Square Enix a publié aujourd’hui une nouvelle série de screenshots pour la nouvelle version à venir de Final Fantasy XII.
Le Remaster du titre PS2 de 2006 s’annonce graphiquement très correcte, comme vous pourrez le voir dans les quelques captures d’écran qui suivront.
Final Fantasy XII ne bénéficiera pas seulement d’une refonte graphique, mais c’est le jeu dans son ensemble qui sera retravaillé. Le sound design sera également améliorer pour coller aux installations actuelles ainsi qu’aux attentes des joueurs, le jeu supportera le 7.1. Les musiques seront réarrangées et il sera possible de basculer entre les anciennes et les nouvelles. Il en sera de même pour le doublage : l’anglais et le japonais seront présents. Une fonction de sauvegarde automatique sera ajoutée, les temps de chargements réduits… Le titre fera peau neuve !
Voici les autres captures d’écran révélées :
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Final Fantasy XII : The Zodiac Age est prévu en exclusivité sur Playstation 4 le 11 juin prochain en Amérique du Nord et en Europe, et le 13 juin au Japon.
3 nouvelles extensions viennent renforcer les compositions d’escarmouches des joueurs en apportant un nouveau personnage à chaque faction :
Obi-Wan Kenobi, chevalier Jedi :
On ne le présente plus, le vieux maître Jedi, protecteur de Luc est enfin arrivé en magasin et il arrive avec toute sa ruse Jedi.
En effet, comme on peut le lire dans la description de sa carte de déploiement, cette figurine possède “Altération de la force” qui concrètement, empêche les petites figurines d’intérragir ou même de contrôler un terminal ou un point, faisant du vieux Ben, une carte maîtresse quand vous jouez les objectifs d’une escarmouche, en bloquant l’accès à une porte ou à un terminal, voir en supprimant la possibilité de marquer des points.
Les caractéristiques de la figurine ne sont pas en reste, pour seulement 7 points, vous vous retrouvez avec un personnage ayant 12 points de vie, 3 dés d’attaque (Vert, Jaune, Rouge, Obi-Wan est un hippie de l’espace manifestement) et la possibilité d’infliger un perforant 3 juste pour un point d’adrénaline, on tient une figurine très efficace au corps à corps, sa défense d’un seul dé noir est compensé par ses points de vie et son esquive de base.
En cas de défaite, une figurine amicale deviendra concentrée, pas une figurine amicale adjacente ou en ligne de vue, n’importe laquelle sur la carte!
Cette carte assez puissante saura retourner plus d’une escarmouche en privant l’adversaire de nombreux points d’objectifs.
Le point noir de cette carte est sa vitesse de 4, un peu lent pour une unité tank.
Mais une extension, c’est aussi des cartes de commandement, voici celles figurant dans la boite, étant un Jedi, c’est tout naturellement que vous trouverez des cartes d’utilisateur de la force :
Renfort de la force / Il me faut agir seul / Une influence considérable
Il ne faut pas oublier les ajouts pour la campagne qui ne sont pas négligeables :
Un item très puissant à acheter : Sabre Laser Antique
Et une mission pour pouvoir ajouter Obi-Wan à la campagne : Transmission mortelle, mission qui mettra en avant toute la puissance de la capacité de contrôle mental de Ben Kenobi.
Le Grand Inquisiteur, Loyaliste Sith :
Contre toute cette racaille rebelle, il fallait quelqu’un qui sache comment mâter une rébellion, si les mercenaires ne suffisent plus, on va chercher l’un des plus farouches tueurs de Jedi : L’inquisiteur Sith (le thème de l’empire doit résonner dans votre tête à ce moment précis!)
Ce personnage a été introduit par la série Star Wars Rebels et il ouvre la porte à tout l’univers de cette série. L’inquisiteur est un ancien chevalier Jedi Pau’an qui a sombré dans le côté obscur de la force, de cet entraînement Jedi, il a gardé toutes les ruses que les rebelles pouvaient mettre en place pour esquiver des attaques, il possède la capacité « Mortel » pouvant annuler l’esquive d’un dé blanc.
Note perso Younz : Cette capacité fait des ravages sur les listes d’escarmouche rebelles ayant beaucoup de personnages uniques. (J’en ai fait les frais…)
Possédant 15 points de vie pour un coup de déploiement de 9 ainsi qu’une vitesse de 5, un jet d’attaque à 3 dés (Vert Jaune Rouge, encore un rasta de l’espace, l’ordre Jedi devait s’ambiancer sur du Bob Marley) et une défense avec un dé blanc, ainsi qu’un bouclier en cas de jet raté, c’est une figurine puissante qui peut faire de gros trous dans les rangs ennemis.
Le perforant 3 et l’enchaînement 3 sont deux gros atouts non négligeables, surtout quand on les allie au “jet de sabre laser” qui permet à l’Inquisiteur de faire voler son sabre laser jusqu’à sa cible.
Une carte vraiment puissante qui saura trouver sa place dans des compositions impériales décidées à détruires les personnages les plus résistants.
Bien évidement vous trouverez des cartes de commandement destinées aux utilisateurs de la force qui parlent d’elles mêmes :
Joueurs de l’Empire, vous pourrez trouver 3 nouveaux projets pour varier vos parties de campagne.
Ainsi qu’un article pour la rébellion, pauvres d’eux, il leur fallait au moins ça pour pouvoir espérer résister à l’Inquisiteur…
Greedo, Mercenaire ambitieux
Et pour finir, Greedo, le célèbre mercenaire que l’on croise dans la Cantina de Mos Esley est aussi de la partie! Cette extension était celle que je n’attendais que moyennement, n’étant pas emballé par la carte lorsque je l’ai lue rapidement en version anglaise, ce fut pour moi une excellente surprise.
Greedo rejoindra les escouades d’escarmouche pour un coup de lancement raisonnable de seulement 4 points. Pour un tel coup, on ne s’attend pas à une créature énorme niveau points de vie, mais il est quand même pourvu de 7 points de vie et dispose d’un dé blanc en défense. Au niveau de l’attaque, il se voit affublé d’une réserve de deux dés verts. Mais c’est sans compter ses attributs “passifs”. En effet, vous appliquerez obligatoirement +1 à la précision et +1 aux dégâts de l’attaque, ce qui n’est pas négligeable. De plus, en dépensant un point d’adrénaline vous pourrez ajouter +2 dégâts, hémorragie ou encore +3 de précision, rendant vos attaques polyvalentes et redoutables. Mais bien évidemment, la carte n’est pas vide et il dispose de capacités directement inspirées de Star Wars Episode IV.
