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Warhammer Conquest numéro 2 chez Hachette – Y’a quoi dedans ?

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Salut les Death Guards ! Retour dans l’univers Warhammer Conquest, après notre article sur le premier numéro de la nouvelle collection Hachette en collaboration avec Games Workshop. On sait que beaucoup n’ont pas pu trouver cet exemplaire et le précédent dans les boutiques habituelles, on vous rappelle qu’il est possible de trouver ces numéros en ligne sur le site des Éditions Hachette ou de le gagner grâce à notre concours Twitter. On a pu trouver chez notre libraire le numéro 2. On vous fait un point sur son contenu ! 

Le matos 

Niveau matériel on trouve des figurines forcement, 3 comme dans le premier numéro, de la Death Guard, la faction purulente de l’univers Warhammer Conquest. On dirait qu’ils ont été exposé à un sale virus ou contaminés par une entité extraterrestre façon Dead Space. Mais tout ça, vous le saurez en lisant la page qui leur est dédiée dans le fascicule.

Mais également :

  • 1 pot de peinture verte, couleur Death Guard, ça tombe bien non ? 
  • 6 dés, classiques, ils m’ont rappelé ceux des petits chevaux ^^
  • 1 plateau en papier
  • 2 réglettes en papier, une pour chaque joueur 
  • 2 jetons objectifs, 1 pour les Space Marines, l’autre pour la Garde. 

Clairement les figurines sont toujours de haute qualité. Les détails sont toujours aussi fous. L’assemblage est rapide, on a eu aucun mal à détacher les figurines et les assembler.
Un petit coup de lime pour effacer les découpes et c’était parfait. 

Le livret est toujours aussi bien rempli, les illustrations sont magnifiques et on en apprend plus sur le lore entourant les factions. Pour ceux qui veulent s’y plonger, c’est un régal. Le tuto peinture permet de commencer à peindre ses figurines avec les pots fournis depuis le premier numéro. On a trouvé ça un peu léger et pris de l’avance en peignant les figurines avec d’autres couleurs, on vous en parle un peu plus loin.

Le pot de peinture qui servira de base aux Dead Guard est toujours de la marque Citadelle, les peintres la connaissent bien, elle est très efficace. On lui préfère les pots de peinture Army Painter pour leur embout compte goutte qui empêche la peinture de sécher mais la peinture en tant que telle est d’aussi bonne qualité.

En ce qui concerne les dés, rien de spécial à déclarer. Pas très beaux, si vous voulez mieux, il faudra prendre dans vos jeux existant ou l’édition deluxe de l’abonnement. 😛 

Si le plateau en papier ne nous a pas posé de problème, ça n’a pas été le cas pour les réglettes. Qu’elles soient en papier et non rigide est déjà gênant niveau qualité et prise en mains. Mais qu’une trace de pliage soit sur la réglette Space Marine, c’est quand même assez décevant. 

Cette trace de pliage est due au fait que les réglettes et les pions sont livrés avec le plateau et doivent être découpés pour être utilisés. Sincèrement, ça contraste pas mal avec la qualité des figurines.
Mais au moins, ça permet de jouer. 

Le jeu 

Car oui grâce à ce numéro 2, vous allez pouvoir jouer ! Enfin ! Ça fait une semaine que vous aviez peint vos Space Marines, il était temps de vous en servir ! 

Les règles de base de Warhammer Conquest sont très simples, chaque joueur va activer toutes ses figurines à tour de rôle pour tenter de réaliser un objectif ou d’éliminer l’équipe adverse.

Chaque activation de figurine comprend 2 actions : Se déplacer puis tirer ou se déplacer à nouveau. C’est clair, efficace et rapide. 

Pour les déplacements, on utilise la règle, vous avez une valeur de déplacement maximale, tant que vous restez dedans, vous pouvez aller quasiment n’importe où tant que le terrain le permet. Vous pouvez effectuer un deuxième déplacement via un lancé de dés, la valeur indiquée par ce dernier vous donnera votre potentiel de déplacement. Mais en contrepartie, vous ne pourrez pas tirer avec cette figurine.

Pour le tir, c’est un peu plus compliqué. Chaque armée a une valeur de “touche” qui lui permet via un jet de dés de savoir s’il réussi à toucher l’adversaire, par exemple si cette valeur est de “3+”, vous touchez si le dés fait 3, 4, 5 ou 6. 

Pas de gestion de la distance, on est sur des grosses armes qui balancent des balles à l’autre bout de la map sans trop de problème.

Enfin presque… 

Car une fois que vous avez touché, il faut savoir si vous avez blessé ! Un autre jet , de « blessure » permettra de décider si vous blessez l’adversaire. Dans le cas de l’escarmouche présentée ici, il nous fallait faire 4+ pour la Death Guard ou 5+ pour les Space Marines. Autant dire que ces derniers n’ont pas souvent touché. 

Mais c’est pas tout ! Car l’adversaire à une armure qui peut le protéger ! Un dernier jet, celui de « sauvegarde » permet d’essayer d’utiliser son armure pour éviter les dégâts. Avec un 3+ pour les 2 équipes, il était assez aisé de ne pas sentir les balles. 

Et c’est tout le problème de nos parties faites avec les deux armées fournies dans ces deux numéros. On a eu l’impression que les deux équipes se balançaient de la purée au visage pour essayer de se tuer. Sur 6 parties d’affilées, on a pas tuée une seule figurine ! Pas une ! 😯 

Heureusement qu’on avait les objectifs pour finir les parties… Ces derniers sont amenés par les règles supplémentaires qui ont aussi amené des compétences de tirs particulières pour les figurines. Ça a permis de dynamiser le jeu mais on s’est pas vraiment amusé non plus… 

Pour en avoir discuté avec des joueurs Warhammer, c’est dû à la trop grande ressemblance des deux armées. Les prochains numéros verront arriver 3 Reivers Space Marine dans le numéro 3 et 6 Poxwalkers dans le quatrième. De nouvelles armées, de nouvelles façon de jouer et avec un peu de chance, du fun ?
On laissera sa chance au jeu jusque là pour décider si on continue ou non. 

Mais dire qu’on s’est ennuyés de bout en bout serait mentir, on a passé un excellent moment à peindre les figurines !

On vous fera un article tuto de peinture cette semaine pour vous montrer comment on est arrivé à ce résultat et avec quel matériel. Ce sera l’occasion de vous parler de la palette humide de Redgrass.

Younz
Younz
Trentenaire que l'ennui et l'insomnie ont emmené beaucoup trop loin dans les internets du web... J'y ai vu des choses et pour votre plus grand plaisir, je vous en ramène les petites pépites que la moralité et la légalité me permettent! Passionné de jeux vidéo, j'ai passé mon adolescence sur émulateur à jouer à tous les titres qui m'avaient fait envie sans que je puisse y toucher. Depuis j'ai un salaire et une maladie (bientôt reconnue, du moins j'espère...) qui me permet d'acheter tous les jeux vidéo qui me font envie sauf que j'ai plus le temps de les faire... Vous me retrouver ici pour vous parler de mes (trop) nombreuses passions !

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