La sortie du DLC « The Frozen Wilds » pour Horizon Zero Dawn était prévue mais très peu d’informations avaient accompagné cette annonce. Aujourd’hui nous avons eu la confirmation de la date de sortie.
Prenant place dans les contrées glaciales du Nord, la jeune Aloy devra affronter le Froid et les redoutables créatures qui y vivent. Une toute nouvelle zone sera accessible via ce contenu additionnel, et bien entendu de nouvelles quêtes.
Le DLC est déjà précommandable sur le Playstation Store au prix de 19.99€, et 17.99 pour les abonnés PS+.
Les informations restent très ténues autour de ce DLC pour le moment mais elles devraient se faire de plus en plus nombreuses à l’approche de la date de sortie du DLC, fixée au 7 novembre prochain, pour cette exclusivité Playstation 4
Une Beta ouverte pour Gundam Versus sur Playstation 4 vient d’être annoncée par Bandai Namco pour les territoires Américains et Européens.
Le jeu de baston avec nos Mechas favoris sera disponible en Open Beta à partir du 2 septembre à 9 heures, jusqu’au 4 septembre même heure pour l’Europe. Un pré-téléchargement sera possible à partir du 29 août, pour être sûr d’attaquer la Beta dès qu’elle sera accessible.
Un beau panel de fonctionalités / contenu seront accessibles pendant cette Beta :
94 Mobile Suits, toutes les unités « Striker ».
Le mode Player Match en ligne.
Le mode Casual Match en ligne en 1vs1, 2vs2, et 3vs3.
Le mode Ultimade Battle en ligne et hors ligne comprenant respectivement 15 et 30 missions.
Le Trial Battle hors ligne avec une route de débloquée.
Le mode Free Battle hors ligne.
Le Tutorial.
5 musiques du jeu issues des missions « Missing Rink » et « Crossbone ».
Gundam Versus est déjà disponible au Japon sur PS4 et sa sortie « mondiale » est prévue pour le 29 septembre prochain. Entendez par « mondiale » une sortie aux USA, en Europe et en Asie du Sud Est, toujours sur PS4.
Nul besoin de vous dire que l’on attend cette Beta avec grande impatience et que l’on ne manquera pas de vous faire un retour dessus!
Star Realms est un jeu de cartes de Robert Dougherty et Darwin Kastle (des anciens de Magic – l’Assemblée), édité par Iello. Dans ce jeu prévu pour deux joueurs, mais disposant de modes pouvant être joués jusqu’à 6, il vous faudra constituer une flotte pour vaincre votre adversaire. Le jeu se base sur la construction de deck, et place le joueur dans un contexte de science-fiction. Star Realms parvient-il à nous faire voyager ? Voici ce que nous en avons pensé.
Présentation de l’univers :
Le jeu prend place dans un univers Science-Fiction et met en scène différentes factions : L’Empire Galactique, la Fédération du commerce, les Blobs et le Techno-culte. Il nous est présenté comme tel sur la boîte :
« Bâtissez votre propre royaume galactique. Améliorez votre puissance militaire grâce au commerce et envoyez votre armada de vaisseaux de guerre protéger ce qui vous appartient et conquérir ce qui ne vous appartient pas encore ! »
Cependant, dans la boîte de base, ce n’est pas un jeu qui s’attarde sur le Lore et seules quelques petites citations sur certaines cartes viendront étoffer cette phrase d’introduction. Si le background du jeu vous intéresse, un petit résumé, en anglais est disponible ici, sur le site officiel du jeu.
Star Realms a été plusieurs fois primé et a notamment reçu lors des Golden Geek Awards de 2014 les prix pour le « meilleur jeu de cartes ; meilleur jeu pour 2 ; meilleur jeu indépendant et meilleur jeu mobile » (rien que ça!) il était également nominé pour les As d’Or de Cannes cette année dans la catégorie « Expert« .
Mécaniques (quantiques) du jeu :
Le point fort du jeu réside dans ses mécaniques. Nous vous parlions un peu plus tôt d’un jeu de deck building, cet aspect me faisait un peu peur avant de prendre le jeu en main, mais la façon dont il le traite est très intéressante et particulièrement efficace.
Note perso : N’étant pas adepte du draft, j’appréhendais un peu la première partie de Star Realms. Mais ici le concept est bien différent.