« Tireur Lent » : (Belle référence à son altercation avec Solo, mais il s’est avéré plus utile en jeu que dans le film!) Cette action qui peut sembler un handicap, et m’a fait douter de l’utilité de la carte au premier abord, peut être ignorée si vous ciblez une figurine qui attaque au corps à corps et qui n’est pas adjacente à Greedo. En ciblant les bonnes figurines, Greedo s’avère redoutable.
Sa deuxième capacité, « Tir d’adieu » est déclenchée lorsqu’il subit un nombre de dégâts qui devrait le tuer. Il bénéficie alors d’une interruption pour effectuer une attaque ciblant la figurine attaquante, comme les Blasters à louer (décidément, ces Rhodiens sont sournois!). Une fois de plus, derrière cette capacité se cache également un très bon moyen de dissuasion qui fera que votre adversaire évitera de cibler Greedo avec un personnage mal en point. De quoi temporiser la partie.
L’extension contient également une autre carte de déploiement, amélioration d’escarmouche, « S’en prendre aux faibles« , qui transformera un de vos chasseurs en machine de guerre, lui octroyant +1 de précision et perforant 1 s’il attaque une créature au coup de lancement moins important que le sien. Les cartes de commandement ne sont pas non plus à négliger, elle apportent un grop coup de boost au deck avec des cartes spécialisées pour les chasseurs notamment.
Cette extension, comme toutes les autres apporte une mission secondaire pour la campagne. Nous l’avons testée avec Younz en one-shot, sans relancer de campagne, pour s’en faire une idée. Son scénario (que l’on ne dévoilera pas pour préserver la surprise aux rebelles qui nous lisent) nous à fait passer un excellent moment, et la partie était tendue jusqu’au bout!
Une extension qui ne payait pas de mine au premier coup d’oeil qui risque bien de se retrouver dans plusieurs de mes compositions d’escarmouches à venir.
Note perso Panzerodin : Les figurines sont dynamiques et ont fait forte impression lors de la présentation. Le drapé de la cape d’Obi-Wan rend vraiment bien.
Voilà qui conclut la présentation de la dernière vague d’extensions sorties, nous tenons à remercier Edge qui nous a fourni des exemplaires pour pouvoir les présenter lors d’un après midi découverte dans une boutique.
Ces nouvelles figurines mettent un grand coup dans les compositions qui trônaient fièrement dans les tournois, c’est avec plaisir qu’on se retrouve à jouer des équipes renouvelées et inédites. Plaisir qui devrait continuer avec les prochaines vagues que nous vous présenterons dès que possible .
C’est officiel, Bandai Namco ont annoncé Dragon Ball Xenoverse 2 en Europe sur Nintendo Switch (comme je l’avais dit dans mon article précédent).
Quitte à me répéter, voici les possibilités de jeu grâce à au support de la Nintendo Switch : les joueurs pourront jouer à 2 sur la même console et jusqu’à 6 en connexion locale. Et grâce au Motion Gameplay des Joy-Cons, les joueurs pourront mimer le fameux Kamehameha pour lancer cette attaque légendaire.
En plus de cette annonce, Bandai Namco nous a octroyé d’une bonne flopée de screenshots que vous pouvez voir dans la galerie ci-dessous :
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En plus de tout çà, le 4ème DLC sortira en juin sur les autres supports avec 2 personnages surpuissants : Zamasu Fusion et SSGSS Bejito (ou Vegito, c’est selon les goûts 😉 ).
Dragon Ball Xenoverse 2 est prévu pour cet automne sur Nintendo Switch.
Après une newsletter pas très précise le mois dernier, Bandai Namco Asia confirme que Digimon Story: Cyber Sleuth – Hacker’s Memory sortira bien en Asie en version physique et numérique sur Playstation 4 comme nous le savions mais également sur Playstation Vita (nous n’avons pas encore confirmation de la langue mais vu les captures d’écran, il semble bien parler de la version avec les sous-titres anglais)
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Ce qui veut dire que, si comme moi, vous avez fini le jeu version Asia Digimon Story: Cyber Sleuth vous pourrez exporter votre sauvegarde et vos Digimons dans Digimon Story: Cyber Sleuth – Hacker’s Memory
Hacker’s Memory se passe dans le même monde que l’original Cyber Sleuth et suivra une autre et nouvelle histoire qui est « l’autre côté de Cyber Sleuth”. Le héros est Keisuke Amazawa (nom changeable), un jeune homme qui est rentré dans le monde du piratage une fois accusé à tord d’un crime. Le personnage est désigné Suzuhito Yasuda.
Vous retrouverez le système de base de Cyber Sleuth, incluant la Digi-farm, qui aura eu de nombreuse amélioration. Il y aura plus de 320 Digimon dans cet opus.
Digimon Story: Cyber Sleuth – Hacker’s Memory est prévu pour la fin d’année au Japon, début 2018 en Asie et 2018 pour l’Europe en version numérique.
A l’heure où vous lirez ces lignes, il est peu probable malheureusement que le film soit encore à l’affiche (il ne vous reste plus qu’à attendre la sortie du Blu-Ray), mais si jamais l’opportunité se présente et que vous êtes fans de Kaïjus alors foncez sans perdre une seconde! Vous êtes encore là? Alors revenons au film.
King Kong
Bien que principalement connu pour sa version originale de 1933 et celle de Peter Jackson en 2005, King Kong a fait de nombreuses apparitions cinématographiques en Occident et au Japon.
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L’histoire du personnage reste globalement la même: King Kong est un gorille géant vivant sur une ile sauvage, Skull Island, aux cotés d’indigènes et de créatures préhistoriques gigantesques. Malheureusement des explorateurs américains viennent bouleverser cet écosystème.
A travers les différentes œuvres, nous retrouvons toujours la question de la bestialité et de l’humanité abordée. Dans sa première apparition, King Kong, capturé après avoir été appâté par une actrice dont il est tombé sous le charme, est exhibé comme une bête de foire à New-York avant de parvenir à se libérer. Perdu et déboussolé loin de son ile natale, il capture la jeune femme et se réfugie au sommet de l’Empire State Building. Piégé, celui-ci livre un baroud d’honneur face à des avions armés avant d’être mortellement atteint et de chuter dans le vide. Rassurez-vous, je ne viens pas de vous spoiler la fin de l’histoire car ces évènements sont ceux d’un autre univers.
On vient d’éviter le drame…
Le MonsterVerse
Shin Godzilla, Achevez-moi Edition
Annoncé initialement comme un prélude au film King Kong, sans savoir quelle version, le scénario évolue au fil du temps et viens finalement s’intégrer dans le même univers que le Godzilla de 2014 (le dernier en occident, Shin Godzilla n’ayant pas ou peu été diffusé en Europe) produit par Legendary Pictures: le MonsterVerse. Car oui: ils comptent bien développer leur univers à travers de nombreux films comme Marvel ou DC Comics l’ont fait récemment.
