

Vous commencerez les niveaux dans le mecha de Nikola Tesla, qui possède un bouclier et qui finira inexorablement par exploser. Cette machine de guerre est un avantage considérable sur vos adversaires, mais rassurez vous vous pourrez la récupérer après son explosion. Il vous faudra collecter dans le niveaux les six parties de mecha, une fois cette formalité accomplie, vous pourrez invoquer à nouveau votre Mobile Suit archaïque et repartir dézinguer joyeusement toutes ces créatures qui en veulent à votre peau.

De nombreux items apparaîtront sur la carte : de nouvelles armes et capacités spéciales. Vous pourrez donc troquer votre petit pistolet de base contre un Revolver un peu plus puissant, une mitraillette ou carrément un fusil à pompe Tesla. Vous débloquerez cet arsenal en progressant dans le jeu. Vous pourrez aussi acquérir des capacités spéciales dévastatrices comme la Nova qui fera exploser toute une zone, infligeant de lourds dégâts aux ennemis. Il arrivera également de temps en temps que vous trouviez une “Nuke”, et là, c’est jackpot, cette tête nucléaire rase littéralement la zone de jeu.

Plus vous tuez d’ennemis, plus vous gagnez de l’expérience (qui ne sera pas conservée entre les niveaux), en passant un niveau, vous pourrez choisir entre deux nouvelles capacités. Ces capacités sont cruciales pour votre survie, elle pourront aller d’une augmentation de vitesse, à une régénération de vos points de vie continue en passant par un ajout de projectile à vos tirs (qui peut être cumulé plusieurs fois), vous transformant, ainsi que votre mecha, en véritable machine de guerre. Vous pourrez obtenir quelques capacités supplémentaire en prenant le temps de détruire les autels dédiés à Cthulhu qui popperont dans le niveau, généralement ça vaut le coup de prendre quelques secondes supplémentaires, quand on voit le gain de puissance accordé.

En fin de niveau, vous obtiendrez des cristaux, après un certain nombre de monstres tués de chaque type, qui vous permettront d’acheter des améliorations permanentes pour votre personnage. Cela dit, lors du premier run ce gain de cristaux est très limité. Il vous sera possible d’en acquérir par le biais de quêtes journalières comme “récupérer 20 armes” ou “tuer XX Deep Ones”, mais la majeure partie sera à récupérer lors de votre deuxième et troisième run.

Car oui, Tesla Vs Lovecraft propose de parcourir le jeu plusieurs fois, avec des difficultés différentes. Vous vous promenez dans les lieux emblématiques de l’univers de Lovecraft sous le prisme de plusieurs plans : normal, Plan de l’Aether et plan d’Eldritch. Avec une difficulté croissante dut au nombre de monstres et à leur type (dans le plan d’Eldritch, c’est le festival du tentacule!), vous aurez aussi la possibilité de récolter directement des cristaux dans les niveaux. Après avoir achevé le plan normal, Nikola Tesla récupérera des lunettes lui permettant d’apercevoir ces cristaux dans sa réalité.

L’équipe de 10tons a réalisé avec ce titre un twin stick shooter diablement efficace, avec tout un tas de petits systèmes typés RPG qui fonctionnent et donnent envie d’avancer. Le jeu est entièrement en anglais, mais ne requiert pas un niveau exceptionnel dans la langue de Shakespeare. L’histoire est simple et les capacités suffisamment explicites pour profiter pleinement du jeu, sans que la langue ne soit un souci.

Tesla Vs Lovecraft, Round 3 : la direction artistique.

Quand on parle de l’univers de Lovecraft, il est difficile de représenter ces horreurs indicibles présentes dans les récits de l’Ecrivain de Providence. le jeu de 10tons ne révolutionne pas la vision du mythe que l’on avait jusqu’à présent mais ne s’en sort pas mal du tout dans la représentation des horreurs cosmiques. Les “Deep ones” que l’on rencontre par exemple dans Le Cauchemar d’Innsmouth sont très bien dans leur rôle de chair à canon. 