Le jeu propose de construire son deck mais de façon évolutive et en temps réel. Contrairement au draft où l’on se passe des paquets de cartes et où l’on en pioche une avant de répéter l’opération, méthode dans laquelle le deck est construit avant de jouer, la construction du paquet de jeu se fait ici en jouant.
Le but du jeu est de descendre les points d’Influence de son adversaire à 0 avant qu’il n’en fasse de même sur votre Influence. Pour cela vous utiliserez des cartes de vaisseaux et de bases sur lesquels figurent plusieurs symboles.
Le symbole commerce vous permettra d’acheter de nouveaux vaisseaux
Le symbole attaque déterminant votre force de frappe
Le symbole influence qui vous permettra de remonter votre score d’influence et de gagner du temps face aux assauts de votre adversaire.
Lorsque la partie commence, les deux adversaires ont le même paquet de départ, comprenant 8 vaisseaux produisant 1 point de commerce par navire et 2 vaisseaux, produisant chacun 1 point de dégât. Entre les deux joueurs on pose le deck de cartes commerce, dont on retourne 5 cartes, et une pile de 10 vaisseaux « constructeurs » produisant chacun 2 points de commerce. Le premier joueur pioche 3 cartes dans son paquet et peut en jouer autant qu’il le souhaite au début de son tour. Avec les ressources disponibles qu’il obtient avec ses vaisseaux il pourra acheter un ou plusieurs vaisseaux présent parmi les cartes commerce révélées (le prix de chaque structure est indiqué dans le coin en haut à droite). Ensuite les cartes jouées ainsi que les vaisseaux achetés sont ajoutés à la défausse du joueur et il pioche 5 nouvelles cartes. C’est au joueur 2 de jouer, avec 5 cartes et selon le même ordre de tour. Les tours sont décomposés en 3 phases : Phase principale, phase de défausse, et phase de pioche en fin de tour.
Avec seulement 10 cartes dans le paquet de départ et en en achetant une ou deux par tour… Ça ne va pas aller loin me direz-vous. Et bien vous avez raison, et c’est précisément à ce moment-là que le jeu devient génial, puisque lorsque vous n’avez plus assez de cartes dans votre deck pour piocher les 5 cartes qui constitueront votre main, vous allez mélanger votre défausse et en faire votre nouveau deck !
On se retrouve donc à construire une flotte progressivement en choisissant les vaisseaux parmi les 5 proposés et qui sont remplacés au fur et à mesure qu’ils sont achetés var votre adversaire et vous. Ceci vous permet d’ajuster votre jeu tout au long de la partie.
Je vous parlais un peu plus tôt dans l’article de quatre factions, elles ont un intérêt, outre proposer un style de jeu différent, à être associées entre elles.
L’Empire Galactique est orienté défausse de cartes pour l’adversaire et pioche pour vous, maximisant le nombre de cartes que vous pouvez jouer par tour.
Le Techno-Culte permet de retirer des cartes de son deck et ainsi l’optimiser en évinçant les cartes les plus faibles.
La Fédération du Commerce est basée sur la récupération de points d’Influence et les points de commerce, permettant d’acheter les vaisseaux les plus chers.
La faction des Blobs est une nation basée sur des dégâts et les combos entre les cartes de cette faction.
Certaines cartes auront également une action dite « allié » qui se déclenchera si vous possédez au moins deux vaisseaux / bases de la même faction, décuplant ainsi leurs forces.
Les bases fonctionnent sur le même principe que les vaisseaux, vous octroyant diverses ressources ou points de combat, à la différence qu’elles sont permanentes. Elles ne seront pas défaussées à la fin de votre tour. Elles possèdent un nombre de point de vie, indiqué dans le petit blason en bas à droite. Certaines d’entre elles ont le trait « avant-poste » qui empêche l’adversaire de vous attaquer tant qu’elles ne sont pas détruites. Pour les détruire il faut leur infliger en un seul tour un montant de dégâts égal à leurs points de vie.
Pour en finir avec les mécaniques de jeu, la dernière capacité présente sur certaines cartes est un effet qui se déclenche lorsque vous retirez volontairement une carte en jeu de la partie. Cela vous permettra, une fois, d’ajouter selon les cartes des points de dégâts ou de commerce.
Et voilà, toutes les règles du jeu, le reste n’est que stratégie et aléatoire. La simplicité des mécaniques, des règles en font un jeu extrêmement rapide à prendre en main et permet de s’amuser, dès la première partie.
