NIS America dévoile aujourd’hui de nouveaux screenshots de son jeu Cladun Returns: This is Sengoku!,RPG orienté action au style 8 bits. Venez rencontrer des héros populaires de la période Sengoku japonaise et aidez les âmes des défunts à trouver la paix dans l’au-delà…
Cladun Returns: This is Sengoku! sera disponible le 6 juin en Amérique du Nord et le 9 juin 2017 en Europe sur PlayStation 4 et PS Vita en version numérique !
L’histoire : Le jeu se déroule pendant la période Sengoku japonaise, et le joueur se réveille dans la terre mystérieuse d’Arcanus Cella, où les âmes des morts se rassemblent en attendant la réincarnation. Malheureusement, certaines âmes sont perturbées de n’avoir pas accompli quelque chose de leur vivant et elles ne peuvent pas se réincarner. Le joueur va aider ces âmes en se rendant en différents lieux du Japon et en explorant de dangereux donjons remplis de monstres et de pièges.
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Caractéristiques :
Personnalisation au pixel près – Vous créez l’apparence de votre personnage et de son équipement au pixel près ! Et quand vous aurez terminé, vous pourrez partager ces données avec d’autres joueurs pour qu’ils ajoutent vos personnages dans leur propre jeu !
Cercle magique – Grâce au système de Cercle magique, vos alliés peuvent rendre votre personnage plus puissant ou le protéger ! Associez des reliques et organisez-les en formation pour renforcer votre puissance et vos capacités.
Multijoueur délirant – Jouez en mode Coop avec vos amis pour explorer les donjons ou affrontez-les en mode Versus ! Essayez de vous placer dans les classements mondiaux en terminant les donjons le plus vite possible !
The Jane Doe Identity sortira le 21 mai dans les salles françaises mais il est déjà disponible à l’étranger: c’est comme ça que j’ai pu le voir en avance.
Synopsis :
Lorsque la police du coin apporte le corps d’une jeune femme retrouvée enterrée, Tommy Tilden et son fils, médecins-légistes, réalisent la procédure d’autopsie habituelle. Mais très vite ils se rendent compte que celle-ci n’a rien à voir avec ce qu’ils ont déjà vu…
Tommy venant de perdre sa femme 2 ans plus tôt, son fils est devenu son assistant lors des autopsies pour ne pas laisser son père tout seul. Alors que celui-ci souhaite partir avec sa copine en rendez-vous galant, il reste avec lui faire l’autopsie qui est urgente et demande à celle-ci de repasser à 23h pour aller au cinéma.
Attention Spoiler
Le film se présente comme un huit-clos entre un corps, deux médecins-légistes qui sont père et fils, bloqués lors d’une tempête. Le scénario est un tantinet trop simpliste: on se rend bien vite compte que quelque chose cloche sur et dans les corps alors que les deux légistes essaient de garder un esprit scientifique. Mais c’est loupé, l’esprit scientifique qui aurait pu faire une bonne plus value au film est gâché par l’utilisation d’un Polaroïd (oui oui…) sûrement pour donner un look rétro et des plans de microscope ou d’autopsie pas vraiment convainquants. Cependant le « corps » est très bien fait et les viscères, poumons et autres organes sont pas trop mal, même si le cerveau est complètement loupé…
Pourquoi le film ne prend pas?
Le problème principal du film est qu’on ne comprend pas pourquoi le fils et le père ont une telle relation. Ils n’ont pas de background suffisamment développé pour qu’on s’attache à eux. Ne parlons même pas de la relation entre le fils et sa copine qui n’est là que pour avoir une femme vivante dans le film.
Un film d’horreur qui ne fait pas dans l’horreur habituelle et qui essaie quelques idées sans aller assez loin. Voilà le principal souci du film: il part sur une bonne idée un huit-clos, une autopsie, mais n’est en rien horrifique… Il ne fait juste pas peur. L’ambiance met longtemps à se mettre en place pour retomber dans des moments de calme où clairement le film m’a perdu. Les moments qui sont censés faire peur sont loupés : l’ombre dans la douche ou au coin de couloir ne servent juste à rien.
Ne parlons même pas du fait qu’on s’attend mais gros comme une maison à ce que la petite amie se fasse tuer. Mais là aucune réaction des protagonistes, c’est à peine si le père dit pardon à son fils pour avoir tué sa copine. Le fils lui ne pleure même pas ou ne perd pas la raison, on est à la limite du « oh c’est pas grave… »
Vraiment? Non mais vraiment?!
Comme on le devine très vite le corps retrouvé est celui d’une sorcière, qui en fait n’est pas vraiment morte mais maintenue en vie par une force mystique. Outre le fait qu’il s’agit encore d’une sorcière de Salem, putain les américains vous avez que ca comme mythe, alors que le film est tourné en Angleterre… On découvre à la fin qu’il ne s’agit pas d’une sorcière mais d’une pauvre fille qui a subi un rituel destiné aux sorcières la transformant en corps vengeur/sorcière ? ┐(゚~゚)┌
Franchement ils n’avaient pas mieux ? Je m’attendais à quelque chose de mieux merde on a eu The Thing et Saw… Bien que le film essaie de rompre avec le code en plaçant l’histoire dans une morgue qui n’est pas lugubre ou froide pour déstabiliser le spectateur alors qu’il va se passer des évènements surnaturels. Mais c’est du surnaturel d’enfant de 10ans ! Merde de la fumée, une ouverture dans une porte à la Shinning et une ombre en 2017… Rien n’est angoissant et ne fait vraiment flipper ou va vous perturber.
Les seuls vrai bons points
C’est l’autopsie en elle même: on s’y croit vraiment. Chapeau au prothésiste et à l’actrice qui semble vraiment morte. C’est vraiment un travail minutieux et vraiment beau, après je déconseille ce film à quelqu’un ayant l’habitude de faire de dissection ou encore qui a vu des tranches anatomique ou autres, ça en perd tout le coté spectaculaire.
Toute la partie ambiance qui se met en place où on sombre peu à peu dans quelque chose d’anormal avec les personnages. C’est quelque chose qui manque vraiment avec les films d’horreur et que je n’avais plus vu depuis Saw 1 (le seul bon film de la série).
The Jane Doe Identity doit-on le voir? Oui ou non.