Le design des boss est également très sympathique. J’ai beaucoup aimé le combat contre l’Horreur d’Eldritch, et sa représentation. Si par malheur elle vous touche, c’est la mort instantanée, je trouve ça plutôt malin pour figurer l’indicible horreur si chère à Lovecraft. Pour rester dans le design des monstres, le jeu propose une petite encyclopédie compilant le bestiaire, c’est une petite attention que j’ai appréciée.

Les maps sont variées et font voyager le joueur dans des environnements divers, allant du cimetière d’Arkham jusqu’au montagnes Hallucinées! (Probablement ma carte préférée, allez savoir pourquoi 🙂 )

Au niveau de l’ambiance sonore du jeu, Les musiques sont agréables et créent une ambiance sombre et mystique, sauf lorsque vous pilotez votre mecha, vous aurez le droit à de bons gros riffs bien Metal qui ajoutent à la frénésie des combats.

Final Round! Conclusion.

Je me suis lancé dans Tesla Vs Lovecraft sans rien en connaître, juste parce que « Lovecraft » était dans le titre, comme un gros fanboy. Je craignais que le jeu ne se cache que derrière les noms de ces deux célébrités entrées dans la pop culture, pour jouer sur l’affect des fans et dissimuler un gameplay creux. Et bien je ne pouvais pas en être plus loin, ce fut une très agréable découverte. Le gameplay est bon, les graphismes colorés, fins et ultra fluides servent bien ce joyeux bordel mêlant arcs électriques et tentacules à foison. Tesla Vs Lovecraft est devenu mon “jeu du midi”, que je lance durant la vingtaine de minutes qui me restent avant de retourner au travail. Ses niveaux de 3, 5, ou 7 minutes sont parfait pour des sessions courtes, même s’il est difficile de se limiter à un ou deux. Disponible depuis le 14 mars sur le Playstation Store pour PS4, au prix de 14.99€, Tesla Vs Lovecraft arrive sur Xbox One et Nintendo Switch le 16 mars.

Une nouvelle vidéo pour Penny-Punching Princess

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Penny-Punching Princess s’illustre dans un nouveau trailer haut en couleurs, nous dévoilant deux nouveaux personnages jouables : Princess et Isabella.

Ce titre original propose, dans un monde où le capitalisme est roi, d’utiliser l’argent que vous collecterez pour vous tirer des embûches qui se dresseront sur votre chemin. En effet, vous pourrez corrompre et recruter vos ennemis afin qu’ils combattent à vos cotés, déclencher des pièges mortels avec votre cash, et si rien d’autre ne marche, fracassez tous les obstacles présents sur votre route à coups de poing ! Partez de rien et amassez des trésors pour affronter la puissante famille Dragoloan et reprendre votre royaume, armé de vos poings et de votre calculette!

Le prochain titre de NIS America, que Tentacle détaillait dans un précédent article, sera disponible en Europe dans deux petites semaines, le 30 mars prochain sur Nintendo Switch et sera distribué par Koch Media. Une édition collector pour Nintendo Switch est disponible sur le store européen de NIS America mais il ne reste plus beaucoup de stock!

Voici le trailer en question :

[Test] Galèrapagos – Y’a du soleil et des cobras, darlidadada…

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Galèrapagos

GalèrapagosSalut les naufragés, bienvenue sur l’île de Galèrapagos !

Créé par Laurence et Philippe Gamelin, illustré par Jonathan Aucomte et édité par GigamicGalèrapagos nous emmène sur une île tropicale et ça ne s’annonce pas de tout repos….

Mettez vous dans l’ambiance…

Soyons clairs, l’idée d’un séjour tranquille sur cette île avec cocotiers et soleil pour parfaire votre bronzage n’était pas une mauvaise idée au départ. Mais le fait que vous soyez arrivés sur cette île suite au naufrage de votre navire de croisière et sans moyen de vous en échapper explique sûrement le fait que vous n’allez pas passer prochaines journées à vous prélasser au soleil…

Dans ce jeu “coopératif” vous devrez faire équipe avec vos infortunés compères, de 3 à 12, pour survivre et vous échapper de cette île inhospitalière.

