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The Long Reach – trouve enfin ça date de sortie

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The Long Reach trouve enfin une date de sortie sur PS Vita après une longue longue attente. Vous savez on vous en parlait en juin 2017. C’est via Twitter que The Long Reach annonce sa sortie pour le 14 et 15 août en Occident (PSN EU ou US)

La version physique devrait également trouver très prochainement une date de sortie. Pour rappel le jeu sera disponible chez Signature Edition. Signature Edition qui pour toute précommande offre une pièce à l’effigie du jeu !

The Long Reach est un jeu en pixel art avec un style artistique marqué. Le jeu se place dans la ville fictionnelle de Baervox aux États-Unis. Plus précisément, dans un institut de recherche scientifique où un système révolutionnaire de transfert de connaissances accéléré est en cours de développement.

Si vous ne l’aviez pas déjà deviné, quelque chose a mal tourné. La technologie sur laquelle les scientifiques ont travaillé a tourné au cataclysme et l’institut et la ville ont été affectés, et pas de la bonne manière ! La région environnante a été transformée en un vrai cauchemar et les participants à l’expérience se sont transmutés…

[LRG] Phantom Beaker : Battle Grounds – le collector

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Limited Run Games viennent d’annoncer leur sortie du 10 août. Il s’agira de Phantom Beaker : Battle Grounds sur Playstation 4 et Playstation Vita. Phantom Beaker aura même le droit à un version collector !

Collector pour la version PS4 et PS Vita

Ce collector contiendra :

  • Phantom Beaker : Battle Grounds version PS Vita ou PS4 avec tous les DLCs dans la cartouche ou sur le CD.
  • Une jaquette reversible.
  • Un poster de 18″x24″.
  • 10 cartes.
  • La bande son du jeu sur CD.
  • L’artbook.
  • Une boîte qui s’ouvre laissant voir un diorama.
  • 8 personnages en carton pour mettre dans ce diorama.

Ce collector sera à 64,99$ et sera disponible en précommande le 10 août à 16h.

 

Bloodborne – Le jeu de cartes : Retour dans le Rêve du Chasseur

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Salut les Chasseurs! L’envie de retourner chasser à Yharnam revient et vous avez déjà poncé le jeu de From Software, ses addons, relu l’artbook dans tous les sens, mais rien n’y fait, vous avez besoin de sang (plus ou moins) neuf? Il est possible de prolonger et renouveler l’expérience en se plongeant dans le jeu de Eric M. Lang, illustré par Sean Chancey édité par Edge et CMON!

Dans ce jeu collaboratif pour 3 à 5 joueurs, à partir de 14 ans vous devrez affronter les impitoyables monstres qui ont fait la grandeur de la licence en jeu vidéo.

Synopsis de Bloodborne :

Des hommes découvrirent des souterrains qui furent érigés par une race ancienne : les Ptumériens, qui vénéraient les “Grands”, leurs dieux. Les scientifiques étudient une substance découverte dans ces souterrains, le Sang Ancien, qu’ils ramènent à l’Université de Byrgenwerth pour y mener de plus amples investigations. Cette substance maudite est administrée à la population de Yharnam par l’Eglise du Remède, mais les malheureux qui ont reçu la Thérapie du Sang se changent en bêtes. Afin d’essayer de de ramener la situation à la normale et d’éliminer cette menace, les Chasseurs sont créés et chargés de terrasser ces abominations. Le joueur endosse le rôle d’un de ces Chasseurs et découvrira ce qui est arrivé à Yharnam et ses habitants.

Même si l’univers est un aspect important de Bloodborne, il est temps de trancher dans le vif et de passer au matériel et au Gameplay!

Le matériel :

Bloodborne – Le jeu de cartes tient dans une petite boîte (format petite extension de Star Wars Assaut sur l’Empire) et renferme :

  • 5 plateaux personnels et 5 compteurs de santé pour les chasseurs.
  • 87 cartes (améliorations, monstres et boss).
  • 3 dés (vert jaune et rouge).
  • 15 pions Trophée.
  • Un standee premier joueur.
  • des pions échos de sang.

Tout le matériel est de bonne qualité. Les pions Echos de Sang ont un bel effet nacré et une bonne taille, ils sont facilement manipulables et lisibles en jeu. Les plateaux de jeu sont épais, faits pour durer! Tout est rangé dans un thermoformage pratique et bien pensé, mais même bémol que d’habitude, les cartes ne rentrent plus dedans une fois sleevées… Par contre tout reste en place une fois rangé et du coup la mise en place est rapide.

Le thermo où tout à sa place.

La partie -« Ca va trancher Chérie! » :

La mise en place :

Bloodborne est un jeu de cartes dans lequel on retrouve beaucoup d’éléments ayant fait le succès du titre en jeu vidéo. Vous y incarnerez un chasseur arpentant un donjon Calice à la recherche de proies plus puissantes les unes que les autres. Les donjons sont occupés par bon nombre de monstres et un boss final, comme dans le jeu vidéo.

Avant de commencer, on prépare le paquet de cartes qui constitue le donjon avec trois cartes Boss et sept cartes Monstres. On mélange les 10 cartes que l’on place à côté d’une carte Boss final choisie aléatoirement ou non. Cette carte Boss final aura une incidence sur toute la partie avec un effet permanent. Par exemple, avec la Vicaire Amélia, les joueurs seront limités à 6 points de vie au lieu de 8.