L’histoire démarre donc avec deux pilotes de chasse de la seconde guerre mondiale, un américain et un japonais, écrasés sur une ile et s’acharnant dans un duel mortel. Alors que le conflit semble être sur le point de trouver une issue, nos deux pilotes alors au sommet d’une montage se voient soudain interrompus par une immense créature qui les fixe intensément: Kong.
Le temps fait son œuvre et à la fin du générique nous nous retrouvons en 1973 aux dernières heures de la guerre du Vietnam. Alors que les États-Unis sont sur le point de retirer ses troupes, un petit groupe de scientifiques d’une institution appelée Monarch (là les fans se réveillent en théorie) milite auprès d’hommes politiques américains influents pour organiser une expédition sur une île non-répertoriée qui vient d’être découverte par l’un des tout premiers satellites mis en orbite. A force de ruse et de persuasion (« On va pas laisser les communistes y aller en premier quand même »), Monarch obtient une expédition scientifique et quelques militaires pour les escorter avec, à leur tête, un Samuel Jackson prêt à en découdre et qui ne digère pas la fin de la guerre contrairement à ses hommes qui ne rêvent que de revoir leurs femmes. Ajoutez à cela un ancien espion rusé devenu mercenaire et une jolie femme photo-reporter en quête de gloire et vous obtenez une équipe parfaite.
Une intrigue respectueuse du genre
La suite? Je préfère vous laisser la surprise. Dans les grandes lignes, néanmoins, je peux vous dire que l’on retrouve comme dans le premier King Kong la découverte d’un monde inconnu paradisiaque rempli de dangereux monstres maitrisés de justesse par Kong, mais aussi tous les codes d’un vrai film de Kaïju: des doutes divisant les humains sur le sort à lui réserver, des dilemmes qui vous feront toujours remettre en cause les notions mêmes d’humanité ou de monstruosité, et surtout l’impuissance magistrale des individus face à une nature déchainée. Tous les codes du genre sont présents! Bon, bien sûr, si vous recherchez du combat entre mechas et kaijus vous vous êtes trompez d’endroit et je vais vous demander d’attendre patiemment dans la salle d’à côté jusqu’à l’année prochaine! Gardez-moi une bonne place!
Faudra expliquer aux américains que bombarder un endroit n’assure pas un bon accueil.
Godzilla VS Kong ?
Pour finir de convaincre les fines bouches, que vaut Kong: Skull Island face à Godzilla sorti trois an plus tôt? Et bien ma foi les reproches de Godzilla ont été pris en compte et nous permettent de bien mieux profiter de ce film.
Alors que le casting de Godzilla se révélait bien fade malgré la présence trop brève de Juliette Binoche et l’excellentissime Bryan Cranston (Malcolm, Breaking Bad), le casting envoi ici du très lourd avec entre autres la présence de Samuel L. Jackson, John Goodman, Brie Larson et Tom Hiddleston! Et la qualité de leur prestation sert le film et votre immersion là où les acteurs de Godzilla vous semblaient fades et sans personnalité à un point où l’on attendait impatiemment la prochaine scène avec un Kaiju!
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Kaijus malheureusement plus suggérés que vu dans Godzilla (après vérification, il semblerai que Godzilla n’apparait en tout et pour tout 8 minutes dans son propre film) avec principalement des scènes nocturnes avec des jeux de lumières qui dévoilent brièvement un morceau de la silhouette des protagonistes. Cette frustration disparait totalement avec Kong toujours bien mis en valeur le long du film et les autres monstres bien visibles eux aussi (même si, contre toute attente, les monstres les plus mis en valeurs sont ceux longtemps suggérés avant d’être bien aperçus).
Et c’est bien ce point le plus important ! Bien sûr le film doit nous interroger sur notre nature humaine, la limite étroite entre le bien et le mal, notre impuissance face aux éléments. Mais dans ce divertissement les spectateurs s’attendent à des duels titanesques et sont servis en l’occurrence! C’est donc avec une impatience non dissimulée que j’attends déjà les prochains films dans ce Monsterverse où les pions se mettent en place au fur et à mesure tel l’univers Marvel ou DC Comics. Tant d’opportunités sont déjà présentes, et tant d’autres restent encore à mettre en œuvre dans un univers où les principaux acteurs ne risquent pas, magie des effets spéciaux, de vieillir et de perdre ce qui nous avait attiré en premier lieu. Et comme toujours, n’oubliez pas de rester jusqu’à la fin du générique!
Oceanhorn : Monster of Uncharted Seas est un RPG-Aventure développé par Cornfox & Bros. et édité par FDG Entertainment. Oceanhorn vient tout juste de sortir sur la Playstation Vita. Initialement sur IOS et Android, le jeu est sorti sur quasiment toutes les plateformes actuelles. Il est arrivera très bientôt sur Switch.
L’histoire d’Oceanhorn
Papa ? Tu pars ?
Quel monstre ?
C’est en pleine nuit que votre père s’en va pour affronter un monstre marin mécanique redoutable : le Oceanhorn. Il n’est pas de taille. C’est là que votre aventure commence ! Vous allez partir à sa recherche en espérant arriver avant qu’il ne soit trop tard. Contrairement aux jeux Zelda, ici vous n’allez pas sauver une princesse. Même si le scénario commence simplement, l’univers a quand même une mythologie intéressante. D’ailleurs, vous aussi vous pourrez briser des pots en les lançant contre les murs. Vous pourrez même les lancer sur les gens qui ne réagiront pas malheureusement.
Haha ! J’ai une branche !
Vous commencez votre exploration avec juste un bout de bois. Très vite vous allez retrouver l’épée et le bouclier de votre père. Puis un bateau pour naviguer d’île en île avec un fusil pour vous défendre contre les ennemis marins et les mines! L’inspiration va un peu trop loin, limite de la copie pure et dure, avec les nouveaux objets comme les bombes, l’arc, le bouclier miroir et l’épée qui envoie des projectiles lumineux… Comme dans la licence phare de Nintendo. Vous allez affronter des bosses pour récupérer des emplacements de coeurs ainsi que les trois médaillons : terre, eau et lumière.
L’avis de Caskull : En effet, Oceanhorn est clairement une copie de la célèbre série Zelda et elle est totalement assumée ! De ce fait, le jeu a de très bonnes bases de gameplay.
Bonjour ! Ça sera une salade pour moi !
On dirait la Triforce non ?