Vous aurez certainement noté que le jeu a été récompensé en tant que « meilleur jeu mobile » aux Golden Geek Awards, c’est parce qu’une application Android et iPhone est disponible. Elle reprend le principe du jeu et vous permet de jouer une campagne contre une IA. Des achats in-app sont présents, mais complètement dispensables si vous voulez jouer en solo. Pour acheter la version complète, il vous en coûtera 4,99$. Une version Steam est également disponible.
Note perso : Je ne suis absolument pas amateur de jeux mobiles, mais cette application m’a beaucoup plu et permis de pratiquer un peu le jeu, observer des stratégies entre deux parties avec Younz ou Tentacle.
Visuellement parlant, le jeu est également une réussite. Graphic Manufacture, Gau Family Studio et Whale Shark Studio & Andre Martinez ont effectué un superbe travail. La présentation graphique est simple et claire, les illustrations des vaisseaux variées et l’identité des différentes factions sont bien marquées. Les cartes sont dynamiques et colorées, un régal.
Vers l’infini et au delà :
Le jeu propose plusieurs modes de jeu pour plus de deux joueurs, comme l’hydre à deux ou trois têtes et l’Empereur, bien connus des joueurs de Magic notamment. Un mode raid, asymétrique, avec un joueur incarnant un boss et deux à cinq autres joueurs incarnant des soldats d’élite pouvant établir une stratégie commune en regardant les mains des autres soldats d’élite. Tous ces modes de jeu alternatifs sont expliqués dans la notice de la boîte de base. Notez qu’il faudra une deuxième boîte de base pour ajouter jusqu’à deux joueurs supplémentaires. Le jeu est intégralement en français (contrairement à l’application qui n’est disponible qu’en anglais). Des extensions sont également sorties en français, ajoutant de nouveaux vaisseaux, des événements affectant tous les joueurs.
Note perso : Je n’ai pas encore testé les extensions, pour profiter du jeu de base avant. Mais je prendrai très certainement les extensions dans les semaines à venir.
En conclusion, Star Realms est un excellent jeu de deck building mêlant stratégie et hasard (sur le tirage des vaisseaux du deck commerce). Il promet de nombreuses parties d’une durée allant entre 15 et 30 minutes. La rejouabilité est énorme, vous pourrez essayer de nombreuses combinaisons de factions, des stratégies agressives ou défensives… Aucune porte n’est fermée sur ce plan-là, le jeu est très bien équilibré. Star Realms est proposé au prix d’une quinzaine d’euros pour la boîte de base de 128 cartes. Les extensions oscillent elles entre 5 et 15 euros pour la plus grosse (comprenant 4 boosters de cartes). Le jeu est donc très abordable pour sa qualité et sa durée de vie, je ne saurais que trop peu vous le recommander ! Si vous êtes amateurs de SF et de stratégie, foncez !
Note perso : Pour ma part, je remercie grandement l’ami Jahkusa qui m’a fait découvrir le jeu le week-end dernier, et que je ne lâche plus depuis!
Les liens dans le tableau récap sont affiliés chez Philibert.net, Playin, Parkage et Ludum. En passant par eux pour vos achats, vous pourrez soutenir le site, en nous permettant d’acheter de nouveaux jeux. Merci à ceux qui le feront !
Alors que la version PS Vita de Dragon Quest Builders c’est très très bien vendue, Square Enix abandonne la console portable pour se focaliser sur la PS4 et la Nintendo Switch pour la suite du jeu ! Square Enix vient annoncer l’arrive prochaine de Dragon Quest Builders 2 pour PlayStation 4 et Switch au Dragon Quest Summer Festival 2017 à Tokyo.
Contrairement au premier Dragon Quest Builders, la suite comportera des pentes, la possibilité de plonger sous l’eau, une limite supérieure à la quantité de blocs que vous pouvez empiler (il a été multiplié par trois, à la fois haut et bas), la capacité de remplir des endroits en hauteur avec de l’eau, créer des cascades, glisser vers le bas à partir de hauts lieux avec un planeur, et aura un multijoueur jusqu’à quatre personnes.
Il semblerait que le grand méchant sera ici le jeune Malroth également connu sous le nom de Sidoh, qui est le boss final de Dragon Quest II.
Voici du gameplay de ce nouveau titre où l’on peut voir un petit chien qui sera votre compagnon !