Les compteurs de santé

Chaque chasseur prend devant lui un plateau personnel avec les pistes Trophées qui rapportent des points en fin de partie. En tuant des monstres ou des boss, les joueurs bougeront les marqueurs sur ces pistes en fonction du type d’ennemi tué. Chaque joueur à la même main de départ avec de l’équipement et des actions. Le reste des cartes amélioration est regroupé en un deck dont on retourne une rivière de cartes égale au nombre de joueurs  dans laquelle on pourra acheter des armes et améliorations au fil du jeu. Chacun a également un compteur de santé, un peu à l’image des cadrans d’honneur du jeu de cartes La Légende des Cinq Anneaux.

Le début des hostilités :

Une fois tout cela effectué, la partie peut commencer. On peut révéler la première carte monstre. On l’a dit plus haut, Bloodborne – le jeu de cartes et collaboratif, contrairement à un jeu coopératif, ou tout le monde gagne en cas de victoire, il n’y a ici qu’un seul vainqueur, mais les joueurs ne s’affrontent pas directement. Pour remporter la partie, il faut être le chasseur à avoir déposé le plus d’échos de sang et rassembler le plus de bonus sur la piste de Trophées.

Légende des cartes :

A) Santé du monstre.
B) Force du monstre, couleur du dé lancé.
C) Trophées remportées en tuant le monstre.
D) Capacité spéciale du monstre.
E) Les boss sont différenciés.

Lors des phases de combats les chasseurs choisissent simultanément et secrètement les actions qu’ils vont effectuer ce tour et posent leur carte face cachée. Le but étant de terrasser le monstre et en gardant à l’esprit que seuls les chasseurs ayant infligé des dégâts au monstre remportent les trophées, la collaboration est de mise. Les joueurs peuvent discuter librement de la stratégie qu’ils vont adopter, mais il n’y aura qu’un seul vainqueur… Donc personne n’est tenu de jouer les cartes annoncées 😉

Les dés d’attaque des monstres

Les échos de sang symbolisent les points de vie des monstres, mais également les points de victoire en fin de partie. Ils sont indiqués en bas à gauche des cartes Monstres et Boss. Les joueurs en récupèrent autant que de blessures qu’ils infligent au monstre. A côté de ce chiffre, on trouve une lanterne qui indique la force du monstre. Lors des combats, les monstres attaquent tous les chasseurs avec un dé de la couleur de leur lanterne (de vert à rouge, donc de pas trop méchant à bien balèze). Petite particularité des dés, certaines faces ont un petit “+” à côté du nombre de dégâts infligés, ce qui indique que le monstre fait une attaque supplémentaire, et ce tant qu’une face avec un “+” sort aux dés. Certaines attaques de boss (final) peuvent être redoutables.

Les pions Echos de Sang

Comme dans l’opus vidéoludique, les échos de sang sont obtenus en terrassant des monstres ou des boss, mais ils ne seront sécurisés (déposés) que lorsque vous retournerez au Rêve du Chasseur! Il faudra être prudent et gare à ceux qui seraient trop gourmands qui risquent de tout perdre. Mais à être trop prudent on en récupère pas beaucoup d’échos de sang…

Une fiche de chasseur avec des échos de sang déposés (en bas).

Si les points de vie d’un joueur tombe à 0, il est exclu du combat et retourne immédiatement au Rêve du chasseur, perd tous les échos de sang récoltés et il pourra acquérir une carte amélioration. Il ne pourra réintégrer le combat qu’au tour suivant. En revanche si un chasseur joue la carte Rêve du Chasseur, il s’exclut volontairement du combat et se rend dans le Rêve du chasseur. Ceci permet au joueur de déposer les échos de sang qu’il a accumulé tout au long des tours précédents et de récupérer les cartes mises dans la défausse.

Un jeu collaboratif serait bien fade sans coups bas et autres trahisons… Bloodborne ne déroge pas à la règle et certaines armes ou objets feront également des dégâts aux autres chasseurs ou les délesteront de quelques échos de sang à votre profit. A vous de les utiliser au bon moment pour éventuellement faire perdre le dernier point de vie à un adversaire et ainsi vous assurer qu’il ne sécurise pas ses échos de sang.

Notre première partie d’essai ne nous a pas laissé un souvenir impérissable et c’est seulement au travers des suivantes que nous avons pleinement apprécié le jeu. Au fil des parties les tours deviennent plus fluides et on s’attend à se faire trahir à tout moment, ce qui change un peu la dynamique de jeu.