Sur l’île de Galèrapagos, chaque jour vous aurez plusieurs tâches possibles :

  • Aller chercher du bois, il faut bien construire un radeau pour vous enfuir.
  • Pêcher, parce qu’on ne vit pas que d’amour et d’eau fraîche sur Galèrapagos.
  • Collecter de l’eau, la survie ça déshydrate et pas moyen de trouver un bar…
  • Fouiller l’épave, pour ceux qui préfèrent explorer que participer aux tâches communes !

Chaque joueur pourra effectuer une de ces actions à son tour et il serait bon de s’organiser un minimum car en fin de journée, chaque joueur vivant devra consommer une ration d’eau et de poisson s’il souhaite rester en vie.

En cas de pénurie d’une des denrées, il faudra que quelqu’un se sacrifie pour assurer la survie des autres, entendez par là qu’un vote général désignera le malheureux qui devra mourir de faim ou de soif. Les joies de la vie en communauté…

Pour éviter cette situation, il faudra effectuer l’une des tâches quotidienne, rien de plus simple :

Pour le bois, à chaque fois que vous décidez d’en ramasser, vous gagner 1 ressource pour construire le radeau, sachant qu’il en faut 6 par personne pour faire une place supplémentaire sur le radeau.

Si vous vous sentez chanceux, vous pouvez tenter une expédition en forêt pour récupérer plus de branchages, pour ce faire, vous plongez la main dans le sac en toile de jute et vous en sortez de 1 à 5 boules supplémentaires.

Galèrapagos

Si vous sortez des boules blanches, tout va bien vous êtes un pro du ramassage de branches. Si vous sortez la boule noire (HO Hohohoho ! Motus… ? Non… ? :/) vous vous êtes fait mordre par un serpent, vous rentrez au camp sans aucun branchage supplémentaire et en plus vous êtes malade. Vous ne pourrez pas voter ce soir et vous ne pourrez pas faire d’action pour le groupe le lendemain. Autant dire que vous êtes un boulet, la victime parfaite pour un sacrifice…

Pour la pêche, même principe, on plonge la main dans le sac et on en retire une boule. Cette fois-ci, la boule noire est celle qui vous apporte le plus de poissons et il est toujours agréable de la voir sortir.

Pour l’épave, vous décidez d’aller chercher des ressources dans l’épave de votre bateau avec l’espoir d’en ramener quelque chose d’utile. Ce qui n’est pas toujours le cas, mention spéciale pour le slip sale qui ne sert même pas de fronde ! Aller fouiller l’épave est une décision à double tranchant, vous pouvez en ramener des objets utiles pour votre propre survie, ou celle du groupe tout entier, voir des objets complètement inutiles.

 

 

 

 

 

 

Ce n’est pas toujours vu d’un bon œil d’aller fouiller l’épave quand on a des ressources assez basses…

Mais quand il est question de survie, la considération pour l’avis des autres et les politesses disparaissent ou sont très lourdement appuyés…  Comment dire non à “Peux-tu me donner ta ration de poisson s’il plaît?” avec un revolver pointé sur la nuque ?

Galèrapagos

Pour l’eau, ressource vitale mais aussi très aléatoire, n’ayant pas trouvé de point d’eau potable, vous serez tributaires de la météo. Un temps sec ne vous donnera peu ou pas d’eau alors qu’une bonne averse tropicale vous donnera de quoi boire pendant quelques tours.

A chaque début de tour vous allez révéler une nouvelle carte météo qui vous donnera la quantité d’eau que vous pouvez ramener par jour.
Mais ces cartes météo sont aussi votre compte tours.