Nippon Ichi Software vient de sortir un nouveau trailer de Yomawari: Midnight Shadows qui présente les nouvelles fonctionnalités de gameplay de ce jeu d’horreur.
L’histoire de Yomawari: Midnight Shadows
Vers la fin des vacances d’été. Deux petite filles vont en montagne pour voir les feux d’artifices. Alors que la nuit tombe, elle n’arrive plus à trouver leur chemin. Lorsqu’elles se lâchent la main, elles sont séparées. Prenant leur courage à deux mains les deux filles explorent la ville de nuit alors que quelqu’un les observe dans l’ombre.
Les personnages
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Yui
Haru
Yuri est l’amie proche de Haru. Elle a une personnalité joyeuse. En revenant du feu d’artifice, elle se sépare de Haru et finit par errer dans la ville de nuit. Elle a deux chiots.
Haru a une personnalité tranquille, mais elle a du courage et se jette dans pénombre de la ville à la recherche de Yui.
Exploration
Les filles se cherchent l’une l’autre et se promènent dans la nuit… Alors qu’elles se sont perdues sur le chemin du retour du feu d’artifice, les deux filles déambulent de nuit dans la ville, qui est complètement différente de la journée.
L’histoire avance en changeant de perspectives entres les deux petites filles. Les actions que vous prendrez et les informations que vous obtiendrez pendant l’histoire d’une Yui pourront être utiles alors que vous jouez Haru et inversement.
Gameplay
Une seule source de lumière dans le noir : La seule source de lumière des filles est une lampe torche qu’elles ont avec elles. Elle vous permettra de découvrir des choses…
Utiliser votre tête pour échapper aux esprits : D’étrange « esprits » se cachent dans divers endroits tels que les montagnes, les coins de rues et sous les feux de signalisation. Parfois, ces esprits vont maltraiter les filles ou juste passer à côté d’elle.
Attention aux sons : Certain esprit ne sont pas toujours visibles il faudra donc faire attention à l’intensité des battements cardiaques des filles. Parfois il faudra fuir, vous cachez ou utiliser un objet.
Plus profondément dans l’univers de Yomawari : Yomawari – Midnight Shadows ajoute des éléments intérieurs tels que la librairie et une maison en ruine. La carte elle même fait deux fois la taille de la carte de Yomawari : Night Alone.
Vue latérale et graphismes : Les graphismes ont également évolué dans Yomawari: Midnight Shadows, ce qui rend le jeu plus agréable à regarder. Il y aura plus de scène en vue latérale. Les écrans latéraux incluent des montagnes lointaines et des paysages en arrière-plan, ce qui vous donne un plus grand sentiment de profondeur.
Interactions : Sur le bord de la route les filles pourront interagir avec des objets. Les objets avec lesquels vous pouvez interagir sont notés à l’écran avec un « ? » et les objets que vous pouvez utiliser avec un « ! ».
Les objets : Il faudra récupérer certains objets pour pouvoir avancer dans l’histoire.
Les charmes : Lorsque que vous progressez dans l’histoire vous aller obtenir des « charmes ». Équipez un charme vous donnera différents bonus, tel que courir plus vite ou vous donnez plus d’endurance.
Ce Yomawari: Midnight Shadows semble bien plus complet que le premier opus qui m’avait déjà fait forte impression. C’est avec hâte que j’attends ce nouveau titre. Qui, malgré une reprise des environnements du premier à bénéficié de, quand même, pas mal d’ajouts, notamment au niveau des esprits.
Certains des esprits
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Esprit de bébé
Esprit haineux
Esprit Kotowari
Bien que la version Limited Edition ait disparu du Store NIS Europe mais qu’elle soit toujours disponible aux USA, nous n’avons pas d’informations claires sur la sortie physique ou non du jeu sur la PS Vita.
Sinon, il faudra passer par la case de l’import encore une fois…
Contenu de l'édition limitée
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Je vous laisse avec le trailer japonais en attendant les trailers Européens ou Américains !
Cet été a été l’occasion pour l’équipe de Pixel Adventurers de se faire un weekend entre nous, vous n’en saurez rien, la loi n’a pas encore décidé de la légalité de la plupart des activités qui s’y sont déroulées… Néanmoins je peux vous dire que nous avons pu faire une partie de Unlock!
Quécécé qu’Unlock! ?