Malheureusement pour moi c’est un non, bien que le film ait eu le prix du Jury jeune Fantastic’Arts – Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2017. Le film est vraiment loin du bon Thriller d’horreur. Le film est trop mou, les personnages ne sont pas attachants, l’histoire est du vu et revu, même la fin est prévisible. Ne payez donc pas 7-10e pour voir ce film là allez plutôt voir un classique chez vous en VOD, il y en a des très bons.
2 ans après l’épisode qui a inauguré la série, Bullet Girls revient dans Bullet Girls 2! D3 Publisher, des experts japonais dans les jeux ecchi, revient sur le devant de la scène avec le jeu qui a lancé « la dégradation des vêtements » et qui contient un dressing de sous-vêtements digne du catalogue Etam 2016. On reprend une formule qui marche, on l’améliore et on la rend plus dure…
Dans cet épisode 2 vous suivez toujours les filles du Ranger Club, mais cette fois votre club se fait attaquer par des filles d’une autre école. Vous allez donc devoir prouver avec vos camarades du club que vous êtes les meilleures mais ce n’est pas la seule menace qui pèse !
Une histoire culotté ?
L’histoire n’est que secondaire dans la série bullet girls. En effet, si vous êtes là c’est que vous aimez voir des jeunes filles en petite tenue et pousser des cris qui vous donneront le droit à un tour au poste de police si vous jouez dans le métro sans écouteurs.
L’histoire commence lorsqu’Aya rencontre deux filles mystérieuses lors d’une mission. Elles l’informent qu’il y aura une simulation de guerre entre les académies privées Elda et Misakimori. L’histoire est plus fournie, plus intéressante et surtout beaucoup plus drôle que précédemment, même si le niveau d’écriture ne casse pas 3 pattes à un canard… Il faut l’avouer que l’histoire est soutenue par les rebondissements des poitrines ainsi que du touch pad qui permet de… bon ben vous avez compris!
On prend les mêmes en mieux
D3 Publisher a amélioré sur beaucoup aspects leur nouveau jeu, tant dans les graphismes qui sont plus fins (c’est une impression le moteur graphique étant le même que dans le 1) et des maps ainsi que des textures qui ne se répètent plus comme dans le premier jeu qui n’avait que 5 ou 6 maps. La caméra peut maintenant être placée plus proche ou plus loin, à droite ou gauche du personnage et en vue de face. Cette flexibilité est vraiment utile en jeu et permet d’optimiser votre manière de jouer, surtout pour les gauchers.
La bibliothèque de sous-vêtement est plus grande ainsi que celle des armes avec l’apparition des fusils mitrailleurs, des fusils à lunettes et certaines armes customs. Maintenant les sous-vêtements n’ont plus chacun une caractéristique (comme précédemment) mais un certain nombre de slots que vous pouvez remplir avec des améliorations pour telle ou telle arme, que ce soit la vitesse de rechargement, les dommages, la distances de tir ou encore augmenter les attaques au corps-à-corps.
Le gameplay est fortement changé avec l’ajout du recul des armes qui ne permet plus de faire des headshots sans fin pour finir la mission le plus rapidement possible. De plus, les ennemis ainsi que les véhicules sont beaucoup plus nombreux et agressifs.
Ce qui peut rendre certaines missions très difficiles. Comme par exemple, une mission qui débute avec une attaque d’hélicoptère, suivie de celle d’une armée de filles à abattre puis c’est au tour des tourelles de bateau. Ensuite snipers vous prennent pour cible, puis de nouvelles attaques d’hélicoptère et d’une tourelle, pour enfin arriver sur le boss! En gros, cette fois-ci vous allez apprendre à utiliser les packs de soin et les nouvelles capacités. Car oui, il y a aussi de nouvelles capacités que vous activez avec +. Celles-ci sont spécifiques pour chaque fille, allant de la récupération de points de vie par Aya, Yurina qui installe des mines cachées dans la verdure, Jerry qui donne des coups dévastateurs au corps-à-corps etc…
La nouvelle possibilité d’envoyer les ennemis en l’air et de leur tirer dessus alors qu’ils sont encore en vol est fortement jouissive, je ne vous parle même pas du « Pantsu touch » qui vous permettra de perturber vos ennemis et votre personnage…
Des nouveaux personnages
Ran Saejima est rentrée dans le Ranger Club pour combler le vide laissé par une étudiante transférée d’école. C’est une fille vraiment talentueuse avec les armes, d’où son surnom « God-sent Talent », le terme labeur n’ayant aucune signification pour elle.
Elle n’a aucun esprit d’équipe et se moque des faibles. De plus, elle n’a aucune ambition, l’une des raisons pour lesquelles son niveau n’a pas augmenté dans l’école. Du côté officiel, l’école la laisse agir à sa guise car ils ont besoin d’elle mais cela déplaît les célébrités de l’école.
Si elle est sérieuse, elle pourrait bien secouer les fondations du Ranger Club Misakimori.
Jeri Nuage est une étudiante Erasmus française d’une famille aristocratique. Réalisant son talent caché en tant que Bullet Girls , Elda a retardé sa remise de diplôme, sa naturalisation japonaise et a prévu de l’élever comme une générale « d’auto- défense» .
Pour Jeri, ce n’est pas important . Elle est tout simplement amoureuse de la sous-culture japonaise (manga , anime, SFX , figures, jeux , etc.), et y accorde tout son temps, au point que son argent de poche commence à être à sec …
On dit que lors de cette prochaine guerre simulée , il peut y avoir une sacré bataille entre elle et Amamine Saki de Misakimori !
Rouyama Miu était le support pour les « Four Bullets » de l’académie Misakimori lorsqu’elle était junior. En raison d’une certaine erreur lors du passage du collège au lycée , elle a fini à Elda. Elle ne montre jamais ses sentiments, il est donc difficile de cerner ce qu’elle pense. A cause de cela, le rugissement de sa bien-aimée gatling gun est encore plus terrifiant …
Son aptitude comme Bullet Girls a toujours été élevée, on dit que si elle ne l’avait jamais transféré, il y aurait «Five Bullets » à Misakimori plutôt que les quatre actuellement. À cause de cela , elle connaît les points faibles des Four Bullets plus que quiconque dans le pays .