Conclusion : 

Bloodborne – Le jeu de cartes demandera aux joueurs de la stratégie pour venir à bout des donjons Calices, mais le monde de Yharnam est impitoyable, ainsi la cupidité aura souvent raison des alliances fragiles qui s’étaient forgées. Il faudra savoir sortir du combat et aller déposer ses échos de sang, et récupérer sa défausse au bon moment pour pouvoir être le plus efficace possible et ainsi engranger plus d’échos de sang que vos compagnons. La prise de risque est comme dans le jeu vidéo très importante mais doit être maîtrisée! La chance sourit aux audacieux mais pas aux inconscients 😉

La Récap de la Rédac

Nombre de joueurs 3 à 5 joueurs à partir de 14 ans
Durée d’une partie 30-60 minutes
Éditeur Edge
Prix Environ 30 €

Sekai Project – Paroles, paroles, paroles…

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Sekai Project, pour ceux qui ne connaissent pas est un studio de traduction/localisation, parle enfin de la PS Vita. Cela fait presque 2 ans et demi que Sekai Project a annoncé plusieurs sorties sur PS Vita en version physique ou démat. Mais… Bah rien, oui Sekai Project fait depuis longtemps des promesses qu’ils n’arrivent ou ne savent pas tenir.

Car oui depuis la PSX et certains kickstarter, les joueurs et Backers attentent toujours la sortie des jeux promis sur PS Vita. Mais quand on voit comment sont gérés les campagnes kickstarters ont comprends pourquoi rien n’avance… Oui, il a fallu presque 1 an aux backers de Grisaia pour avoir leur version physique. L’avoir oui mais dans une qualité proche du DVD Eco+, alors que sortait à côté une version physique d’ultra-qualité quasiment au même prix…

Pour rappel voici tous les jeux promis par Sekai Project 

  • Rabi – Ribi 
  • Narcissu 
  • Fault Milestone One 
  • World End Economica Episode 1 
  • World End Economica Episode 2 
  • World End Economica Episode 3
  • The Grisaia Trilogy

Maintenant avec la PS Vita qui n’aura plus de cartouches imprimées en Occident, Sekai Project annonce cela :

Traduction : 
« Nous examinons actuellement notre bibliothèque de projets annoncés sur Vita et nous avisons en conséquence, car la production de Vita a changé au cours des 6 derniers mois en termes de ventes et de disponibilité des cartouches de jeux. »

« Nous ne les avons pas oubliés, mais nous devons également examiner ce qui est viable et déplacer les projets de manière potentielle vers des systèmes plus récents ayant une plus grande portée commerciale. »

Voilà donc comment les fans et les gens qui ont soutenu le studio se voient remerciés… Pour faire simple : « On a pris tellement de temps pour les sortir. Maintenant on se demande ce qui est encore possible de faire en moins de 6 mois. Sinon, on va pas simplement vous laissez tomber… ».

Attendez vous donc à une longue liste d’annulations. Limited Run Games en parlait pendant la conférence de E3 en disant que justement Sekai Project marchait maintenant à reculons quand ils souhaitaient savoir où en étaient les projets…

Que devons nous pensez de ça ? Pas grand chose à par attendre et voir ce qu’ils vont faire mais franchement quel gâchis… 

Smile – Attrappez-les presque tous!

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Salut les Chasseurs de bestioles! Avec la chaleur et les vacances qui arrivent (ou qui sont déjà là), l’envie de passer des moments en famille ou entre amis sans se prendre la tête se fait de plus en plus grande. Dans ce genre de cas les “petits” jeux, comprenez par là : qui ne demandent pas de mise en place ni d’explications de règles excessivement longues, sont souvent conseillés. Et bien continuons dans cette lignée et parlons de Smile, créé par Michael Schacht, pour 3 à 5 joueurs à partir de 8 ans et des parties d’une trentaine de minutes. Édité par Z-Man Games qui a fourni un beau travail d’édition avec ce titre. Dans Smile, il vous faudra attirer des créatures fantastiques domestiquées pour les ramener dans leurs enclos pour éviter qu’elles ne sèment la pagaille.

Le matériel :

Smile est une jeu petit format, avec une boîte de 11.5 cm * 16 cm qui ne renferme que le strict nécessaire pour jouer : 50 cartes, 40 perles en verre et le livret de règles.

Les cartes sont en grand format et avec une finition toilée, donc de bonne qualité. Quant aux perles en verre, elles sont réparties en 35 orangées (lucioles) et 5 bleues (Larmes), elles donnent au jeu une qualité supérieure. Il aurait tout à fait été possible de jouer avec des tokens carton mais manipuler ces perles rajoute au plaisir du jeu. Personnellement j’aime beaucoup ces petites perles et j’utilise les Larmes comme jetons Eau dans This War Of Mine.

Et voilà, on a fait le tour, avec son faible encombrement Smile se trouvera certainement une petite place dans vos bagages pour cet été!

La Partie :

La mise en place est très simple il faut commencer par préparer le paquet de cartes suivant le nombre de joueurs (certaines cartes sont à retirer pour les parties à 3 ou 4 joueurs). Ensuite, on donne 6 perles lucioles à chaque participant et on retourne autant de cartes créatures que le nombre de joueurs. On les trie de la valeur la plus petite à la plus grande.

La mise en place est faite, passons à la partie. Elle se déroulera en 10 rounds et chaque joueur devra essayer d’attirer à lui, grâce à ses lucioles, le plus de créatures domestiquées. En s’échappant, les créatures domestiquées se sont mélangées aux créatures sauvages qui sont elles aussi attirées par les lucioles. Il est très simple de les reconnaître car les créatures domestiquées ont un nombre positif en bas à droite de leurs cartes, alors que les créatures sauvages un nombre négatif. Ce chiffre représente les points marqués en fin de partie par le joueur ayant recueilli cette créature.