C’est un jeu de société édité par Space Cowboys avec pour créateurs Cyril Demaegd, Alice Caroll et Thomas Cauët qui simule les aventures que vous pourriez vivre lors d’un escape game avec des amis, vainqueur de l’as d’or d’or 2017.
Le jeu est prévu de 2 à 6 joueurs mais rien ne vous empêche d’y jouer à plus.
« -Mais dis moi Jamy, comment fait-on pour simuler une escape game dans son salon?
-C’est très simple Fred, il faut simplement suivre les instructions très simples de la boite! »
En effet, un tutoriel très bien pensé vous dispense de toute lecture des règles, il suffit de suivre les instructions et d’apprécier le jeu.
Pour vous donner les grandes lignes, ce jeu ressemble à un livre dont vous êtes le héros, vous posez les cartes symbolisant la pièce où vous vous trouvez puis vous tirez les cartes dont les numéros sont indiquées sur la carte.
A vous maintenant de combiner les cartes pour avancer de l’aventure.
Le contenu de la boîte à mystère :
La boîte de base contient trois aventures :
La formule : Entrez (et sortez) dans un laboratoire secret pour récupérer un mystérieux sérum élaboré par un scientifique.
Squeek & Sausage : Déjouez les plans de l’infâme professeur Noside.
L’île du docteur Goorse : Échoué sur une île pleines d’antiquités, arriveriez-vous à vous en échapper ?
Ces trois aventures aux ambiances complètement différentes sauront vous retourner les neurones, les énigmes peuvent être vraiment complexes et demanderont que tous les joueurs mettent leurs intelligences en commun pour les résoudre.
Pour résoudre ces énigmes, une application gratuite et indispensable est téléchargeable sur l’App Store et sur Google Play, vous y trouverez un chronomètre d’une heure, un onglet « Machines » qui permet d’avoir des interactions avec les énigmes du jeu, un autre s’appelant « Codes » permet de rentrer les solutions que vous trouverez et ainsi progresser dans les histoires.
A chaque erreur, une pénalité réduit le temps dont vous disposez pour résoudre l’aventure.
Certaines énigmes sont vraiment marquantes et nuiront à la rejouabilité du jeu même s’il est toujours possible de les refaire pour améliorer le score donné par l’application en fin d’aventure.
Malgré tout, pour une trentaine d’euros, l’expérience vaut vraiment le coup, l’ambiance est excellente et vous fera réfléchir tout en vous amusant.
Si après avoir fini ces 3 aventures, vous souhaitez prolonger le plaisir, une deuxième boîte est sortie cet été et une troisième sera disponible cet hivers, chacune indépendante et pouvant être jouée dans n’importe quelle ordre.
Néanmoins si vous doutez toujours, l’éditeur a prévu deux mini aventures gratuites pour vous convaincre, vous les trouverez sur ce lien et avec l’aide de l’application vous pourrez vous faire votre propre idée.
Faites nous des retours si vous avez pu essayer le jeu mais surtout pas de spoil !
N’oubliez pas que vous pouvez disposer de 5€ de réduction chez Philibert en rentrant l’adresse : contact@pixeladventurers.com en parrain.
La Récap de la Rédac
Nombre de joueurs
2 à 6 enfermés
Age conseillé
à partir de 10 ans
Durée d’une partie
Environ 60 minutes par scénario
Auteurs
Cyril Demaegd, Alice Carroll, Thomas Cauet
Illustrateurs
Pierre Santamaria, Legruth, Florian de Gesincourt, Arnaud Demaegd
Les liens dans le tableau récap sont affiliés chez Philibert.net, Playin, Parkage et Ludum. En passant par eux pour vos achats, vous pourrez soutenir le site, en nous permettant d’acheter de nouveaux jeux. Merci à ceux qui le feront !
God Wars : Future Past est un tactical RPG développé par Kadokawa Games qui nous plonge dans une des histoire fondatrice du Japon où 3 Nations prospèrent : Fuji, Hyuga et Izumo.
Mais comme toute histoire humaine, la paix n’est jamais éternelle, les gens se lancent dans des guerres de territoires, ce qui finira pas énerver les Dieux, ceux-ci provoquant des catastrophes naturelles à répétitions…
Pour apaiser les Dieux, la Reine de Fuji, Tsukuyomi sacrifie sa fille, Sakuya au Dieu du volcan et pour anticiper toute nouvelle colère des Dieux, elle enferme sa seconde fille Kaguya dans une prison de bambous, grosse ambiance pendant les dîners de famille… Cette dernière restera 13 ans enfermée avant que profitant d’une émeute, Kintaro la délivre pour lui éviter son tragique destin.