Et maintenant, elle leur fait face…
Les jumelles Kasumi et Kirino Konoe. Kasumi est une fille timide qui aime manger des poissons, alors que Kirino est méchante qui aime manger de la viande. Alors qu’une dispose d’une grande poitrine et l’autre d’une petite, elles ont également une façon complètement différente de combattre, la première étant très précise avec son sniper alors que la seconde frappe plus large avec son bazooka préféré qu’elle a customisé.
Chiharu Kousaka est sous-chef de l’académie privée Elda. Elle était l’impératrice dans la formation à l’interrogation dont elle en savoure chaque instant . Elle était amie avec Aki et Mai, elles ont combattu ensemble à travers le monde en tant que représentantes du Japon, et maintenant elle veut sa revanche pour une raison bien précise…
Il y a également un nouveau personnage dont on ne sait rien à part son apparence, elle porte un masque tout droit tiré de Gundam, je vous laisse la surprise! Il y a également les personnages qui étaient présents dans le premier opus, non-jouables mais qui le sont maintenant! On peut enfin faire souffrir la commandante qui ne criait toujours dessus, c’est un juste retour de manivelle.
Mais le fan-service qu’en est-il ?
Voilà si Bullet Girls vous intéresse, c’est pour le fan service et celui-ci est là, bien plus présent que dans le premier opus. La garde-« robe » des filles est bien plus grande, avec toutes les couleurs et formes. Beaucoup étaient déjà présents dans le premier opus sauf que maintenant vous pouvez laisser la lingerie qui vous plait le plus sur votre Waifu comme expliqué plus haut. Les séances d’interrogatoire sont devenues un poil plus compliquées, mais il y a beaucoup de nouveaux accessoires, en passant par le plumeau à chat, pistolet à d’eau ou même du lait…
Les interrogatoires peuvent se faire seuls ou avec deux personnages et il y a même un mode pour « subir » l’interrogatoire dont vous ne serez que spectateur !
Il y a beaucoup plus de fan-service dans Bullet Girls 2 que dans les Senran Kagura et ça de base, car en DLCs vous allez pouvoir trouver de la lingerie ou des costumes géants! Il y a en effet pour le moment 4 batchs de DLC, tous avec des nouveaux sous-vêtements ou des costumes comme infirmière, motarde, en ruban ou tirer de licence tel EDF ou Onechanbara. Les DLCs contrairement à Senran Kagura ne sont pas si chers, oscillants de 150 à 350 yens (soit 1 à 2euro) avec souvent plusieurs couleurs dans le même DLC.
C’est un bon jeu?
Je dirais oui! Bullet Girls 1 ou 2 sont de bons jeux TPS. En comparaison, Bullet Girls 1 fait pauvre maintenant à côté du 2 qui a beaucoup plus de maps, missions, personnages… bref, de contenu. C’est un jeu qui rigole des codes du genre sans se prendre la tête, il connait sa place de fan-service et l’assume complètement. Faut-il le prendre si vous n’aimez pas le fan-service ? La réponse est non, aller plutôt voir du côté de EDF ou STF Ultra qui sont de bons jeux de tir. Mais si vous êtes un fan de petites culottes, si vous rentrez dans le délire Senran Kagura, GalGun, Moero Chronicle, c’est le jeu qu’il vous faut!
Il faut cependant dire que la courbe de difficulté du jeu est en dents de scie et vous allez devoir parfois devoir farmer un certain nombre de missions pour obtenir assez d’argent pour vous payez les armes supérieures. Il en va de même pour débloquer les trophées pour lesquels vous devez au moins obtenir un rank S voir triple-S pour débloquer la coupe. Il aurait de plus pu faire une interface plus accueillante que le simple L1 shop et R1 inventaire des personnages, mais en dehors de ces détails le jeu reste agréable et addictif jusqu’au platine !
Trillion : God of Destruction est un RPG tactique exclusivement sorti sur la PS Vita où vous allez apprendre à souffrir et mourir…
Trillion se passe dans un univers mixant Disgaea et Mugen Souls, normal car on y retrouve des anciens de Nippon Ichi Software, le directeur Masahiro Yamamoto ainsi que le compositeur Tenpei Sato. Ils sont accompagnés de Kei Nanameda aux illustrations. Ce qui fait qu’on y trouve une similitude graphique avec l’univers Disgaea. Cependant, cette histoire là est remplie de tristesse et de frustration, bienvenue dans le Dark Soul tactique de la Playstation Vita.
Dans quoi s’embarque-t-on ? Dans cet univers il existe trois mondes: celui des cieux dirigé bien sûr par les dieux, celui des humains dirigé par les gens de la liste des Panama Paper, et celui qui nous intéresse: le Netherworld. C’est un gros bordel au Netherworld, depuis qu’un monstre prénommé Trillion est en train de faire son chemin jusqu’aux portes des enfers. Zeabolos a laissé son frère s’occuper du problème, mais comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, il y va aussi mais se fait également botter les fesses.
Heureusement que la compétente nécromancienne Faust était dans les parages pour ramener Zeabolos à la vie. Elle est loyale cette jeune fille… ou pas vraiment car celle-ci en échange de cette « vie », plutôt un rafistolage pour vaincre Trillion, veut l’esprit de celui-ci une fois la quête accomplie.
Avec l’aide des Overlords, Zeabolos va essayer (oui, oui, essayer…) de vaincre Trillion. Ses Overlords sont toutes des jolies jeunes filles dont le chara-design est plus que sympathique, il faut l’avouer. Elles représentent groso-modo les pêchés capitaux et ont une personnalité liée à celui-ci. Par exemple :
Luche est l’orgueil qui rabroue non-stop Zeabolos.
Levia est l’envie qui va être mère-poule.
Phegor est la paresse, imprévisible et capricieuse.
De plus vous pouvez leur offrir des cadeaux ou passer du temps avec elles pour augmenter leur puissance mais aussi connaitre un peu plus l’histoire de chacune. Ce qui augmente l’attachement envers les filles. Il faut le dire on s’y attache très vite à ces jeunes filles et c’est là que ça fait mal…
Car vous allez devoir envoyer une à une, une Overlord pour aller combattre Trillion car Faust qui est radine et pas arrangeante ne possède qu’un seul bracelet qui résiste au miasme de Trillion d’où le comment du pourquoi vous n’y allez pas tous ensemble… Ce qui serait beaucoup plus simple pour faire tomber le billion de point de vie que possède Trillion.