L’exploration et la prise de niveau
Oceanhorn se différencie par l’exploration. Là, vous ne partirez pas au hasard dans la nature. Non, vous allez devoir interroger les PNJs ou trouver des documents tel que des bouteilles sur la plage ou des livres pour vous indiquer l’existence de telles ou telles îles.
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Bien sûr, les îles essentielles à l’histoire vous seront naturellement dévoilées lors de l’aventure. Les îles annexes, elles, regorgent de secrets, d’énigmes et de récompenses vraiment rafraîchissantes pour le genre ! Certaines îles ne délivreront leurs secrets que lorsque vous aurez un objet bien précis. Cependant, même sans cet objet, vous pourrez quand même avoir une récompense. Il n’y a donc aucune frustration à faire des allers-retours.
J’invoque une chaise !
Vous obtiendrez des pouvoir magiques qui sont aussi faciles à utiliser que bien pensés. Un pouvoir pour faire tomber des objets aléatoirement, le pouvoir du feu ainsi que 3 autres. Bien qu’ils soient « classiques », ils sont très bien intégrés au gameplay et agréables à utiliser; le tout grandement facilité par une interface aux petits oignons. Que ce soit lors du changement d’armes rapide ou le menu général, celui-ci est proche de la perfection!
On voudrait plus de menu aussi bien !
Le menu principal est intuitif et clair : il vous permet de voir vos prises (de pêche), revoir les cinématiques, lire le carnet avec vos objectifs, votre temps de jeu et les commandes. Il permet également de voir les défis. Les défis sont des objectifs annexes vous permettant de gagner plus facilement de l’expérience. Cette dernière, que vous allez gagner en tuant des monstres, résolvant des énigmes et en trouver dans les coffres vous fera progresser en niveau. Ces niveaux vont renforcer vos compétences et le nombre de bombes ou de flèches que vous pouvez porter… Jusqu’à devenir le héros ultime surpuissant qui tire des rayons de lumière avec son épée!
Un crâne d’un monstre mort, c’est plus classe qu’une stèle !
La réalisation d’Oceanhorn
La traduction est bien réalisée !
Oceanhorn est entièrement sous-titré en français que ce soit la version PAL ou Nord Américaine ! Le jeu tourne super bien sur la PS Vita, aucun ralentissement, soucis d’image et les chargements sont rapides. De plus, Oceanhorn est beau avec sa 3D isométrique. Notamment l’eau est très bien travaillée et les environnements sont bien en valeur avec l’isométrie qui donne une bonne perspective. Néanmoins, le bestiaire est trop simpliste. Vous n’avez pas une grande diversité avec une dizaine de monstres seulement. Il est dommage de ne pas en faire plus quand on se base dans un univers post-guerre mélangeant magie et mécanique.
L’avis de Caskull : En plus du peu de monstres, il faut ajouter qu’il n’est pas rare de voir l’IA complètement dans les choux, ce qui rend le jeu encore plus simple. Par contre je trouve l’inertie que l’on retrouvait dans les anciens jeux est, ici, un peu bizarre. A part cela, la technique du jeu est très correcte et agréable.
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Vous aurez également un cycle jour-nuit avec certains événements se déroulant uniquement la nuit et il en va de même pour la météo. Les îles les plus sombres oscilleront entre nuageux et averses, donnant au titre une ambiance particulière et une vraie personnalité au titre ! Vous aurez des univers variés entre la cité aquatique, la vieille base mécanique ou l’île cimetière. On a un peu l’impression de revivre les aventures de Luffy dans One Piece.
La bande son est juste superbe! En cherchant sur l’artiste, j’ai tout de suite compris: il s’agit de Nobuo Uematsu le compositeur de Final Fantasy ! Carrément ! Elles vous plongent directement dans l’ambiance de l’île rendant l’histoire bien plus immersive. Bien sûr le jeu est ponctué de cinématiques. Celles-ci sont bien réalisées et font partie intégrante de l’histoire.
Le gameplay ?
Le jeu ne dispose pas de tutoriel car la progression est bien pensée et intuitive! Vous comprenez rapidement ce qui est possible de faire. De plus, le jeu est généreux en vous fournissant toujours ce qu’il faut pour réussir votre progression. En cela, on sent que le jeu est d’abord pensé pour le mobile.
Oui, Oceanhorn manque de difficulté. Les énigmes sont un peu simplettes pour ceux qui ont l’habitude du genre. J’ai parfois même cherché trop loin et tourné trop longtemps alors que la réponse était toute simple. Vous n’allez que pousser des blocs ou allumer des interrupteurs. Il n’y a qu’une seule énigme qui méritait un timing vraiment précis et un peu de réflexion. Le plus difficile sera de récupérer l’ensemble des pierres de sang. Il y a aussi l’île des murmures que j’ai vraiment adoré et qui montre de quoi est capable le studio. J’espère vraiment que Oceanhorn 2 aura le droit à bien plus d’énigmes et d’histoires de ce genre !
Il ne faut pas tomber !
Le titre souffre d’autres soucis. Il est court. Il faut environ 15-18h pour finir le jeu à 100%. L’histoire reste quand même très linéaire et il n’y a pas vraiment de quêtes annexes développées (bien que vous allez rencontrer une jeune fille et que vous allez partager un moment très mignon ensemble). Il est dommage de ne pas avoir fait plus de quêtes qui dévoilent des cinématiques ou de l’exploration plus hardie.
Ce qu’on espère pour la suite ?
Malgré ces défauts, le jeu est addictif. J’ai fait le jeu en 2 jours! Une fois 5h et puis 10h non stop pour finir par le platiner ! J’ai eu vraiment l’impression de rejouer à un Zelda de mon enfance. Je sais que c’est typiquement le jeu que je referai dans 1 an ou deux ! Maintenant, j’attends de pied ferme le second opus qui est prévu sur PS4 et Xbox One, où le héros semble adulte! Et s’ils gardent la formule, en l’améliorant et en approfondissant la mythologie de l’univers Oceanhorn. Bref pour moi Oceanhorn est une bonne surprise que je vous conseille vivement !
L’avis de Caskull : Il est clair qu’Oceanhorn est une très bonne surprise et un très bon jeu pour un indie. Je suis, par contre, sur la réserve pour le 2 : D’après les dernières vidéos, Cornfox & Bros veulent jouer sur le terrain de Zelda : Breath of the wild et là ils prennent un très gros risque. Pour ce qui est disponible en vidéo, le prochain jeu à l’air de garder le même moteur et les mêmes mécaniques (ce qui est un bon point) mais avec la caméra en vu TPS.
Résultat actuel : le jeu et surtout le personnage principal ont l’air trop rigides. De mon côté, ça va être dur d’être époustouflé par çà après plus de 100h à crapahuter dans Hyrule….