Une fois le scénario posé, vous prenez les commandes de Kintaro et des nombreux compagnons dans cette quête qui vous emmèneront au travers du Japon, la direction artistique très manga avec ses personnages, ses cinématiques (non sous-titrées en anglais… >.<) et ses scénettes façon VN vous portera avec plaisir tout au long de l’histoire, les phases de dialogue ne sont jamais longues, c’est un jeu de RPG tactique et ça se sent dans le rythme du jeu!
C’est le coeur du jeu, les phases de combats sont un exemple de traditionalisme : une zone de jeu quadrillée, des conditions qui influent sur les dégâts (relief de la carte, affinités élémentaires, placement des personnages, …), des classes de personnages, gros morceau du jeu, à ceux qui aiment optimiser les personnages en les spécialisant, vous allez vous faire plaisir!
Il est possible d’avoir 3 classes par personnage en même temps, une qui est unique à chaque personnage, une secondaire qui permet d’en apprendre les sorts et une principale qui détermine de quels objets le personnage peut s’équiper et dans quelle direction l’évolution du personnage va se diriger.
Les sorts possèdent eux aussi des niveaux, plus vous les utiliserez, plus ils deviendront puissant, avec pour contrepartie, le fait de devenir plus chers à l’utilisation.
Le gameplay de God Wars a de petites originalités qui approfondissent le gameplay tactique :
– Un double niveau d’altération : Quand vous infligez un sort de ralentissement à un ennemi qui est déjà sous l’emprise du sort Slow, cet ennemi se verra complètement immobilisé ; même chose avec le sort de Poison qui, quand il est doublé, augmente les dégâts qu’il infligera à chaque tour.
– La jauge de mana, au contraire des RPG traditionnels où la barre de mana est remplie en début de combat et s’épuise au fil des sorts lancés, celle de God Wars commence vide et se remplie à chaque tour, évitant que les combats commencent par un déferlement de pouvoirs dans tous les sens.
– Le niveau d’impureté, c’est un chiffre qui augmente ou diminue selon vos actions, votre personnage avec le plus haut niveau d’impureté sera la cible prioritaire des ennemis, des sorts spéciaux comme « taunt » permettent d’augmenter ce chiffre et de concentrer l’attaque des ennemis sur un de vos personnage tank. Au contraire, certains sorts des soigneurs permettent de baisser ce chiffre et donc de « dissimuler » vos unités les plus fragiles.
Ces originalités font de God Wars un excellent Tactical RPG, pour ce qui est de la durée de vie et de la difficulté, la première est conséquente, surtout pour les complétistes, en ce qui concerne la difficulté, elle est adaptable : 3 niveaux de difficulté, une possibilité de faire du combat automatique grâce à la possibilité d’attribuer des rôles à chaque unité ainsi qu’une option pour optimiser automatiquement les équipements, selon le rôle que l’on veut donner au personnage, feront de ce tactical, une bonne porte d’entrée pour tous ceux qui veulent s’essayer au genre.
Pour finir, ça vaut quoi ?
God Wars, c’est un bon tactical RPG si on aime le genre et qu’on n’est pas trop regardant sur l’ambiance musicale et des animations en combat, le scénario est moins présent que dans les autres jeux du même genre, mais ça n’enlève rien à son intérêt.
Si l’anglais ne vous rebute pas, laissez vous porter par ce RPG à l’ambiance si charmante.
Bandai Namco Asie vient tout juste d’annoncer la sortie cet hiver de Girls und Panzer Dream Tank Match sur PS4. Mais ce qui nous intéresse dans cette sortie c’est surtout la présence de plusieurs langues dans la version asiatique dont l’anglais !
Girls und Panzer Dream Tank Match est un jeu où des jeunes filles s’affrontent dans des combats à coup de tanks un peu comme dans World of Tanks. Le jeu aura un mode online pour jouer avec ses amis. Je vous invite à regarder l’animé Girls und Panzer qui est très sympa, il y a même bientôt un film !
Synopsis : Dans un monde uchronique, les lycées de jeunes filles se trouvent sur d’immenses villes-navires, isolés des terres et ne s’amarrant que rarement au continent.