Dans un round les joueurs pourront avoir plusieurs tours. A chaque tour, le joueur actif aura deux possibilités : offrir une luciole à la créature avec la plus faible valeur ou collecter (on ne peut collecter une créature uniquement si elle a déjà une luciole sur elle). S’il offre une luciole, c’est au joueur suivant de commencer son tour. S’il collecte, le joueur prend la créature et les lucioles qui sont dessus, la place devant lui et ne pourra plus agir du round. Les lucioles doivent être conservées dans votre main, à l’abri des regards pour éviter de dévoiler vos futures actions aux autres. Si par malheur à votre tour vous ne pouvez ni offrir de luciole, ni collecter, vous serez contraint de prendre une larme.

Prendre une larme vous offre une luciole que vous posez immédiatement à une créature mais comptera comme un malus d’un point en fin de partie. Petite précision, dans nos parties nous avons souvent été à court de ces larmes (… on aime bien mettre les autres joueurs dans des situations un peu délicates). Mais on retrouve facilement ce genre de perles. On en a rajouté quelques unes provenant d’un magasin de travaux manuels, à celles de base mais on peut tout aussi bien jouer avec d’autres pions ou même des pièces à la place.

Si vous êtes observateur, vous aurez remarqué que certaines cartes de créature ont un coin coloré, sinon ce n’est pas grave, vous venez de le voir. Et bien c’est la mécanique de génie de Smile! Un joueur ne peut pas avoir devant lui deux créatures avec un coin de la même couleur. Si ça arrive, les deux créatures sont défaussées.

Cette petite contrainte va être le moteur de toutes les stratégies pour tout le monde. Vous avez été contraint de récupérer une créature sauvage à -4? Pas de souci vous n’avez qu’à en récupérer une autre pour défausser les deux. Votre adversaire a récupéré une carte à 6 points et vous passe juste devant au niveau du score? Il va falloir se débrouiller pour l’obliger à acheter une nouvelle carte de la même couleur.

Il sera parfois plus avantageux de prendre une carte de créature sauvage avec de nombreuses lucioles dessus, quitte à la faire défausser par la suite, pour être plus à l’aise au niveau des enchères sur le round suivant.

Attention, certaines cartes n’ont pas de coin coloré, leur acquisition est donc définitive pour la partie! Il faudra jongler entre cartes colorées pouvant être défaussées et les incolores qui sont permanentes pour arriver à rassembler le plus de créatures à points positifs.

Rien n’est jamais vraiment perdu dans Smile, de nombreuses possibilités de retourner le jeu en votre faveur s’offrent régulièrement à vous.

L’univers de Smile :

Au niveau de sa direction artistique, c’est également un grand « Oui » pour Smile. Passé l’illustration de la boîte qui est de toute beauté, les cartes sont elles aussi richement illustrées. Leur grand format permet de profiter pleinement du travail d’Atha Kanaani. Cet artiste a également oeuvré sur plusieurs jeux  Pandemic comme La montée des eaux, Iberia ou encore Le Règne de Cthulhu que j’apprécie particulièrement.

Conclusion

Smile est un jeu plus stratégique qu’il n’y paraît au premier abord. Les superbes illustrations de tous ces petits monstres laissent penser à un jeu pour enfant, mais Smile est un peu plus que ça! Il est accessible aux enfants mais les invite aussi à créer des stratégies et au final tout le monde s’amuse avec ce titre. le matériel est de qualité et très agréable à manipuler. avec son petit prix (environ 18 euros) et sa petite taille Smile est parfait pour être emmené en camping ou sortir lors de journées en famille ou entre amis.

Récap de la Rédac

Nombre de joueurs 3 à 5 joueurs à partir de 8 ans
Durée d’une partie 20-30 minutes
Éditeur Z-Man Games
Prix environ 16 €

Devious Dungeon – une version physique chez Play-Asia

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Eastasiasoft et Play-Asia viennent tout juste d’annoncer leur prochaine sortie en collaboration. Il s’agit de Devious Dungeon. Il y aura 1000 copies disponibles sur Playstation 4 et 1250 sur Playstation Vita. Le jeu sera disponible au précommande le 9 août prochain sur le site de Play-Asia.  Les frais de port seront offert et vous pouvez avoir 3$ de réduction avec le code PIXEL.

Play-Asia - Devious Dungeon

Devious Dungeon, est un jeu d’action/plateforme développé par Woblyware, Ravenaus Games et Ratalaika Games. Il rejoindra, donc la collection PLAY Exclusives PlayStation lorsque le jeu sortira en août 2018!

Content - Devious Dungeon

Dans Devious Dungeon, les joueurs se retrouveront à combattre dans des donjons générés aléatoirement en utilisant des contrôles de combat incroyablement fins – ce qui en fait un jeu facile à maîtriser et à jouer. Explorez le donjon jusqu’au cœur ou prenez une  mission pour avoir direction plus structurée. Battez-vous contre des boss uniques, après avoir rassemblé l’équipement dont vous avez besoin pour les battre, perfectionnez votre timing avec les contrôles jusqu’à ce que vous soyez le champion incontesté des donjons. Devious Dungeon Limited Edition sera l’édition collector ultime pour les fans du jeu et du genre dans le monde entier!