Vous allez devoir combattre ce géant pour lui enlever le maximum de points de vie avec votre Overlord, tel un termite solitaire qui ronge une maison. Il est possible d’affronter Trillion 3 fois, mais chaque fois le temps entre les sessions se raccourcit, et pendant ce temps Trillion grignote le royaume. Les combats comme tout bon T-RPG se passent sur une grille où Trillion fait 2 choses: attaquer ou avancer.
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Le combat se finit quand votre personnage meurt ou bat en retraite, ou lorsque Trillion arrive à la ligne de défense, à cet endroit soit votre personnage résiste soit il meurt. Au bout de 3 combats contre le même Overlord Trillion répand un miasmes qui tue directement votre héroïne…
De plus, Trillion change de forme à certain palier de PV, le rendant beaucoup plus dangereux, comme Freezer dans Dragon Ball Z. Il faut donc s’adapter vite pour ne pas mourir et réapprendre tous les nouveaux coups !
Avec ce subterfuge, vous n’avez pas le combat ennuyeux du mec avec sa cuillère contre un château fort. Ah et oubliez les angles morts que vous pouviez trouver au début du jeu…
Lorsqu’une fille meurt elle va activer ses Death Skills qui sont :
Infliger de gros dégâts à Trillion
Revivre en fantôme avec la prochaine Overlord
Améliorer l’arme de la prochaine Overlord
Forcer Trillion à hiberner
Sceller un des membres de Trillion.
Sceller un membre est pour moi souvent la solution pour faciliter les combats suivants et vu que l’anneau est à chaque fois un peu amélioré l’Overlord suivante est toujours plus forte!
C’est là que commence l’hécatombe : vos overlords meurent les un après les autres dans des scènes épiques de mort emplies de tristesse. Même s’il y a quelque moment très drôle le ton du jeu reste grave et vous fait comprendre que vous n’y arriverez pas du premier coup.
Le jeu est vraiment prévu pour que vous réussissiez enfin en new game + voir ++. Si ce n’était que cela, le jeu souffre d’une courbe de difficulté mal traitée avec une montée en flèche à la fin lorsque Trillion a sa dernière forme, vraiment Krillin en a moins chié contre Freezer que moi contre Trillion à la fin. Sans parler des soucis dans le gameplay et de random qui gâchent un peu le jeu, accompagné de l’aspect graphique des cartes qui n’est pas digne d’une console de plus de 4 ans…
Par contre gros up pour la bande son que je trouve forte sympathique, qui crée à elle seule l’atmosphère du jeu avec des thèmes reprenant vraiment bien les « enfers » sans être religieux.
Minecraft est un jeu qui peut vous permettre d’exprimer votre créativité, sauf que certain vont plus loin… beaucoup plus loin…
Mr. Squishy, le créateur de 23ans, vient de recrée entièrement Pokemon Rouge dans Minecraft. En utilisant uniquement une version Vannilla de Minecraft ce qui veut dire qu’il n’a utilisé aucun mode. Quand je dis recréer, ce n’est pas en 3D et vous vous baladez dans le monde de pokémon. Non il a refait le JEU! Il a refait le code du jeu en entier! N’utilisant que des blocks de commande et les packs de ressources! Il lui a fallu 21mois pour achever cette oeuvre! Il a même conservé les bugs de la version originale de Pokémon tel que MissingNo/’M et la duplication d’objets!
Du à des soucis de syncho, il n’y a malheureusement pas de son… mais OMG c’est tellement énorme un jeu codé en 2D qui contient un jeu codé en 3D.
Hatsune Miku: Project DIVA X est le troisième jeu de la license Project Diva de SEGA. Comme ses deux petits frères, Project Diva X est un jeu de rythme avec comme héroïne principale Hatsune Miku.
Hatsune Miku est une diva virtuelle japonaise née en 2007 qui fait de la musique Vocaloide, c’est-à-dire qu’il n’y a aucun chanteur ni instrument, l’ensemble de la musique étant créée par ordinateur. Vous trouvez ça bizarre hein? Mais cela permet à beaucoup de gens qui aiment la musique mais n’ont pas les talents vocaux ou instrumentaux de créer via le programme Vocaloid.
Revenons-en au jeu, les jeux Project Diva sont des jeux donc musicaux de rythme, où vous allez devoir appuyer en rythme sur les bonnes touches pour augmenter votre score. C’est un principe simple mais qui marche car nous sommes au 3ème jeu de la licence sorti sur PS Vita et il y en a une bonne dizaine d’autre jeu du genre sur la petite portable. Les musiques sont toutes en Japonais et bonne nouvelle pour nous, occidentaux, elles sont toutes sous-titrées en anglais ! Ce qui est très sympa et un bon point pour ce Project Diva…
Petite précision : ce test a été possible grâce à nos amis de LatestVitaGamesavec tout les DLCs pour vous donner un avis poussé.
Dans Project Diva X vous allez avoir 2 grandes sections : 1 avec la ré-édition des anciens titres de la licence qui est le mode « Free Play » et un nouveau mode le « Live Quest ». Mais tout d’abord parlons de la musique!
Les Project Diva se targuent d’avoir une excellente compilation que ce soit dans les thèmes , tempos et styles. Il y en a pour tous les goûts mais comme toutes les musiques sont de type Vocaloid, je vous conseille d’en écouter quelques-une avant de foncer sur le titre. Vous allez avoir des chorégraphies classiques vues et revues mais d’autre complètement folles et vraiment excellentes! Il n’y aura cependant qu’une trentaine de titres, ce qui est vraiment faible comparé à Project Diva Future Tone qui en affiche plus de 200! Cependant, contrairement à Project Diva Future Tone, ces musiques ne sont pas un simple portage de bornes d’arcade : Sega a donc vraiment bosser dessus et créer vraiment quelque chose de neuf.