La jeune Miho Nishizumi souhaite échapper à une tradition familiale qui lui déplait, l’art du tank (panzerfahren) dont sa mère et sa sœur sont des championnes reconnues avec un style propre, ainsi qu’elle-même jusqu’à un tragique accident l’année précédente. Sous la pression de ses 2 nouvelles amies et du conseil des étudiantes, elle se replonge dans cet univers palpitant et avec quelques camarades, elles restaurent quelques vieux chars d’assaut et se lancent dans une compétition internationale dont l’enjeu va bien au-delà de leurs attentes…
Le jeu devrait sortir cet hiver alors préparer vos chenilles, lustrez vos canons ça va panzerfahren !
« J’ai un colis énorme pour toi ! » c’est par ces quelques mots que mon voisin m’a fait sauter de joie ! Pourquoi ? Parce que je recevais enfin ma PS4 Dragon Quest Roto Edition ! La console qu’il me fallait pour :
1. avoir une PS4, enfin, et slim en plus !
2. aller avec ma PS Vita Dragon Quest Builder qui elle aussi a un slime !
Dragon Quest XI est sorti le 29 juillet 2017 au Japon à la fois sur PS4 et 3DS. Il ne fait aucun doute que le jeu arrivera également chez nous. Mais la PlayStation 4 collector ne sera sûrement pas de la partie, c’est pour cela que je l’ai directement importée ! Heureusement elle était vraiment bien protégée, je n’ai aucun accroc sur la boîte merci Fedex !
Une fois la neige et les 3 mètres de papier bulle enlevés, on découvre une boîte comme les japonais savent tellement bien les faire ! Non sans déconner les collectors japonais sont ultra impressionnants, c’est toujours une expérience. La boîte est belle et a de petits slimes découpés, trop choux (●♡∀♡) !
Boite extérieur
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Surprise ! La boite est en faite une mimic !
Ne faite pas attention au tapis moche dans le fond
À l’intérieur on retrouve une boîte blanche classique de PS4 qui contient la PS4 Slim, une manette, tous les câbles et le jeu Dragon Quest XI.
PS4 Dragon Quest Roto Edition
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Comme vous pouvez le voir ma PS4 a deux couleurs un bleu nuit brillant sur le haut et un bleu mat sur le bas. Elle a sur la façade le logo de Dragon Quest XI et un slime juste en dessous du port USB. Ah mais j’oubliais, il y a aussi le petit Slime a clipser sur la console comme sur la PS4 classique Slime édition ou la PS Vita Dragon Quest. N’est-ce pas mignon?!
Petit défaut le thème du jeu est statique mais reprend la musique de celui-ci.
C’est par le biais de Rice Digital que l’annonce est tombée, Chaos Child aura le droit à une édition collector, plutôt bien garnie, en Europe et en Amérique du Nord. Cette édition limitée exclusive à Rice Digital est baptisée « Gigalomaniac » sera disponible avant la fin de l’année.
Chaos Child est un visual novel s’intégrant dans la série des « Science Adventure », aux côtés des Stein’s Gate. L’histoire se déroule à Tokyo, dans le quartier de Shibuya, plusieurs années après un tremblement de terre qui a pratiquement détruit le quartier. L’histoire est articulée autour de Takuru Miyashiro, un étudiant à l’Université, qui a perdu ses parents dans le tremblement de terre, et de son groupe d’amis. Une étrange série de meurtres s’abat sur Shibuya, Takuru remarque que les dates des meurtres correspond avec une précédente série d’homicides ayant eu lieu six années auparavant. Avec ses amis ils se lancent dans l’enquête.
L’édition collector sera composée de :
Une boîte de rangement
Le jeu en version PS4 ou PS Vita
Un artbook de 128 pages
Un CD avec une sélection de morceaux issus de l’OST du jeu
Un set de 6 badges à l’effigie des personnages principaux du jeu.
Chaos Child sera disponible à la fin de l’année pour PS4 et PS Vita, mais vous pouvez dès à présent précommander l’édition collector Gigalomaniac sur le site de Rice Digital, mais il est également disponible en édition simple sur les deux supports.
Les consoles Playstation Vita et TV collector
Retrouvez ici l'ensemble des Playstation Vita et TV collector disponibles dans le monde. Nous avons essayé de vous...