Les langues disponible seront : anglais, chinois traditionnel, français, allemand, espagnol et russe

U.S. Telegraph – Pour quelques tuiles de plus.

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Salut les Pionniers! Le titre que nous allons vous présenter aujourd’hui est U.S. Telegraph, petit dernier de chez Super Meeple. Créé par Marcel-André Casasola Merkle, illustré par Fabrice Weiss et Jules Dubost, U.S. Telegraph est un jeu pour 2 à 4 joueurs, à partir de 10 ans, et des parties allant de 30 à 60 minutes. U.S. Telegraph était présent dans le Coffre des Joueurs n°7, l’occasion pour nous de poser les mains sur ce titre vers lequel on ne serait pas allé de prime abord. Est-ce qu’on aurait eu raison ou bien est ce qu’on se serait lourdement trompés? C’est ce que nous allons voir dans cet article.

Un peu d’histoire(s) :

U.S. Telegraph vous place dans la peau d’un dirigeant de compagnie chargée de développer le télégraphe entre les villes des Etats-Unis dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Vous voilà avec le pitch de ce titre, vous allez voir tout au long de cet article que U.S. Telegraph va à l’essentiel et ne s’encombre pas de fioritures inutiles.

U.S. Telegraph est une réédition d’un jeu qui a une quinzaine d’année : Attika. Ayant été nominé en 2003 et 2004 au Spiel des Jahres, à l’International Gamers Award et, aussi aux Tric Trac d’or, mais jamais édité en France, certains joueurs sont certainement passés à coté d’Attika. Et c’est pour réparer cela que Super Meeple s’est lancé dans cette réédition.

Le contenu de la boîte :

Les valeureux Meeples

Continuons à parler du travail d’édition de Super Meeple avec le matériel. La boîte renferme pas mal de matériel à dépuncher. Les Villes, les jetons Construction, les bâtiment et les tuiles Région sont en carton, et le moins que l’on puisse dire c’est que Super Meeple n’a pas lésiné sur la qualité! Tout est en carton noir, super dense et rigide, le top. Viennent ensuite les cartes ressources, en petit format avec des illustrations que j’adore, et les Meeples ouvriers bien sympas avec leurs petites pioches. Les plateaux personnels sont fins, c’est peut être le seul défaut matériel qu’on pourrait trouver. Mais vu leur taille, les mettre en carton plus épais aurait certainement fait grimper inutilement le prix du jeu.

A quoi ressemble U.S. Telegraph en partie? :

Au design de la boite, je m’attendais à trouver dans U.S. Telegraph un jeu de gestion vraiment velu avec des règles de 25 pages, un jeu à l’Allemande … J’étais très loin du compte. Les règles font 4 pages, couverture comprise et avec le petit résumé historique, que j’ai beaucoup aimé soit dit en passant. C’est clair et bref et je trouve ça toujours intéressant, quand c’est cohérent, d’avoir ce genre de petites explications culturelles.

le but du jeu

Le principe du jeu est très simple : il faut être le premier à construire ses 30 bâtiments ou bien à relier deux villes entre elles grâce à une chaîne ininterrompue de bâtiments de votre couleur.

La mise en place est facile et rapide, suivant le nombre de joueurs on construit la zone de départ avec le nombre de tuiles Région et de Villes correspondant. Chaque joueur aura devant lui son plateau de construction avec les piles de bâtiments face cachée sur sa droite, et plusieurs opportunités s’offrent à lui durant son tour.

Une mise en place pour trois joueurs

Le joueur choisit une des deux actions suivantes (répétable plusieurs fois) :

  • Piocher un bâtiment dans les piles face cachée de son plateau (jusqu’à deux fois)
  • Construire un bâtiment sur la zone de jeu. (jusqu’à trois fois)

Pour chaque action non réalisée, vous pourrez piocher une carte Ressource. C’est un aspect à ne pas négliger car les ressources seront précieuses dans cette course à la construction.

En parlant de construction de bâtiments, vous aurez l’occasion de l’optimiser via plusieurs techniques.

  • Sur la zone de jeu, certaines cases arborent un symbole ressource. Si vous décidez de construire un bâtiment dessus, vous pourrez soustraire à son coût de construction la ressource présente sur cette case mais également celles des cases ressources adjacentes!  Le choix des emplacements seront donc crucial dans cette course à la construction.
  • Via le chaînage de construction. Ca fonctionne très simplement : sur votre plateau personnel, les bâtiments sont regroupés en familles (de même couleur) et si vous construisez un bâtiment de la même famille sur une case adjacente au premier, il est gratuit! Avec cette technique il est possible de rusher une fin de partie si vous avez été économe sur le début en gardant des constructions sur votre plateau. Il y a tout de même une règle à respecter pour la pose gratuite de constructions : seuls les bâtiments avec un numéro “n+1” sont gratuits.

Les stratégies

En début de partie on a tendance à vouloir construire un maximum de bâtiments rapidement, un peu au détriment de la pioche. Ca fonctionne mais la méthode plus “économique” marche tout autant et peut surprendre vos adversaires en construisant trois bâtiments dans le même tour.