Pour ceux que ça intéresse le jeu sortira version physique sur Playstation 4 et Playstation Vita via Limited Run Games courant juillet !
Introduction (désolé on n’a pas réussi à avoir le texte déroulant jaune) :
Assaut sur l’empire est un jeu de figurines de deux à cinq joueurs, basé sur l’univers de Star Wars. Créé en 2015 par Corey Konieczka, Jonathan Ying et Justin Kemppainen, édité par Fantasy Flight en version originale et par Edge chez nous. Il est basé sur le modèle d’un autre jeu bien connu des amateurs de jeux de plateaux : Descent. Il en reprend les mécaniques mais, exit l’ambiance médiévale fantastique et bienvenue dans l’univers de notre Space Opera favori.
Coucou, tu veux voir ma boîte ?
La boîte de base de Star Wars Assaut sur l’Empire propose un contenu tout simplement colossal. Avec un poids proche des 3 kg, la première chose qui saute aux yeux à son ouverture est la profusion de matériel qu’elle contient. On y trouve des tuiles en carton que l’on pourra assembler entre elles et feront office de plateau de jeu, des cartes illustrées, des dés et des figurines. Les figurines sont de tailles diverses et l’échelle est respectée! La boîte de base contient des personnages classiques mais également un superbe TR-TT (bipède impérial).
Les figurines sont en plastique mais bénéficient d’un moulage fin présentant pas mal de détails. Ces dernières sont monochromes mais peuvent être peintes. J’ai longtemps joué avec des figurines non peintes et un jour, l’envie m’a pris et je me suis lancé dans la peinture. Le jeu prend une autre dimension une fois que les figurines ont pris un peu de couleurs. Certains personnages sont relativement simples à peindre et accessibles aux débutants (comme moi).
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IG-88 avant peinture
IG-88 après quelques coups de pinceau
Un droïde sonde avant peinture
Une brochette de droïdes avant finitions
Après quand on a du talent, on arrive à un résultat comme celui de Sorastro et on peut se la péter tout à fait légitimement :
Mécaniques de jeu (sans la pièce du Faucon qui déconne)
Ce jeu fait s’affronter deux camps : l’Empire et les Rebelles (chacun pouvant être aidé par une troisième faction : les Mercenaires qui prêtent allégeance selon leurs intérêts). Chaque carte dispose de capacités spéciales, de points de déplacements et d’une réserve de dés d’attaque.
Des cartes de déploiement des différentes factions.
Tour à tour les joueurs “activent” une unité ou un héros et disposent de deux actions par personnage. Chaque joueur établit sa stratégie pour mener sa mission à bien. Les affrontements, parce que oui, il ne faut pas se le cacher, on joue à Star Wars pour se battre à coup de blasters et de sabres lasers, se règlent aux dés.
Le joueur attaquant lance les dés de la réserve d’attaque de son unité et le joueur défenseur lance les dés de défense de son unité. On observe les résultats, résout les effets et on continue la partie. Les règles peuvent sembler un peu abruptes et denses mais elles s’assimilent rapidement et on prend très vite du plaisir à jouer. On se réfère souvent aux guides dans les premières missions mais on s’en affranchit vite.
Note Perso Panzerodin : Star Wars Assaut sur l’Empire est le premier jeu de plateau (autres que les grands classiques comme le Monopoly ou encore Tifou le Dinosaure) auquel j’ai joué et l’apprentissage des règles s’est bien passé.
Note Perso Younz : Les règles s’assimilent très bien lors d’une partie d’escarmouche, on conseille de commencer par ça pour se familiariser avec les mécaniques de jeu.
La particularité de ce jeu est qu’il possède deux modes de jeu distincts :
La campagne : Elle prend place entre les événements des épisodes III et IV. Vous jouez une partie opposant l’empire et les rebelles, 1 joueur jouant le rôle d’un maître du jeu côté impérial, les autres étant les héros rebelles qui luttent le long d’une campagne scénarisée en 11 missions.
Chaque rebelle (de 1 à 4) choisis un personnage unique (6 dans la boîte de base) avec ses capacités propres.
A l’inverse le joueur impérial dirige les troupes de l’Empire, il dispose de toute l’armada et usera de toutes les unités mises à sa disposition pour barrer la route aux rebelles.
L’intérêt de la campagne c’est qu’elle est évolutive et unique à chaque fois, les premières et dernières missions seront communes à toutes les parties, mais toutes les missions entre seront déterminées par les résultats des précédentes. La Campagne propose une alternance de missions de l’intrigue qui présente une histoire et des missions annexes qui sont tirées parmis un paquet composé en début de partie. Vous pourrez également ajouter à ce paquet des cartes de missions issues d’extensions afin d’étoffer et de varier les parties en incorporant de nouveaux protagonistes et de nouveaux objectifs dans la campagne.
Le joueur impérial possède devant lui le Livret de campagne qui contient les informations de mise en place de la mission, mais également le déroulé de cette dernière, avec des événements qui se déclenchent dans certaines conditions (objectif ou round atteint par exemple). Les rebelles eux n’ont pas accès à ces informations. Le joueur incarnant l’Empire Galactique a donc réellement un rôle de Maître du jeu, mais, ce qui m’a particulièrement plu, c’est qu’il est vraiment actif dans la partie. Il joue réellement et , contrairement à un jeu de rôle où il raconte l’histoire et oriente les autres joueurs, ici, il participe activement à la partie. Cet aspect me convient beaucoup plus que celui de Maître du jeu en jeu de rôle.
L’escarmouche vous permet des parties plus rapides et “personnalisées”. Vous pourrez créer votre propre équipe de personnages pour affronter votre adversaire. Il vous faudra constituer cette escouade selon quelques règles : 40 points de coût total de déploiement et vous ne pourrez pas mélanger les factions à moins d’intégrer une carte spéciale. Ainsi qu’un deck de carte de commandement, des cartes spéciales pouvant être liées à un personnage ou à une classe (utilisateur de la force, jedi, wookie, …) qui permettent d’effectuer des actions spéciales qui peuvent renverser le cours d’une bataille. Chacun y trouvera son compte en fonction de son style de jeu et des ses préférences de personnages.