Le Mode Free Play :
Le mode Free play permet de jouer n’importe quelle musique que vous avez débloqué dans le mode « Live Quest ». Vous allez pouvoir personnaliser votre héros ou héroïnes Vocaloid avec différents accessoires ou tenues qui auront chacun des effets comme, par exemple, vous permettant d’avoir plus de points ou de débloquer des objets plus rapidement. Une fois la musique lancée, vous allez devoir appuyer sur les boutons Playstation qui défilent sur l’ensemble de l’écran, ainsi qu’utiliser le stick analogique ou l’écran tactile pour valider les notes en formes étoiles. Il y a cependant un retour en arrière car les nouvelles étoiles instaurées dans Project Diva F 2nd ont disparues En effet, SEGA a jugé bon de les supprimer suite aux plaintes de certains joueurs que l’écran était trop brouillon. Cependant il y a un ajout : c’est le mode Rush qui, dans une musique, va vous obliger à rouler votre tête si la Vita.
Ah oui, petite précision : les Project Diva sont des jeux de rythme exigeants, je vous conseille donc de débuter par le mode facile si vous n’êtes pas un adepte du domaine. Car comme dans tout jeu de musique, votre rythme est jugé par différentes appréciations sur chaques notes uniquement les notes avec Good (dorée) ou Good (gris) entrent dans le scoring. Le reste, (Bad et Safe, voir Miss si vous loupez complètement la note) ne rentrent pas dans les points, voir vous renverra directement au menu si vous avez fait trop de « Miss ». Autant dire que pour réussir parfaitement une mélodie vous allez devoir écouter et apprendre la playlist. Playlist qui est quasiment inédite dans ce 3ème opus de la PS Vita. Je vous parlais de la difficulté juste avant : sachez que pour les mordus, il y a 4 niveaux de difficulté : Facile, Normal, Difficile et Extrême!
Le Mode Live Quest :
Ce nouveau mode, qu’on peut définir rapidement comme un mode histoire du jeu, où le monde de Miku est divisé en plusieurs cristaux représentants tous un univers : Classic / Cute / Cool / Elegant / Quirky / Extra.
Vous allez devoir recharger avec les amis de Miku les différents cristaux grâce au pouvoir de la… Chanson! Pour recharger ces cristaux vous allez devoir obtenir un voltage dans chaque chanson. Pour cela, il suffit de ne pas faire d’erreur et de choisir le bon équipement (les modules) jusqu’à +60% qui vous ajoutera des bonus au voltage. Vous allez devoir faire 4-5 morceaux avant de faire un morceau mix qui compile, dans la même chanson, un mix de plusieurs chansons.
Une fois les cristaux rechargés, vous allez avoir une augmentation du voltage demandé avec un niveau de difficulté supérieur. L’avantage du mode « Live Quest » est que vous pouvez finir chaque chanson sans vous faire éjecter à cause d’un trop grand nombre de « miss » et donc voir l’ensemble d’un morceau même si vous êtes une tanche comme moi. Le jeu est moins dur que Project Diva 2nd mais reste dur pour le commun des mortels. Je vous conseille d’ailleurs de calibrer votre Vita dans les menus pour gérer la latence des notes.
Attention, ce mode histoire n’est pas riche avec un scénario travaillé, c’est souvent de la discussion inintéressante qui nous apprend peu sur les protagonistes. Mais il permet de faire une très bonne introduction et faire évoluer l’habilité du joueur en augmentant peu à peu la difficulté.
Revenons-en à l’équipement, ce qu’on appelle ici les modules : ce sont les costumes des personnages qui auront chacun des bonus que ce soit pour augmenter les chances d’obtenir d’autres modules que vous allez récupérer à la fin de chaque « Chance Time », augmenter le voltage ou bonus en fonction du nombre de note exécutées sans erreur. Nous sommes donc passer d’un système de magasin qui permettait d’acheter les objets au fur et à mesure à quelque chose d’aléatoire… Ce qui est juste horrible! Vous allez avoir des objets identiques donc bon courage pour compléter les 300 modules à trouver …. Sachant que les bonus accordés par ceux-ci sont INDISPENSABLE à haut niveau :-?. Le soucis c’est qu’on ne peut plus vraiment faire la musique avec le costume qu’on souhaite juste pour avoir les bonus, ce qui fait perdre de son charme à la licence.
Les mini-modes :
Il est possible via un gros DLC gratuit d’un 1go d’avoir un éditeur de concert qui va vous permettre de gérer les effets de scène, les effets sur les spots, la lumière ainsi que les caméras. Vous pouvez ainsi crée votre propre concert et le regarde à postériori.
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Dans les précédents Project Diva, il était possible d’avoir beaucoup d’interactions différentes avec Miku dans sa chambre, maintenant elles sont complètement nazes! On ne peut que changer l’atmosphère de la chambre alors dans les précédents épisodes nous avions un univers vivant dans leur loft. Pareillement, le fait de pouvoir « caresser » Miku a complètement disparu. Il y a cependant toujours le « Friend level » mais celui-ci est complètement biaisé par la randomisation (l’aléatoire) des objets : il est donc impossible d’avoir les bons objets pour augmenter facilement votre affinité avec les personnages.
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Graphisme et temps de chargement
Niveau graphisme, c’est toujours (si mes sources sont juste) le même moteur graphique qui, il faut le dire, roxx du poney depuis le premier Project Diva. Ce qui en fait un jeu magnifique sans aucun lag, soucis de framerate ou autre ! Le jeu est juste MAGNIFIQUE sur la PS Vita! Cependant les chargements sont longs : quasiment 2 min du lancement du jeu jusqu’à arriver dans une chanson. IA/VT colorfull avait ajouté quelque chose de génial quand on mettait la Vita en veille ou sur pause : Un décompte avant que la musique ne reprenne pour vraiment vous laissez le temps de voir les notes et vous tenir prêt. Ici, rien de tout cela et je trouve ça dommage pour la « référence » en jeu musical sur PS Vita.
Verdict : Les poils qui se dressent ou non ?
Hatsune Miku Project Diva X est donc un très bon jeu qui confirme encore la qualité et l’excellence de cette licence. C’est un jeu beau, riche qui vous donne un sentiment de triomphe quand vous arrivez enfin a finir une musique en hard. Il faut aussi dire que les musiques sont simplement géniales, même si certains thèmes sont lugubres, elles vous donnent principalement la pêche et la joie de vivre.