Il ne faut pas négliger non plus la défense, il sera primordial de couper vos adversaires dans leur élan de construction effrénée si vous voulez l’emporter! Tout sera question d’équilibre et d’adaptation.

Les meeples ouvriers interviennent lorsqu’un joueur construit le dernier bâtiment d’un même groupe. Dans ce cas il prend un meeple qui lui servira à réaliser une action supplémentaire, ce qui n’est pas négligeable.

 

Le plateau de jeu sera amené à évoluer au cours de la partie. Les joueurs qui piochent le dernier jeton bâtiment d’une de leurs piles pourront ajouter une nouvelle tuile Région au plateau central. Ce qui sera l’occasion de vous rajouter de l’espace pour développer vos constructions ou bien tenter de contourner les bâtiments adverses pour relier deux villes.

Le graphisme :

Au niveau de la direction artistique le jeu est assez joli, les plateaux sont simples et lisibles. L’illustration de la boite et l’aspect général du jeu font assez ancien, ça colle parfaitement avec le thème. Mon coup de coeur esthétique pour ce jeu porte sur les cartes ressources que je trouve absolument superbes.

Les quatre types de cartes Ressource

En conclusion :

Comme dit en début d’article, je m’attendais à un gros jeu de gestion vraiment velu mais cet aspect est relativement simple. Il ne concerne que la gestion de vos cartes ressources en main et pas de système de production. Du coup, U.S. Telegraph est très accessible et les parties sont fluides et relativement rapides une fois qu’on a assimilé les mécaniques. U.S. Telegraph peut convenir aux amateurs de jeux compétitifs et sa mécanique de chaînage promet des rebondissements au cours des parties. Si vous vous sentez l’âme d’un pionnier du Grand Ouest et que la compétition ne vous fait pas peur, lancez-vous dans U.S. Telegraph!

Récap de la Rédac

Nombre de joueurs 2 à 4
Durée d’une partie une trentaine de minutes
Éditeur Super Meeple
Prix Environ 36 €

Digimon Survive – un titre prometteur sur PS4 et Switch

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Bannière - Digimon Survie

Bandai Namco Japon vient d’annoncer l’arrivée de leur prochain titre Digimon au Japon, c’est Digimon Survive. Titre qui a l’air extrêmement intéressant par sa réalisation et son nouveau système de stratégie. On sent un vent de fraîcheur sur cette licence qui avait déjà fait mouche sur PS Vita avec Digimon Cyber Sleuth.

Voici le trailer de Digimon Survive

Dans Digimon Survive, vous incarnez Takuma Momotsuka (le nom ne peut être changé). Qui est mystérieusement transporté dans un autre monde. Lui et d’autres survivront dans ce monde qui flirte de près avec la mort, tout en explorant et en faisant divers choix. L’une des principales caractéristiques du jeu est la «croissance» qui change en fonction des choix qui sont faits…Histoire - Digimon Survie

L’histoire à plusieurs fins et les digivolutions vont changer en fonction de ces choix, plusieurs personnages peuvent même mourir. Selon le producteur de la série Digimon, Kazumasa Habu, il voulait intégrer « la digivolution du partenaire Digimon à travers le développement du personnage » comme on le voit dans l’anime de Digmon Adventure dans le système de jeu.

L’histoire se développe à travers des parties dramatiques composées d’exploration, de conversations avec des personnages et d’événements. Tandis que des combats se passent comme dans un RPG de stratégie en tour par tour classique. Les Digimons peuvent digivoluer pendant la bataille en remplissant certaines conditions et en consommant de l’énergie. L’énergie peut être récupérée en attaquant des ennemis et en parlant aux Digimons pendant la bataille.

Battle - Digimon SurvieCes derniers peuvent également prolonger le temps de digivolution. Bien qu’il y ait environ 100 Digimon jouables, Habu a noté que Digimon Survive mettait plus d’emphase sur l’histoire que sur la collecte de Digimon. De plus, contrairement aux jeux Digimon Story: Cyber ​​Sleuth, il n’y a pratiquement aucun élément de science-fiction dans Digimon Survive.

Digimon Survive sortira sur PlayStation 4 et Switch en 2019 au Japon.

La dialogue et histoire de Digimon Survie : 

Les combats de Digimon Survie : 

Ce titre a l’air drôlement alléchant, mais attendons d’en savoir plus et surtout si ce titre arrivera en Occident. Mais vu l’engouement Asiatique pour Digimon, il est fort probable que ce titre aura au moins une traduction Anglaise disponible là-bas.

Olive et Tom Classico – Sont-ils toujours en forme ?

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Salut les footeux ! Les terrains de 21km de long, les tirs de l’aigle et les ballons ovales vous manquent ? Veinards, on vous parle de Olive et Tom Classico ! Un jeu de Olivier Caïra qui vient agrandir la collection de Bragelonne Games (Assassin’s Creed Vendetta, Safari Go) et surfant sur le renouveau de la série d’anthologie Captain Tsubasa ou tout simplement Olive et Tom par chez nous.

Aux trentenaires, ce nom doit vous évoquer pas mal de souvenirs et vous revoyez tout de suite les matchs qui se transformaient plus en combat de Dragan Ball Z qu’en simple match de football, ces finales dans lesquelles il ne restait que 5 minutes et qui pouvaient durer 4 épisodes, ces techniques pour marquer qui ressemblaient plus à du Kung Fu qu’a un sport de balle, bref, du grand bonheur qui a marqué toute une génération.