Vous remporterez la manche en remportant 40 points de victoire. Comment les obtenir? Soit en abattant les figurines adverses (qui vous rapporteront des points en fonction de leur coût de déploiement) ou bien en accomplissant des objectifs. Les objectifs seront définis en fonction de la carte sur laquelle la partie se déroule. Chacune propose deux missions différentes avec des objectifs variés, allant de la capture de points à l’élimination de cibles. Ces cartes sont proposées dans la boîte de base (deux maps) et une par extension. Nous reviendrons plus tard sur le contenu de ces dernières. Les parties d’escarmouche durent en moyenne 45-60 minutes, elles proposent un rythme rapide et sont idéales pour des sessions courtes, même si l’on finit souvent par en refaire une, voire deux après la première. Elles demandent un petit peu moins d’investissement que la campagne qui implique, pour la faire dans des conditions idéales, de la suivre de bout en bout avec les mêmes personnes. Il n’est pas toujours facile de rassembler jusqu’à 5 joueurs sur plusieurs sessions pour aller au bout de l’histoire. De plus, ce mode compétitif se prête parfaitement aux tournois (amicaux et officiels), qui sont souvent l’occasion d’obtenir des cartes promotionnelles avec un design alternatif, souvent très classes.
Pour quelques crédits galactiques de plus…
Les extensions quant à elles se présentent sous plusieurs “formats”. Elles sont de tailles diverses et variées et proposent du contenu supplémentaire en fonction de leur taille. Les petites extensions vous proposent généralement un héros emblématique de l’univers Star Wars comme Han Solo, Chewbacca ou encore Bossk. Si certains personnages sont très connus, j’apprécie particulièrement que certains personnages plus obscurs de la licence soient mis en avant, comme IG-88 que l’on aperçoit simplement dans une scène de L’Empire Contre-Attaque.
L’univers étendu commence a être assimilé dans le jeu, le capitaine Hera et Chopper de la série Star Wars Rebels ainsi que les droids 0-0-0-0 et BT-1, venant tout droit des comics vont venir grossir les rangs des figurines jouables.
Les extensions proposent chacune la ou les figurines des personnages qui remplaceront les jetons présents dans la boîte de base, une map d’escarmouche et ses deux missions, des cartes de commandements propres à l’extension, une carte de mission permettant d’intégrer le personnage à la Campagne, des cartes de Projet Impérial et des améliorations pour les rebelles. Ces “petites” extensions apportent donc un contenu conséquent pour le jeu.
D’autres extensions “en boîte”, comme Ombres Jumelles, sont plus importantes en terme de contenu. Elles ajoutent une nouvelle campagne indépendante et de nouvelles missions qui peuvent être intégrées à la campagne de base. Elles proposent également de nouveaux héros rebelles et de nouvelles unités impériales. Bien évidemment à côté de cela, vous trouverez de nouvelles tuiles pour que vos aventures prennent place dans de nouveaux environnements. Elles sortent régulièrement et permettent au jeu d’évoluer. Toutes les extensions sont compatibles entre elles et bien sûr avec le jeu de base.
Note perso Panzerodin: Il m’est arrivé de me dire “Aller, ce perso est cool, il serait pas mal dans ma compo d’escarmouche, je prends l’extension à 10 euros, pour me faire une petite partie avec Younz”. Le prix peu élevé de ces extensions aidant fortement à céder à la tentation 😉
Note Perso Younz : J’ai déjà craqué sur une extension juste pour les cartes commandement, pour pouvoir améliorer ma composition de base. J’assume totalement!
Au début nous jouions avec une boite pour deux (il est possible de faire plusieurs compositions d’escarmouche avec la boîte de base), puis le jeu nous ayant conquis, nous avons chacun eu notre boite de base. Mais il nous arrive de nous concerter pour l’achat d’extensions afin de pouvoir se les prêter en fonction des envies. Pour ne pas décourager les nouveaux joueurs, sachez qu’il est tout à fait possible d’avoir des listes compétitives avec la boîte de base. Une bonne stratégie étant toujours plus efficace.
Your Empire needs you!
Star Wars Assaut Sur l’Empire est un jeu qui, reste accessible malgré des livrets de règles qui peuvent faire peur au début, et s’avère rapidement prenant pour tous les fans de la licence Star Wars. Mais les autres joueurs ne sont pas pour autant laissés pour compte puisqu’ils peuvent apprécier le jeu pour son gamelplay solide. Avec une durée de vie de plusieurs dizaines d’heures (environ 25 heures pour notre première campagne, avec Younz, sans compter les nombreuses sessions en escarmouche) le jeu promet de bons moments à partager. La boîte de base est proposée au prix de 90-99 € suivant les vendeurs, c’est certes un investissement, mais le jeu les vaut, tant par la qualité de son matériel que par sa durée de vie. Les extensions dont le prix varie entre 10 et 20 euros pour les petites et 35 et 60 euros pour les plus grosses ne sont pas indispensables dans la mesure où le jeu de base propose un contenu très conséquent et des tokens pour certains personnages. On n’est absolument pas devant un jeu en kit. Cependant, les plus passionnés voudront les figurines pour remplacer les tokens et se lanceront dans l’achat d’extensions. C’est un jeu que Younz et moi vous recommandons chaudement !
Si vous cherchez un jeu pour des affrontements à deux (ou à quatre avec l’extension Hoth) dans des parties rapide d’escarmouches passionnantes et imprévisibles Assaut sur l’Empire est fait pour vous. A moins que vous préfériez vous lancer dans une aventure épique de plusieurs dizaines d’heures, entre amis, sur fond de musique de John Williams et de sabres laser. Si le plaisir de terrasser ces impertinents rebelles avec Dark Vador ou au contraire de mettre fin à la tyrannie de l’Empire vous grise, Star Wars Assaut sur l’Empire est aussi fait pour vous!
Merci à l’équipe d’Edge et Asmodée pour ce jeu qui nous occupe de nombreuses heures depuis sa sortie, et qui nous a permis de rencontrer d’autres passionnés!
Les liens dans le tableau récap sont affiliés chez Playin et Philibert.net. En passant par eux pour vos achats, vous pourrez soutenir le site, en nous permettant d’acheter de nouveaux jeux. Merci à ceux qui le feront !
Frozenbyte (créateur de la série Trine entre autre) viens d’annoncé l’arrivée de leur prochain jeu, Nine parchments, sur Nintendo Switch en plus des supports PC, PS4 et XboxOne.
Savant mélange
Nine Parchments est un jeu de shoot coopératif dans un univers d’héroic-fantasy (et donc de magie) made in Frozenbyte.
Un groupe d’apprentis magiciens décident d’échapper à leur entrainement pour faire un saut rapide dans le Nine Parchments.
Pour tout magicien en devenir, il n’est pas rare d’avoir l’envie de découvrir rapidement de nouveaux sorts puissants en ignorant tout les aspects sécuritaire et il est naturel que ces progrès fulgurants finissent également en d’horribles morts soudaines et non-voulues…
Nine Parchment est au croisement d’un diablo-like de part son gamedesign mais aussi de Magicka par son aspect « sorts de magies élémentaires à effets variables ». Avec, de plus, la touche Frozenbyte (aussi bien au son, qu’à l’univers et le gameplay) Nine Parchments à tout pour rendre un jeu à la fois beau, nerveux et profond à la fois !