Parmis les 12 cartes météo se cache une carte ouragan, que vous placerez aléatoirement dans les 6 dernières cartes, aussi, si les 6 premiers tours sont assez tranquilles, il ne faut pas perdre de vu qu’un ouragan peut arriver à tout moment et ruiner votre organisation et mettre le feu aux relations entre naufragés.

Et franchement, c’est ça qui est bon <3

On se fait des crasses à chaque partie, les alliances se font et se défont le temps de partager un poisson. On n’est jamais sûr de ce qu’a votre voisin en main. Est-ce-qu’il possède une arme ? Un objet pouvant l’avantager ou vous mettre en défaut ou bien simplement une ventouse ?

Les seuls gagnants de la partie sont ceux qui arrivent à s’échapper de l’île, tous les autres ne sont que des dommages collatéraux. On aura beau raconter à leur familles comment ils se sont sacrifiés pour votre survie et que c’était un geste beau et plein d’abnégation. Ce qu’ils ne sauront jamais c’est que vous l’avez forcé à manger un poisson pourri pour qu’il ne puisse pas faire de vote le soir même et que vous le condamné à mourir de soif…

Le rythme des parties étant assez courts, entre 6 et 12 tours, avec des actions simples pour chaque joueur, même à 12 on reste sous la barre de la demie heure de jeu et c’est parfait, on a tout de suite envie de recommencer la partie, pas pour s’échapper de l’île mais juste pour planter son voisin et se venger… Ce jeu révèle la crasse que cache vos amis derrière leur sourire ! Vous saurez avec qui vous ne devrez jamais partir en vacances…

Les auteurs du jeu, Laurence et Philippe Gamelin, ont continué à améliorer leur jeu en proposant des règles alternatives pour varier les plaisirs de jeu.

Niveau matériel, le jeu est coloré avec un style cartoon simple mais efficace, le plateau rassemble tout ce qu’on a besoin de trouver dans le jeu.

Galèrapagos

Tout est très lisible, pas moyen de se tromper dans les utilisations des objets ou sur les compteurs.

Mention spéciale pour l’épave qui est très bien modélisée en 3D et qui sert en plus de distributeur de cartes. Un petit plus pas désagréable ! 😀

Le sac en toile de jute est tout ce qu’il y a de plus simple, j’ai eu l’impression de retrouver les sacs de pomme de terre de mes grands parents, il est opaque, on ne voit pas les boules au travers, c’est tout ce qu’on lui demande. En plus ce matériau l’intègre parfaitement dans le thème du jeu, tout est raccord!

Les boules d’ailleurs, sont agréables à toucher, c’est un détail mais vu qu’on est à l’aveugle dans le sac, elles se mélangent bien et on ne sent pas de différence entre la noire et les autres.

Même les boîtes pour ranger les cartes sont thématique, en forme de caisses, c’est joli et ça permet de ranger le matériel proprement. Par contre si on protège les cartes, ça ne rentre plus. Mais vu le peu de manipulation, ce n’est pas trop grave.

L’intérieur de la boîte est décoré, c’est sympa d’avoir fait cet effort, mais pourquoi avoir décorer l’extérieur de la boîte de publicités pour d’autres jeux ?? C’est disgracieux, ça rompt tout le charme de la boîte et on ne la laissera pas sur la table, on a l’impression de voir un catalogue promotionnel… Vraiment dommage sur ce point.

Pour terminer, Galèrapagos est un excellent jeu d’ambiance entre amis qui acceptent les coups bas, le jeu est rapide à mettre en place, facile à expliquer et la tension est vraiment présente tout au long de la partie. Autant que les rires, souvent nerveux ou vengeurs ! On vous le recommande vraiment pour des parties, entre amis, régulières mais jamais semblables !

La Récap de la Rédac

Nombre de joueurs 3 à 12 naufragés
Age conseillé à partir de 10 ans
Durée d’une partie 30 minutes
Auteurs Philippe Gamelin, Laurence Gamelin
Illustrateur Jonathan Aucomte
Éditeur Gigamic
Prix 20 € Philibert Playin
Parkage Ludum

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