On se remet le générique pour le plaisir ?

La série retrouve un nouvel essor avec une version 2018 de Captain Tsubasa, qui reprend l’ancienne histoire mais avec des graphismes refaits. L’anime est diffusé sur ADN et même sur l’Equipe.
La série est partie pour 52 épisodes et il y en a déjà 17 de disponibles.

Profitant de cette sortie, Bragelonne Games a acquis l’ancienne licence de l’animé et l’a transposée sur le jeu Classico d’Olivier Caïra. Classico étant déjà basé sur le football, le transfert a été facile et se justifie parfaitement.

Mais c’est quoi Classico d’ailleurs ?

C’est un jeu de dés et de cartes qui se concentre sur l’action la plus importante du foot : Marquer des buts.

Après avoir sélectionné vos joueurs et lancé vos 5 dés, vous devez créer la combinaison de cartes la plus optimisée pour faire un maximum de passes avant de marquer un but.

Le joueur ayant fait le plus de passes lors de son action gagne le match, une partie se déroule en 3 matchs mais seul le dernier vous apportera la victoire. Voyez les deux premiers comme des matchs amicaux pour tester vos compositions.

Et comment se déroulent les matchs ?

Sanae !

Chaque partie se déroule de la même façon, une phase de sélection et dès que la carte Match est piochée, le coup de sifflet est donné !  

Les sélections sont le moment où vous allez composer votre équipe, en choisissant vos joueurs.

Les cartes joueurs sont décomposées en plusieurs éléments :

  • Les actions possibles selon les dés.
  • Le nom du joueur, en japonais et en français, les fans apprécieront.
  • Le coût du joueur, le nombre de cartes à défausser pour acquérir le joueur.
  • Un coup spécial qui s’active en défaussant une carte.
  • Parfois un symbole en bas à droite qui indique un bonus ou un malus en cas de double.

Pour créer votre équipe de rêve, vous avez 3 actions possibles :

  • Entraîner : Piocher un joueur et le mettre dans sa zone de sélection.
  • Acquérir : Ajouter un joueur au terrain depuis sa zone de sélection.
  • Changement d’équipe : Ajouter un joueur au terrain depuis la zone de sélection adverse à sa sélection.

Chaque joueur effectue 2 actions parmi ces 3, sachant qu’il peut faire deux fois la même s’il le désire.

Si l’action entraîner parle d’elle même, pour Acquérir un joueur, vous devrez payer le coût de ce dernier en défaussant des cartes, celles-ci peuvent venir de votre zone de sélection ou bien de votre terrain. De la même façon, l’action de Changement d’équipe demande à ce que vous payez le coût du joueur mais à votre adversaire cette fois, c’est le mercato, on paye l’entraîneur adverse pour ses joueurs et l’on défausse une carte supplémentaire pour payer le transfert.

Récupérer un joueur puissant chez le joueur adverse peut être une action risquée, vous lui donnez les fonds nécessaires pour acheter plus de joueurs par la suite.

Dès qu’un joueur pioche la carte Match, il termine son tour et le match peut démarrer.

Chacun place ses cartes Joueurs comme il le souhaite et une fois les positions déterminées, les dés sont lancés !

Les flèche matérialisant les passes ne peuvent servir qu’une fois, il faudra donc être stratège au moment du positionnement des joueurs pour réaliser des combinaisons assez ouvertes pour s’adapter à votre lancé de dés.

Les matchs durent 3 lancés de dés, 5 pour le Classico. Celui qui marque le plus de points au terme de ces lancés remporte le match ainsi que 3 joueurs de la pioche, le perdant ne gagne rien, en cas de match nul, chacun pioche une carte.

Puis une nouvelle phase de sélection est lancée, un nouveau match et enfin une dernière sélection avant le Classico qui déterminera le gagnant de la partie.

Le jeu alterne entre hasard des dés et contrôle de ces derniers via une sélection de cartes et il est indispensable de se laisser de multiples tactiques pour gagner sous peine de se retrouver coincé dans une stratégie irréalisable à cause d’un mauvais lancé de dés.

Et Olive et Tom dans tout ça ?

S’il on retrouve les graphismes du dessin animé de notre enfance ainsi que tous les héros, on ne retrouve pas l’esprit Shonen, où sont les tirs de l’aigle ? La catapulte infernale ? Le tir du tigre foudroyant ?

Absents hélas…

Il y a bien des techniques spécifiques aux joueurs, ce sont les encadrés que vous trouvez en bas de la carte des joueurs. Mais ces techniques sont très classiques : Dribles, Ballons en cloche, Pivot, Boulet de canon, etc… Elles permettent d’améliorer votre jeu et de faire des combinaisons agréables mais rien à ce qu’on pouvait attendre d’un jeu Olive et Tom.

La seule particularité relative à l’animé, c’est le duo des jumeaux Derrick qui ont un intérêt à jouer ensemble pour profiter d’un combo.

Quid du matériel ?

On trouve 41 joueurs différents sur des cartes carrées de bonne qualité, l’impression est belle et on retrouve tous les héros de l’univers. C’est un vrai plaisir de retrouver ces derniers avec leurs noms français et japonais pour plaire aux fans des deux versions.