Les spécifications
Pratiquez le pouvoir des éléments et maitrisez un arsenal de sorts diversifiés et en constante évolution.
Débloquez de nouveaux personnages jouables, des chapeaux magiques et de puissants bâtons magiques.
Augmentez de niveau et entrainez votre personnage aux arts magiques mais choisissez votre voie avec sagesse !
Combattez d’étranges créatures et des bosses gigantesques dans un monde merveilleux à couper le souffle, basé sur l’univers de Trine.
Du multijoueurs jusqu’à 4 en local et en ligne.
Arrivera courant 2017 sur Nintendo Switch, PC, PS4 et XboxOne.
Nintendo nous a octroyé d’un nouveau direct hier soir à minuit avec 90% du temps consacré à leur prochain jeu ARMS ainsi qu’un bout de Splatoon 2. Quoi de beau dans ce direct ? La réponse tout de suite !
ARMS, Le coup de poing made in Nintendo
Pour ceux restés dans leur grotte au fond, ARMS est une nouvelle licence de Nintendo avec comme base un jeu à la 3ème personne sur fond de combat de boxe ou presque. Vous vous souvenez du jeu de boxe sur Wii ? Et bien oubliez, ça n’a rien à voir !
Ici, Nintendo nous propose un jeu pétillant, survolté et très complet. Un jeu de combat qui risque fort de continuer sa collection de jeux vendus par paquebots entiers après Zelda : Breath of the Wild et Mario Kart 8 : Deluxe. ARMS, donc, propose un jeu solo et multijoueurs de combat avec des personnages hauts en couleurs… avec des bras extensibles. Dans des arènes, les joueurs devront se battre à coup de poings (mais aussi de pieds ou autres) pour sortir grands gagnants. Après les annonces d’un jeu assez sympa, on passe ici à la vitesse supérieur avec beaucoup de fonctionnalités. ARMS proposera donc :
10 personnages de départ :
Springman : La coiffure bondissante de ce combattant à l’air fausse mais sa passion pour le combat, elle, est bien réelle.
Ninjara : Utilisant des mouvements fluides et des techniques de Ninjutsu ancestrales, Ninjara peut disparaître et se téléporter n’importe où en l’air ou quand il se met en garde.
Master Mummy : Le seul personnage à se régénérer en se mettant en garde, il est en plus une force à prendre en compte.
Min Min : En plus de ses bras en nouilles de Ramen, Min Min peut repousser ses adversaires d’un coup de pieds bien placé.
Kid Cobra : Un fan des perches à selfies et de lives de stream d’une grande agilité. Il fond sur ses adversaires à une vitesse hallucinante.
Ribbon Girl : Possédant une capacité de saut hors du commun, Ribbon Girl viole les lois de la physique avec son pouvoir imbattable.
Helix : Qui est Helix ? C’est une expérience qui a mal tournée. Son corps mou lui permet des déplacements imprévisibles.
Mechanica : Cette génie de la mécanique s’est créé une armure pour s’envoler dans la compétition.
Byte & Barq : 2 Combattants en 1 ! Ce robot de combat et son fidèle compagnon canin robotisé se battent ensemble pour délivrer des combos dévastateurs !
Twintelle : Une actrice de haut rang qui utilise sa célébrité pour éblouir ses adversaires et les ralentir, lui déroulant le tapis rouge vers la victoire !
Personnalisation des combats :
Après avoir sélectionné un personnage, les joueurs pourront s’équiper de 2 ARM(e)S (main gauche et droite). Ces Armes auront une apparence aussi excentrique qu’un boomerang ou un missile, permettant d’infliger divers types d’attaques aussi bien à distance qu’au corps à corps mais également de servir d’arme défensive !
Types : Des dizaines d’armes peuvent être sélectionnées dans le jeu, chacune possédant un coup spécial et une maniabilité différents. Les types d’armes sont divers, le Toaster par exemple, libère un coup de poing enflammé et le Trident peut tirer trois projectiles horizontalement. Certaines armes décuplent même la défense, comme l’Égide, qui peut également servir de bouclier !
Attributs : Il y a sept attributs d’armes différents dans le jeu : feu, foudre, vent, glace, choc, explosion et aveuglement. Comme chaque arme dispose d’attributs différents, les combinaisons sont infinies !
Poids : Lorsque vous équipez vos combattants de différentes ARMS, il convient de prendre leurs poids en considération, c’est un facteur important qui va déterminer votre performance au combat. Le poids affecte la vitesse, c’est pourquoi les joueurs se doivent d’être attentifs à ce paramètre. Les armes lourdes sont plus puissantes mais plus lentes, tandis que les armes à cibles multiples sont plus rapides, mais la puissance individuelle de chaque coup infligé est plus faible. Il arrive que les tirs des armes se heurtent en pleine course, dans quel cas, ce sont les armes lourdes qui ont la priorité. Si elles sont de poids égales, elles s’annulent tout simplement !
Améliorations d’armes : Quand ils s’affrontent dans ARMS, les combattants gagneront de la monnaie du jeu qu’ils pourront ensuite dépenser dans l’arsenal, un endroit qui permet d’utiliser leurs capacités afin de gagner de nouvelles armes et même d’améliorer les armes déjà acquises pour les rendre encore plus puissantes !
Mode Versus
ARMS regorge de modes de jeu qui proposent différentes manières de combattre :
Combats: Dans ce mode multijoueurs principal, deux combattants s’affrontent pour obtenir la victoire. Pendant le combat, des bonus pourront apparaître pour ajouter des options stratégiques à l’action.
Combats par équipes : Dans ce mode de jeu à deux contre deux, les coéquipiers sont reliés par un cordon pour attaquer l’autre équipe. Vous devrez donc jouer de concert avec votre coéquipier sous peine de vous retrouver ensemble dans de sérieux pétrins voir, même, de vous blesser mutuellement !
Volley : Similaire au volleyball, Volley est un sport dans lequel vous devez renvoyer une balle explosive dans le camp ennemi.
Basket : Dans ce mode, vous êtes à la fois le joueur et la balle ! Attrapez votre adversaire et envoyez-le dans le panier (ou dunkez-le pour encore plus de fun) dans ce jeu hardcore d’ARMS qui rappelle le basketball.
Cibles mouvantes : Détruisez le plus de cibles possibles en vous servant des différences de vos armes et marquez le plus de points possible pour battre votre adversaire.