Hatsune Miku est toujours aussi sympathique et sa liste de costumes est sans fin! On reprochera, par contre, ( et comme souvent) la présence de trop de DLC payants principalement cosmétiques et quelques musiques. Mais surtout l’absence d’une version physique en Europe contrairement au USA (bon elle fait les 1ere parties de Lady Gaga aux USA donc…)
Malgré un niveau réalisation aux petits oignons et une durée de vie conséquente qui est bien au-devant des autres jeux du genre, on sent que ce genre s’essouffle et manque de nouveautées. Je regrette, par exemple, l’absence d’un mode multi comme dans Deemo ou de la non-prise de risque pour améliorer ou changer le genre comme dans Hideboh Tap Dace Hero ou Crypt of the Necrodancer. SEGA se cantonne sur ces acquis comme souvent.
SteamWorld Heist est un jeu développé et produit par Image&Form Games, une équipe de 12 localisé en Suède. Cela vous dit quelque chose? Normal ils sont également à l’origine de SteamWorld Dig sorti sur PS Vita également. Que vaut leur nouveau jeu est-il bien ou complètement nul ? Voici notre test.
Dans ce monde qui reprend les bases de SteamWorld Dig, c’est-à-dire Steampunk/Western, la race humaine n’est plus, la Terre a explosé et seuls les robots ont survécus dans l’espace. La monnaie de ce monde? De l’eau, pour faire fonctionner les machines à vapeur. Vous incarnez la capitaine Piper Faraday, à la recherche de ressources et de travail pour maintenir son rafiot sur les vagues du cosmos. Vous allez donc avancer dans cette quête spatiale et y rencontrer d’autres robots tantôt alliés tantôt voulant vous retransformer en tas de boulons et pièces de rechange, mais ici pas de grand quête pour sauver une princesse ou sauver le monde (il a déjà explosé). Est-ce un handicap? Bien au contraire…
Le déplacement dans le monde se fait de façon linéaire par une succession de missions pour débloquer un nombre d’étoiles et ainsi débloquer d’autres missions ou des boss. Chaque mission est l’abordage d’un vaisseau ennemi. Avant de rentrer dans le navire ennemi, vous allez pouvoir choisir l’équipage qui vous accompagne ainsi que l’équipement de chaque personnage. Vous pouvez également changer la difficulté à ce moment là.
Parlons-en, de la difficulté : SteamWorld Heist est adapté à tout type de joueur, autant le nouveau joueur de 2 ans et demi qui bave encore sur la console que le hardcore gamer qui a changé déjà 3 fois de sticks ce mois-ci. Ce qui donne au titre une rejouabilité indiscutable. Autant en très facile il n’y pas vraiment besoin d’optimisation, vous pouvez juste foncer dans le tas. Autant en mode très difficile vous allez vous faire « détruire » si vous ne prenez pas les personnages qui peuvent agir en synergie, le bon équipement et les armes qui sont les plus adaptés à chaque personnage.
Mais que ce passe-t-il lorsqu’on perd?
Si votre équipage meurt entièrement : vous perdez de l’eau qui est l’argent du jeu. Cependant, si vous perdez un membre durant la mission, vous pouvez quand même la finir mais vous n’aurez pas toutes les étoiles de fin de mission. En plus de ces étoiles, vous gagnerez plus ou moins d’eau et d’objets en fonction de votre pillage de vaisseau ennemis à la fin de chaque mission .
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Attention ! La quantité d’objets que vous pouvez avoir est limitée. Vous allez donc vite vous ruer sur les unités de stockage qui augmente la taille de votre inventaire ! Car, à force de recruter des camarades dans les tavernes, vous allez vite avoir votre cale pleine.
Le gameplay est l’un des gameplay le plus intuitif et efficace auquel j’ai pu jouer depuis bien longtemps. Vous comprenez très rapidement comment fonctionne les déplacements, actions et les tirs avec les rebonds.
Le fait de pouvoir soit-même choisir l’angle de tir permet des tirs vraiment hardus mais d’une grande satisfaction quand ils sont réussi. Car, oui, vous allez devoir faire le plus souvent des tirs capillotractés pour récupérer les chapeaux (seul collectables du jeu). Pour les récupérer vous allez devoir scalper d’une balle vos ennemis puis courir les chiper.
Les objectifs de mission, par contre, sont peu variés : pillage, récupération de ressources, destruction de générateur ou élimination totale de l’équipage adverse. Ce qui rend le jeu un peu répétitif, malgré une limitation de tour (avant que les renforts ennemis arrivent) sur certaines missions.
Qu’en est-il de l’aspect graphique ?
Le jeu est magnifique, une relation aux petits oignons vraiment soignée qui rend magnifiquement sur la PS Vita. Les animations sont fluides, les chargements très courts, voir absents, et il y a une myriade de détails dans chacune des cartes qui rendent le jeu vraiment agréable à jouer : j’ai fini le 1er monde sans m’en rendre compte! Le manque de visibilité qu’on pouvait reprocher à la version 3DS à complètement disparu !
L’histoire, elle, s’articule autour de dialogues avec les membres de l’équipage et des PNJs dans les bars et autres vaisseaux qui vous donneront parfois des missions pour contrer l’empire ! Elle est anecdotique mais les dialogues sont sympathiques et d’une écriture plus que respectable!
Steamworld Heist est pour moi une grande réussite, un grand jeu d’un petit studio dans les jeux de tour par tour. La prise en main est instantanée, le gameplay est bien fini et bien pensé, une difficulté modulable pour le rendre accessible à tous. Image&From montre qu’ils sont plein de talent avec ce nouveau titre. Avec un prix de 19,90, c’est presque dommage qu’il ne soit pas sorti en version physique sur la PS Vita.
Deemo The Last Recital est un jeu de rythme issu du mobile que l’on attendait depuis longtemps, avec une localisation qui arrive courant du mois! C’est maintenant chose faite, et celui-ci arrive à mêler habilement jeu de rythme et point & clic, le tout dans une histoire profonde.
Deemo the Last Recital est une adaptation du jeu mobile Deemo. Cependant la version PS Vita a eu le droit à quelques mises à jour très agréables. Cette version dispose en effet d’une histoire différente par rapport à la version mobile du jeu, des cinématiques complètement animées, le doublage des personnages, une nouvelle collection de musiques et un mode 2 joueurs en coopération ou versus.
Je vous en parle aujourd’hui car le jeu dispose de plusieurs langues dans sa version asiatique tel le chinois, le coréen, le japonais et l’anglais.