Le poster reprenant le visuel de la boîte est grand et d’excellente qualité, si tous mes posters de concert étaient d’aussi bonne qualité, je serai ravi !
Il possède sur son verso, des emplacements pour mettre ses cartes et ainsi aider les joueurs lors de leurs premières parties mais il s’avère vite facultatif et plus encombrant qu’autre chose. On s’en passera rapidement.

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Les dés sont classiques et auraient mérité une personnalisation avec des ballons de foot à la place des points blancs pour coller un peu plus au thème, mais ils ont l’avantage d’être facilement remplaçable en cas de perte.

La boîte du jeu a 4 buts imprimés sur ses côtés pour pouvoir la disposer au milieu des joueurs et faire des tournois jusqu’à 4. Thomas Price est là !

Au final ?

Olive et Tom Classico est un jeu sympathique de placement de cartes et de dés sur le thème du football et bien que l’animé colle parfaitement au thème et donne une identité visuelle vraiment agréable, on ne ressent pas les sensations qu’un match de Olive et Tom nous procurait, ça manque d’esprit Shonen.

Le peu d’interaction entre les joueurs n’aide pas, on a aucun moyen de bloquer des passes ou un but de l’adversaire, le seul moment où l’on peut interférer sur le jeu adverse c’est en recrutant un joueur dans sa zone de sélection.

Et si les actions et les passes entre les joueurs peuvent donner lieu à des beaux échanges, ils sont surtout déterminés par le lancé de dés qui peut ruiner une tactique bien étudiée ce qui peut amener pas mal de frustration aux joueurs, sentiment que la licence Olive et Tom ne réussira pas effacer lors des parties.

Récap de la rédac

Nombre de joueurs 2 ou 4 joueurs
Durée d’une partie Environ 45 minues
Éditeur Bragelonne Games
Prix 20€

Super Life of Pixel – le 22 août sur PS4 et PS Vita

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Bannière - Life of Pixel

Logo - Life of Pixel Ce vendredi vient d’être annoncé la sortie prochaine sur les consoles Playstation de Super Life of Pixel. Life of Pixel est un jeu développé par Super Icon Ltd, et est déjà sorti le 22 octobre 2014 sur Steam. Il a reçu de très bonnes critiques c’est donc avec plaisir qu’on voit arriver ce titre dans l’univers Playstation.

Super Life of Pixel, c’est quoi ? 

Life of Pixel c’est 13 consoles de jeu en 1 jeu d’aventures épique! Voyagez à travers les mondes recréés par des experts de plus d’une douzaine de systèmes de jeu vintage, de Commodore 64 à Gameboy en passant par la SNes! Un tour de force de jeux 8 bits et 16 bits …

Plein d’astuces et de pièges, de défis en double saut, d’inversions de gravité, de power-ups spéciaux, d’énigmes, vous devez vaincre les pixels ennemis et les boss qui tentent de vous contrarier tout au long de votre quête. Life of Pixel vous montrera la fraîcheur du jeu vidéo et l’histoire de ses origines et de son évolution.

Caractéristiques de Super Life of Pixel  

  • Inspiré par les ères 8 et 16 bits
    Faites un voyage avec le professeur pixélisé et revisitez l’âge d’or du jeu vidéo. Mettant en vedette une grande variété de beaux pixel-arts de systèmes de jeu classiques 8 et 16 bits. Directement inspiré de l’Amiga, SNES, Mega Drive, Commodore 64, Apple II, Game Boy, NES, Atari 2600, ZX Spectrum et Master System!
  • Revisitez les jeux classiques
    Découvrez à nouveaux les classiques comme Mega Man, Castlevania, Zelda, Streets of Rage, Shinobi, Metroid, Wonder Boy, Pitfall, Sonic et plus encore. Revisitez les légendes de l’informatique telles que Turrican, Uridium, Willy Jet Set, James Pond, Dangerous Rick, Prince of Persia, Mission Impossible, Exile et bien plus encore.
  • Une tonne de secrets!
    Des dizaines de secrets spéciaux sont à découvrir et à expérimenter. Des petites bêtises aux grands secrets méga-épiques! Cherchez des jetpacks, des bulles pour voler, les trampolines, les pièces et les cartes cachées, les avions, les planches à roulettes et même des Sinclair C5!
  • Power-ups impressionnants
    Des power-ups et des équipements spéciaux avec des niveaux de puzzles et de secrets accessibles uniquement grâce aux nouvelles capacités trouvées pour Pixel. Tirez des pixels avec un canon, atteignez des zones élevées en rebondissant sur un trampoline, utilisez la Super Potion pour vaincre les ennemis, écrasez les méchants avec le char à mine, déployer la Bombe pour détruire les murs et découvrir des secrets cachés!
  • Chip Music
    Nous avons travaillé avec des musiciens de puces étonnants tels que Eric Shumaker, Gavin Harrison, Rob Lynch, Ashton Morris et d’autres pour créer une bande sonore exceptionnelle pour le jeu – sans oublier les effets sonores aussi! Tout l’audio créé avec le matériel d’origine ou l’émulation basée sur VST.

Trailer de gameplay et d’annonce : 

 

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