Survie : Semblable à un mode Horde, battez 100 ennemis à la suite dans ce mode à la difficulté progressive.
Test & Entraînement ARMS : Dans ARMS test, les joueurs ont la possibilité d’essayer des combinaisons d’armes aléatoires, tandis que le mode Entraînement vous proposera de relever des défis variés.
Multijoueurs
Jouer entre amis en local ou en ligne est très simple grâce aux multiples modes de jeu proposés par ARMS :
Grand Prix – Pour gagner le Grand Prix, les joueurs devront gagner 10 matchs consécutifs et affronter un adversaire final pour être couronnés champions. (Ce mode est jouable en local, pour un ou deux joueurs.)
Matchs non classés – En connectant leurs consoles Nintendo Switch à Internet, les joueurs peuvent combattre jusqu’à trois autres joueurs d’ARMS du même groupe à la fois. Un groupe peut accueillir jusqu’à dix consoles, et jusqu’à deux joueurs par console, donnant ainsi la possibilité à jusqu’à 20 joueurs d’être dans le même groupe !
Matchs classés – Dans cette arène, les joueurs s’affrontent dans des matchs à un contre un en ligne. En gagnant un match, le joueur grimpe dans le classement, et inversement, lorsqu’il perd, il descend dans le classement. En attendant le lancement d’un match de classement en ligne, les joueurs ont la possibilité de participer à n’importe quel autre mode pour passer le temps et parfaire leurs talents de combattants. Dès que le jeu trouve un adversaire, vous quitterez automatiquement votre jeu en cours pour combattre pour la gloire !
Mode local sans fil : En jouant au mode local sans fil, jusqu’à huit joueurs possédant chacun une console pourront se rassembler pour jouer dans la même pièce ou dans un groupe de jeu et affronter jusqu’à trois autres joueurs à la fois, comme dans les matchs non classés.
Mise à jour d’ARMS :
De multiples mises à jour gratuites du jeu sont prévues à l’avenir pour ajouter de nouveaux combattants, de nouveaux stages et de nouvelles armes au jeu. Ces mises à jour gratuites se feront après le lancement du jeu, alors restez à l’écoute pour en savoir d’avantage !
Démo anticipée ARMS Global Testpunch : Tout comme Splatoon 2 avant lui, ARMS proposera également des périodes d’essai gratuites pour découvrir le jeu avant son lancement. La première période d’essai aura lieu le week-end du 27 et 28 mai, et la seconde le week-end du 3 et 4 juin. Pour y participer, il suffit de télécharger la démo gratuite ARM Global Testpunch depuis le Nintendo eShop de la Nintendo Switch avant le début de ces deux périodes d’essai. Restez à l’écoute pour connaître les horaires de ces sessions d’essai du jeu !
Ce direct à donc fait monter la hype d’un bon niveau en dévoilant toutes ces infos : ARMS se retrouve donc à être un jeu complet, fun et varié. Nintendo compte bien le faire perdurer dans le temps avec ses mises à jours gratuites. De plus, d’après les retours, le jeu sera aussi agréable à jouer avec les Joy-con qu’avec la manette pro. Et çà c’est une bonne nouvelle !
Pour revoir tout çà, voici le replay du direct :
Splatoon 2 : Un peu plus sur l’histoire et du bonus
Le direct s’est terminé sur un nouveau trailer pour Splatoon 2, prévu le 21 juillet prochain. Ce trailer nous dévoile une partie du mode histoire qui a enfin un nom : La bataille des Octoriens. Oly, une Calamazone nous apprend que les Octoriens sont revenus et qu’il est de notre devoir d’y (re)mettre un terme.
Bien entendu, Nintendo ne reste pas sans surprise et la sortie de Splatoon 2 sera accompagnée du bundle Splatoon 2 avec la Console Switch ! L’image ci-contre montre la console avec les Joy-con aux couleurs bleu et rouge Néon mais il se trouve que c’est une erreur de print, ils seront bien des couleurs vert et rose Splatoon. D’ailleurs le bundle est déjà en rupture de précommande au Japon !
Il y aura également les accessoires comme la Manette pro aux couleurs du jeu, la pochette de transport et les fameux Joy-con en automne.
Avec ce Nintendo Direct, l’été sera sportif et coloré sur Nintendo Switch !
Atlus a communiqué aujourd’hui sur la sortie du prochain épisode de la série Utawarerumono, plus précisément sur l’épisode Mask Of Truth. Alors que Mask Of Deception sort la semaine prochaine, c’est sur son successeur que les informations portent.
Pour récapituler brièvement, et afin de ne perdre personne, Utawarerumono est une licence mêlant Visual Novel et Tactical RPG. Utawarerumono : Mask Of Deception dépeint les aventures d’Haku qui se réveille amnésique dans un monde mystérieux peuplé de créatures mi humaines mi- animales. Utawarerumono : Mask of Truth est une suite directe à Mask of Deception et les événements qui s’y dérouleront prendront place juste après ceux du précédent opus.
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Dans cet épisode, le chaos à envahi le monde depuis qu’un Général s’est emparé du trône de Yamato, le monde d’Utawarerumono, et y règne d’une poigne de fer. Un groupe de jeunes gens, aux visages qui seront familiers pour ceux ayant fait Mask of Deception, se dresse contre les armées de l’Empire pour restaurer la paix, mais ils ne seront pas seuls. Un nouveau casting de personnages hauts en couleurs sera développé dans Mask of Truth et viendra enrichir l’histoire. Atlus parle d’une durée de vie de plus de 80h pour sauver le monde de Yamato !
Mais ce n’est pas tout, une deuxième annonce se joint à celle de la date de sortie ! Le jeu sera disponible en Amérique du Nord en versions digitale et physique pour PS4 et PS Vita. En revanche, en Europe, il ne sera disponible en version physique que sur PS4 mais bien sur PS 4 et PS Vita en version dématérialisée. Les précommandes du titre aux USA s’accompagneront de plusieurs bonus très sympathiques pour les collectionneurs : un fourreau exclusif ainsi qu’une taie d’oreiller imprimée sur ses deux faces. Elle sera à l’effigie de personnages du jeu : Uruuru et Saraana deux prêtresses de Yamato. Le prix annoncé est de 49.99$ pour la version PS4 et 39.99$ pour la version PS Vita Outre Atlantique (probablement 49€ et 39€ en Europe).
Le rendez-vous est donc pris pour le 5 septembre prochain pour la suite d’Utawarerumono. Si cet univers ne vous est pas familier et que le jeu vous intrigue, nous vous préparons un test du premier opus, Mask of Deception, de quoi vous éclairer sur la licence. Si malgré tout vous avez toujours des questions, je me ferai un plaisir d’y répondre.