L’histoire :
Dans une dimension inconnue, au sein d’une salle étrange, se trouve un mystérieux personnage connu sous le nom Deemo, accompagné d’un piano… Une jeune fille apparaît soudainement dans ce lieu solitaire. C’est là que l’histoire de cette fille du monde supérieur commence. Deemo est troublé, il veut vraiment aider la fille à retourner dans son monde, il a remarqué que l’arbre grandit lorsqu’il joue au piano. Ainsi, le joueur va aider Deemo et la jeune fille dans la croissance de l’arbre de sorte qu’il atteigne le monde supérieur. Si vous n’avez jamais joué à ce jeu, maintenant vous pouvez profiter d’une histoire qui a touché plus de 800 millions de personnes dans le monde!
L’histoire se dévoile en fonction de la croissance de l’arbre. Chaque titre achevé vous permet de faire grandir l’arbre en fonction du nombre de notes « parfaites » et de combos. Vous allez ainsi découvrir au fur et à mesure, votre environnement, mais aussi Deemo, le personnage que vous incarnez, et la silhouette encapuchonnée. L’aspect intéressant dans la version PS Vita c’est que vous avez une suite à l’histoire principale qui se débloque une fois celle-ci terminée.
Le principal problème de Deemo c’est que vous allez devoir refaire plusieurs fois certains titres pour avancer dans l’histoire. Une mécanique vraiment pénible. Vu le nombre de musiques disponibles pour le jeu, il aurait été judicieux d’adapter l’histoire pour ne jamais avoir besoin de les refaire… Alors pourquoi? Pour vendre des DLC bien sûr! DLC uniquement disponibles sur le PSN Asie ou sur la version mobile. Il y a plus de 100 musiques disponibles en DLC payants. Pour le prix du jeu PS Vita, la totalité ou la grande majorité des DLC de base dans la cartouche n’auraient pas été de trop. Alors même si vous avez beaucoup plus de musiques que dans la version mobile, il est quand même dommage de ne pas livrer un jeu « complet ».
Le gameplay :
Le gameplay ainsi que le menu sont entièrement TACTILES. Vous avez: un menu principal avec l’histoire principale puis l’histoire secondaire, le link-play qui vous permettra de jouer en multi-joueur, les crédits (tout le monde s’en fout des crédits non?) puis le leaderboard sur Internet.
L’histoire se divise en deux: une partie point & clic et le jeu de rythme. Vous arrivez dans la salle centrale où se tient le piano ainsi qu’une salle à gauche, vous en débloquerez une seconde à droite plus tard dans l’histoire. En explorant les différentes salles en cliquant, vous déclencherez certains dialogues, vous récupérerez aussi des informations et même quelques musiques.
Les musiques sont répertoriées en volumes qui contiennent chacun un certain nombre de titres. Vous pourrez les jouer en easy, normal ou hard et choisir ensuite la vitesse de défilement des notes. Il y a 2 types de notes: celles où vous tapez sur l’écran et celle ou vous glissez votre doigt sur l’écran.
Un fonctionnement plutôt simple mais qui reste diablement efficace surtout en hard où il vous faudra utiliser plus de 2 doigts. Comme beaucoup de jeux de musique, vous avez 3 qualité de note :
Blanc : le « mauvais » qui va casser votre combo.
Vert : le « bon » qui continu votre combo sans être parfaitement exécuté.
Orange : le « parfait » (il y a d’ailleurs un trophée où vous devrez réussir l’intégralité d’une musique en parfait).
Pour compléter une musique il faudra avoir plus de la moitié des notes en Charming Hits :
Un gameplay très simpliste donc, mais efficace. J’aurai juste apprécié que sur Vita nous puissions choisir entre le tactile et les boutons. Le gameplay est bien progressif, je suis passé de 50% de complétion en easy à plus de 70% dans la majeure partie des musiques en hard (difficile). À titre personnel, les boutons restent quand même plus facile dans l’exécution que le tactile. En effet, vous allez vite vous rendre compte qu’il vous faudra utiliser 3-4 doigts pour réussir les musiques les plus difficiles ainsi que des changements de main! (on se prend pour un vrai pianiste au bout de 2-3h de jeu). C’est là tout le problème du jeu, comment tenir votre PS Vita tout en utilisant 3-4 doigts pour jouer ? Justement vous ne pouvez pas. Vous devez poser la Vita sur une surface plane et jouer comme sur un piano, mais je pardonne, tellement peu de jeux utilisent le tactile, et puis rien n’oblige un développeur de faire jouer le joueur toujours de la même manière.
Les musiques :
Toutes les musiques de Deemo the Lat Recital sont des morceaux de piano, principalement classiques mais également dans d’autres genres comme électro ou pop. Je me permets de vous laisser un morceau pour vous faire une idée, moi j’adore!
Niveau qualité, je n’ai qu’une chose à dire elles sont juste magnifiques! La difficulté des morceaux va de 1 à 11 (les 11 étant sacrément difficiles). Les musiques en hard sont vraiment compliquées et nécessitent beaucoup de changements de main et beaucoup de doigté. C’est parfait pour un pianiste mais pour quelqu’un qui ne joue pas d’instrument (hors mon Otamatone), je vous conseille de vous entraîner en normal en augmentant progressivement la vitesse de 1 à 4-5 avant de vous attaquer au mode hard. Il n’empêche que l’on se prend au jeu et que c’est vraiment agréable, j’ai passé mon dimanche dessus et madame était heureuse d’entendre les musiques.
Le multi-joueur :
Le multi-joueur vous permet de jouer en compétition, donc celui qui fera le meilleur score l’emporte, ou à « quatre-mains » comme au piano: vous jouer à deux sur le même morceau et vous vous entraidez. Un petit mode vraiment sympathique qui n’ajoute pas grand chose mais vous permet de jouer avec vos amis. Je n’ai pas pu tester cette mécanique je le ferais la prochaine fois que je verrais Popolulu, je sais qu’elle a aussi le jeu, car ce mode n’est disponible qu’en Ad-Hoc.
Mon avis sur Deemo :
Deemo the Last Recital est donc un jeu « musical » fort sympathique, je ne me suis pas attardé sur l’histoire pour ne pas vous spoiler car celle-ci est relativement profonde et intéressante. Le deux principaux reproches que je peux donc émettre sur cette version PS Vita c’est, qu’à moins d’avoir un compte Asia, le jeu manque vraiment de contenu par rapport à ce qui est réellement disponible. Le jeu est bien fourni, mais c’est frustrant de savoir qu’il y a autant de musiques disponibles et de ne pas pouvoir en profiter « de BASE » dans une cartouche (payable plein pot!). Vous avez accès à une soixantaine de titres comparés aux 170 de tous les DLC sur mobile ou Vita via le PSN Asia.
Et le deuxième bémol c’est le fait de devoir « farmer » pour faire grandir l’arbre et parfois de 3-5 mètres à coup de 0,100 ou 0,250 c’est vraiment long et prise de tête, refaire une chanson 1-2 fois en easy, normal ou hard c’est acceptable, mais là…
Sinon le jeu est magnifique, la partie point & clic et l’histoire sous forme de cinématiques, rajoute vraiment du charme au jeu. La présentation est soignée, chaque morceau à sa propre illustration même si une petite chorégraphie ou un clip aurait été bienvenue. C’est typiquement le genre d’histoire que j’ai envie de voir dans un jeu musical, quelque chose de profond et pas niais comme le dernier Project Diva X. L’aspect point & clic même s’il n’est présent que de manière anecdotique rajoute également quelque chose d’intéressant au genre. Cela pourrait être vraiment super de mixer ces deux genres dans un jeu d’énigme « point & clic musical », mais pardon je m’égare! Deemo est donc pour moi un très bon jeu musical qui touche par son originalité, sa direction artistique et le genre des mélodies choisies. Pour moi c’est une des licornes de la PS Vita, à avoir dans sa ludothèque si on aime les jeux de rythme ou du moins à faire sur mobile ou tablette!
Deemo est disponible uniquement en version physique sur PS Vita (c’est la seule console à l’avoir en version physique) en version Asia pour une trentaine d’euros. Je tiens à remercier notre partenaire Play-asia qui m’a permis de faire cette review.
Limited Run Games n’a plus le monopole des éditions physiques limitées. Après Soldner X-2 et Blue Rider, Play Asia et Eastasia Soft continuent leur partenariat pour nous proposer un nouveau je PS4 en édition limitée : Cursed Castilla EX.
Cursed Castilla EX est un jeu au look et gameplay oldschools. Dans une Espagne médiévale, aidez Don Ramiro à affronter des créatures du folklore espagnol mais également de toute l’Europe. Ce jeu de plates-formes arcade délicieusement rétro met à la disposition des joueurs un arsenal d’armes et de pouvoirs spéciaux pour mener leur quête à bien. Il s’inscrit dans la fière lignée des jeux comme Ghouls ‘n Ghosts pour notre plus grand plaisir.
Le jeu développé par Locomalito et Abylight Studios arrivera dans sa version Ex, améliorée, et proposera un trophée platine qui pourra intéresser les chasseurs de trophées.
Autre info, et pas des moindres, communiquée ce matin par Abylight Studios sur Twitter, le jeu proposera cinq langues de base sur le disque : L’Espagnol, l’Anglais, l’Allemand, le Japonais et le Français! Que demander de plus?
Cette édition collector comprendra :
Le Blu-Ray du jeu pour PS4
L’OST du jeu sur CD (plus de 70 minutes de chiptune !)
Un manuel en couleur, à l’ancienne, qui sera en Anglais.
Une carte collector
Un certificat d’authenticité numéroté, également en Anglais.
Une boîte collector pour contenir le tout.
Cursed Castilla est déjà réservable par le biais du site Play Asia en renseignant son adresse e-mail, et ce jusqu’au 25 avril. Il sera mis en vente juste après pour les intéressés ne l’ayant pas réservé. La boite collector du jeu sera limitée à 3000 exemplaires et vendu au prix de 29.99$.
The Caligula Effect arrivera très bientôt sur le PSN, localisé par Atlus qui a plusieurs fois refusé une version physique du jeu, aura le droit à un version deluxe pour $39.99/€39.99/£29.99 contenant :
Le thème du jeu pour la console
19 avatars
Le DLC maillot de bain
Le jeu version dématérialisée
The Caligula Effect est un J-RPG où le personnage se retrouve enfermer dans une prison virtuel. Qui est contrôlée par une idole virtuelle appelée μ. Vous ne pourrez regagner votre liberter qu’en affrontant une horde d’ennemis contrôlés par la sur-puissante μ.
Caractéristique :
Une histoire humaine dans un monde virtuel Expérimentez une histoire sombre alors que le club Go-Home fait tout ce qu’il peut pour échapper à la prison numérique connue sous le nom de Mobius. Le groupe doit vaincre un groupe maléfique de producteurs de musique (connus sous le nom de Musiciens d’Ostinato) qui ont travaillé avec μ, se retrouvent face à face avec leurs propres secrets et désirs noirs. Écrit par le vétéran de la série Persona, Tadashi Satomi (Persona, Persona 2: Inocent Sin, et Persona 2: Eternal Punishment), les joueurs se battront pour leur liberté en examinant de laids problèmes psychologiques qui affligent les différents personnages du jeu.
Plusieurs relations à nourrir Il y a plus de 500 NPCs à recruter dans le groupe pour être utilisé en combat. Chacun a une classe pré-assignée (comme offensif, un soutien, etc.) et ont une histoire unique qui sera lentement découverte en complétant diverses quêtes. Mais il n’y a que 4 personnages dans le groupe, alors choisissez judicieusement vos coéquipiers!
Un système de combat stratégique
Le jeu comporte un système de combat unique appelé « chaîne imaginaire » qui fait des combat un exercice de planification. Une fois que les ennemis sont rencontrés, les joueurs se transforment en alternance dans des combats où ils peuvent choisir de plus de 100 compétences à déchaîné sur les ennemis. Tout en choisissant les compétences, les joueurs peuvent ajuster le timing et avoir un aperçu simulé de leur attaque avant de valider. Maximisez les dégâts en créant des combos d’attaque mortelles entre les membres du groupe et ne laissez pas les ennemis reprendre leur souffle!
La musique des producteurs célèbres Le jeu présente également des musiques originales de célèbres producteurs japonais tels que le projet OSTER, 40mP, 164, cosMo@Bousou-P, et plus encore!
Les consoles Playstation Vita et TV collector
Retrouvez ici l'ensemble des Playstation Vita et TV collector disponibles dans le monde. Nous avons essayé de vous...